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mords de la tyrannie de l’orthographe,
alors que l’anagramme demeure
figée dans le culte de cette
tradition surannée et ne sollicite
de dispenses qu’en faveur des
grands — bien mal choisis pour apprécier
une attention si délicate,
étant donnée leur ignorance, reconnue
et affectée, des principes
mêmes de l’écriture.
Mais, à un autre point de vue, l’anagramme et la contrepéterie ne sont pas nées pour vivre ensemble, et, là, c’est notre oreille qui les départagera. Il est impossible de retrouver dans les « périodes ou devises d’un sens parfait », dont parle Tabourot, la moindre trace des consonnances caractéristiques des noms dont elles ont été extraites : personne ne se douterait —