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LXXI


LE R. P. LACORDAIRE À FRÉDÉRIC OZANAM.


Saint-Germain, 5 octobre 1851.

Très-cher monsieur,

Voilà bien des.jours que je veux répondre à votre bonne petite lettre. Un voyage de quelques jours à Saint-Germain a retardé ma plume sans retarder ma reconnaissance. J’aime beaucoup la vérité, qui est toujours une chose très-rare, et, que vous dites de manière à me la rendre très-agréable. Si elle ne sortait de son puits que sous cette forme, je pense que personne ne la contraindrait d’y rentrer.

Veuillez agréer, avec tous mes remercîments, l’expression de mes sentiments de haute estime et de cordial dévouement.