elle présente le plan d’un cycle de lectures fondamentales (autodidaxie) ; pour l’étude de la terminologie, pour l’ordonnancement des matières de l’encyclopédie ; 3° Le catalogue méthodique de la bibliothèque est fondé sur elle ; 4° Le placement des ouvrages sur les rayons est opéré dans son ordre ; 5° Elle sert au classement des notes, documents, dossiers d’études ; 6° Elle constitue un classement des connaissances dans l’esprit.
253.2. Types de classification bibliographique.
Il existe d’innombrables systèmes de classement. Tous cependant peuvent se ramener aux types suivants :
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Classification systématique. | |||||
Classification alphabétique. | ||||||
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Sans notation. | |||||
Avec notation. | ||||||
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Notation par chiffres. | |||||
Notation par lettres. | ||||||
Notation par combinaison de chiffres et de lettres. |
253.3. Principales classifications systématiques.
Les classifications françaises ont fort vieilli : telles celles de Brunet, de la Bibliographie de la France. — Dans les pays anglo-saxons on connaît trois classifications : celle de Dewey (Decimal Classification) ; de Cutter (Expansive Classification) ; celle de James Duff Brown (the Subject Classification). La Bibliothèque du Congrès, à Washington, a sa propre classification. La classification décimale est la plus répandue.
253.4. Classification décimale.
Description du système. — L’Institut International de Bibliographie et les Congrès internationaux ont fait choix de la Classification Décimale comme classification