Page:Ovide - Métamorphoses, traduction Gros, 1866.djvu/585

Cette page n’a pas encore été corrigée

LIVRE QUINZIÈME MÏSCELE, FILSD’ALEMON. — CAILLOUX NOIRSCHANGES ENBLANCS. 1. Cependant on cherchait un homme capable de soutenir un tel fardeau et digne de succéder à un si grand monarque, lorsque la Renommée, messagère de la vérité, appela au trône l’illustre Numa. Non content d’avoir étudié les institutions des Sabins, son vaste génie embrassait des objets plus élevés et aspirait à pénétrer les secrets de la nature. Celte soif de la science lui fit abandonner Cures, sa pairie, et l’entraîna jusqu’à la ville où Herculeavait reçu l’hospitalité. Il demanda qui avait construit une ville grecque sur les côtes d’Italie. Un vieillardné dans celle contrée, el qui en connaissait les vieilles traditions, lui répondit en ces termes : « Parti des bords de l’Océanet emmenant avec lui les riches troupeaux qu’il avait enlevés dans l’Ibérie, le fils de Jupiter, après LIBER QUINDECIMUS HYSCELUS, ALEMONIS FILIUS. — KIGIUCALCUL ! IXALBOS MUTATI. I. Qussriturintereaquitantcepondérainolis Suslineat, lantoquequeat, succedererégi. DestinâtimperioclarumproenunLia veri FamaKumam.Nonille saliscognossesabinrc Gentishabetritus’, aoimomajoracapaci îî Concipit, et qucesit î-erumnalurarequirit. Hujusarnorcuroe, palriaCuribusquerelîctis, Fecil, ut herculeipeneïraretad hospïtisutbein. Graiaquisilalicisauctorposuissetin ovk Èloeniaquoerenti, sic c senioribusunus 10 Hcttulitindigenîs, veierisnoninsciusoevi : « Divesab oceanobubusJovenalusiberis Littorafelicitenuitlacîniacursu