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LETTRES DE FRÉDÉRIC OZANAM

pas ma cause d’avec celle de M. Lenormant ; tant que ses leçons seront, troublées, je ne cesserai pas d’y assister, j’userai de toute mon influence sur un certain nombre de jeunes gens pour recruter l’auditoire. Si vous étiez ici, mon cher ami, vous nous aideriez de votre présence et de vos conseils. Soutenez-nous du moins de vos prières. C’c-t le jeudi 8 que la reprise du cours doit avoir lieu. Adieu ; je vous embrasse tendrement ; ces pauvres lignes ne peuvent pas vous porter la moitié de ce que nous avons dans le cœur. Venez donc bientôt nous trouver.