le porche
propos, ce ne sera plus de lui que l'on parlera mais
de ses fils. Ensemble ce sera de lui et ce ne sera pas de lui, puisque
ce sera de ses fils. Ce sera son nom et ce ne sera plus et ce ne sera pas
son nom, puisque ce sera (devenu) le nom de ses fils. Et il en est fier dans son coeur et comme il y pense avec
tendresse. Que lui-même ne sera plus lui-même mais ses fils. Et que son nom ne sera plus son nom mais le nom de
ses fils. Que son nom ne sera plus à son service mais au service
de ses fils. Qui porteront le nom honnêtement devant Dieu. Hautement et fièrement. Gomme lui. Mieux que lui. Et quand on dira son nom, c'est son fils qu'on appellera,
c'est de son fils qu'on parlera. Lui il sera depuis longtemps au cimetière. Entour de l'église. Lui, c'est-à-dire son corps.
Côte à côte avec ses pères et les pères de ses pères. Aligné avec eux.
Avec son père et son grand père qu'il a connus. Et avec tous les autres tous ceux qu'il n'a pas connus. Tous les hommes et toutes les femmes de sa race. Tous les anciens hommes et toutes les anciennes femmes. Ses ancêtres et ses aïeux. Et ses aïeules. Tant qu'il y en a eu depuis que la paroisse a été fondée.
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