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nant ! Mais non, tu ne peux pas, il faut que tu travailles !

Voici les deux autres qui t’observent, qui s’étonnent de ta rougeur et de ta maladresse étrange.

Allons, cueille des feuilles, coupe des rameaux, grimpe sur ce banc, dresse-toi sur tes jambes de laine, enfonce des pointes avec tes mains tremblantes et, les oreilles pleines d’un éclat de rire immense comme un bruit de marée, boudine le laurier à saucisses pour leur cochon de décor. Andouille !