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À toi, Georges Farcy, mon noble ami, mort en combattant le 29 juillet ; à toi, bon citoyen, homme d’esprit et de cœur ; à toi presque seul des victimes de juillet, représentant l’intelligence, la raison, la science. Toi du moins, tu savais pour quelle cause tu donnais ta vie ; et le jour où tu as couru aux armes, ce n’était pas pour une liberté aux bras rouges de sang, mais pour la sainte liberté, toute d’amour et de paix ; à toi donc, digne champion de la vraie liberté, mort pour elle ; Georges Farcy, à toi !