Page:Ovide - Œuvres complètes, Nisard, 1850.djvu/118

Cette page n’a pas encore été corrigée

ai plus fait que ne doit une jeune fille, puisque ce papier n’a pas craint de s’entretenir avec toi. Assez déjà ma plume a fatigué mes doigts affaiblis ; et ma main malade me refuse plus longtemps son ministère. Après t’avoir témoigné le désir de m’unir à toi, que me reste-t-il à ajouter à cette lettre ? Adieu.