d’une guerre avec l’Angleterre, qui peut aujourd’hui le ruiner si facilement ?
Telles sont quelques-unes des questions que soulève ce livre, elles sont importantes et intéressent tous ceux qui s’occupent des faits présens et à venir :
Nous n’essaierons pas de dire aux savans, aux orientalistes, les choses qui rendent précieux pour eux l’ouvrage de M. Prinsep, il y a long-temps que leur opinion s’est prononcée sur ce sujet.
Le général Allard, dans le peu de temps qu’il a passé à Paris, a bien voulu, malgré les soins de toute espèce dont il était accablé, nous donner de nombreux renseignemens dont nous avons profité pour notre travail. Qu’il veuille bien recevoir ici tous nos remercimens pour son inépuisable complaisance.
Enfin, nous avons à remercier notre éditeur, qui a enrichi notre travail de la magnifique carte dressée par Arrowsmith
