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290 MÉTAMORPHOSES. délaissépour un taureau ? tu étais plus cruel que lui. Malheureuse que je suis ! lu le bâtes de fuir : les flots retentissent sous tes rames. Je disparais, hélas ! avec les rivages de ma patrie. C’est en vain que lu as oublié mes services. Jeté suivrai malgré toi, et, attachée à ton navire, je l’accompagnerai sur la vaste, mer. » A ces mots, elle s’élance dans les ondes et suit la flotte. L’amour lui donne des forces, et, malgré l’horreur qu’elle inspire, elle se cramponne au vaisseau ennemi. Son père l’aperçoit. Récemment changé en aigle de mer, il’se balançait dans les airs sur ses ailes fauves.Il allait fondre sur elle et la déchirer à coups de bec, lorsque, saisie d’effroi, elle se détacha du navire. Mais, au moment de sa chute, une brise légère parut la soutenir et la préserver des flots. Elle avait des ailes ; elle était métamorphosée en aigrette, oiseau dont le nom rappelle le cheveu qu’elle déroba. LACOURONNE D’ARIAKE PLACÉEPARMILESASTRES. II. Dèsque, au sortir de son vaisseau, Minoseut foulé le sol de la Crète, il immola, pour acquitter son vœu, une hécatombe à JupiProeposuisse tibi : tu plusferilatishabebas. Memiseram ! properarejuval, divulsaqueremis CiHiasonal.Mecumsimul, ah ! meaterra recedit. .Nilagis, o frustramcritorumoblilemeofum. 140 Insequarinvitum, puppimqucamplexarecurvani, Perfrétalongatrabar.w Vixdixerat, insilitundai, Consequiturque rates, facienteCupidinevires, Gnosiacoeque hoeretcornesinvidiosacarina ;. Quampalerul vidit(namjam pendebatin auras 14o El modofacluserat fulvishaliaietosalis), Ibat ul boerenlem roslrolaniareladunco. Illametupuppimdimiltit.AIaura cadentem • Sustinuisselevis, ne langeretcequora, visaest. Plumafuit ; plumisin avemmutalavocatur loO Ciris, et a tonsoest hocnomenadeplacapillo. AK1ADKES COIIOXA INTEOS1DEKA PONITuK 11. VotaJoviMinoslaurormncorporacentum Solvil, ul egressusratibuscuretidalerrom