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§ 3. — Résumé de ma vie jusqu’au jour ou je deviens candidat : mon père, mes études. — Mon commissariat de 1848 dans les Bouches-du-Rhône et dans le Var ; mes préfectures des Bouches-du-Rhône et de la Haute-Marne ; ma destitution : je rentre dans la vie professionnelle d’avocat ; ma première suspension de trois mois. — Les leçons de droit ; l’amitié de Michelet et celle d’Ernest Picard : notre accord sur la liberté et sur la question du serment ; mes idées d’alors et celles d’aujourd’hui sur la démocratie 
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§ 4. — Comment je sors de mon néant professionnel : Picard-Mitouflet et Paillet. — L’affaire Nisard. — L’affaire de la marquise de Guerry contre la communauté de Picpus 
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§ 5. — J’essaye de renoncera ma candidature : je suis obligé de la poursuivre contre Garnier-Pagès ; résultat des deux tours de scrutin (22 juin et 7 juillet 1857) : élection de Cavaignac, Carnot, Goudchaux, Émile Ollivier, Darimon. — Election en province d’Henon, Curé, Plichon, Brame. — Je suis menacé de poursuites pour avoir prétendu que mon père avait été exilé ; un document inattendu démontre ma véracité 
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§ 6. — Le lendemain des élections ; la mort et les obsèques de Béranger (16 juillet 1857). — La mort de Cavaignac (29 octobre 1857). — Complot Tibaldi : condamnation de Ledru-Rollin. — Poursuites contre Flaubert et Baudelaire, Dupin l’aîné renommé procureur général et sénateur 
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