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§ 3. — La rédaction de la Commission. — Les Articles 415 et 415 punissent les atteintes à la liberté du travail par la violence et les menaces. — L’article 416, les atteintes par l’intimidation morale. — Mais ni les violences, ni les menaces, ni les intimidations ne rendront la coalition coupable : il n’y aura de coupables pour atteinte à la liberté du travail que les fauteurs des violences ou des menaces 
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§ 4. — Manœuvres de Jules Simon contre Émile Ollivier. — Jules Favre s’y associe. — Ma conversation avec lui. — Trouble d’Ernest Picard 
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§ 5. — Mon rapport opinion sur les gvères. —Communication à Jules Favre, Ernest Picard, Rouher et Baroche. — Sa discussion dans la Commission. — Jules Favre et Ernest Picard la veille de la discussion 
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§ 6. — La discussion. — Effet du discours de Seydoux : la loi paraît rejetée ; la gauche décide de s’associer à ce rejet. — Discours de Jérôme David. — Réponse d’Émile Ollivier, dans laquelle il condamne le pessimisme politique. — Jules Simon soutient que la loi est un piège ; elle se borne à substituer le nom de plan concerté à celui de coalition. — Insanités de ce système. — Buffet le condamne en termes sévères. Jules Favre. le reprend. Émile Ollivier le réfute 
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§ 7. — Nouveau retour offensif inattendu de Jules Favre. — Émotion de l’assemblé. — Réponse d’Émile Ollivier 
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§ 8. Émile Ollivier refuse la main de Jules Favre. Émile de Girardin fait dans la Presse la réponse personnelle qu’il n’avait pas voulu faire. — Lettre de Jules Ferry. — Gambetta ne s’associe pas au déchaînement dont je suis l’objet. — Philis me défend. — Une explication avec Ernest Picard. — Comment finit notre amitié 
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