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LIVRE SEPTIÈME

; ASON, PAULE SECOUES 

1)E51ÉDÉE, s’jiHJ’AKEDELATOISONn’oR. I. Déjàles Argonautesfendaientles ondes sur le navire construit à Pagase ; déjà Phinée, dont la misérable vieillessese traînait au sein d’une éternelle nuit, s’était montré à leurs yeux, el les jeunes fils de Borée avaient chassé loin du malheureux vieillard les oiseaux à qui la nature donna des traits de vierges. Sous la conduite de l’illustre Jason, après de longue ? traverses, ils avaient louché enfin les eaux rapides el limoneuses du Phase. Ils se rendent auprès du roi, et demandent la toison du bélier de Phryxus. II leur apprend par quels pénibles travaux elle doit êlre conquise. Cependant un feu violent s’allume dans le cœur de la fille d’Éétès. Elle combat longtemps ; mais la raison ne peut triompher de son délire. « Tu résistes en vain, Médée, se dit-elles je ne sais quel LIBER SEPTIMDS JASON, ADJUVANTE MEDEA, VE1LUS AUREli>I IÏEFERT. i..ïamquefrclumîlinysepagasxapuppesecabant, Perpetuaquetrahensinopemsubnoctesenectam Phinousvisuserat ; juvenesqueAquilonecreali Yirgineos volucresmiserisenisorcfugaranl ; MultaqueperpessiclarosubIasone, tandem o Conligerant rapidaslimosiPhasidosundas. Dumqueadeunt regem, phryxeaquerelieraposcunl, LexquedaLurnumerismagnorumhorrcndalaboruin, ConcipitintereavalidosŒetiasigiies ; Et luclatadiu, pustquamrationefurorem 10 Vincerenonpoterat : « Frustra, Merîca, répugnas$