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CHAPITRE VIII
COMMENT L’EMPEREUR TRAVAILLE A DISSOUDRE LA SAINTE-ALLIANCE
§ 1. — Flegme apparent de l’Empereur
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§ 2. — Agitations de Nicolas
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§ 3. — Mission Menschicow (18 février 1853). — Pour stimuler les Anglais, l’Empereur prend l’initiative de l’envoi de la flotte à Salamine (20 mars 1853). — Aberdeen envoie Stratford à Constantinople. — Tactique habile de Stratford : il arrange l’affaire des Lieux Saints et oblige Menschicow à se découvrir. — Ultimatum de Menschicow ; son rejet (20 mars). — Les deux flottes envoyées à Besica
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§ 4. — Irritation de Nicolas : il ordonne le passage du Pruth (22 juin 1853). — Note de Vienne
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§ 5. — Sûr que les Anglais ne s’arrêteront plus, l’Empereur rentre dans son flegme apparent. — Injures de Victor Hugo et d’Edgar Quinet. — Le Sultan rejette la note de Vienne. — Indignation contre les Turcs ; revirement que produit la publication par un journal de Berlin des réflexions du ministère des Affaires étrangères. — Déclaration de guerre du Sultan (23 octobre)
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§ 6. — Sinope (30 novembre). — Les flottes française et anglaise dans la mer Noire. — Sommation de Napoléon III au Tsar (20 janvier 1854). — Rupture des relations diplomatiques (7 février)
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§ 7. — Déclaration de guerre de la France et de l’Angleterre à la Russie (27 mars). — Traité d’alliance offensive et défensive entre la France et l’Angleterre (10 avril). — Vrais motifs pour lesquels l’Empereur entreprend cette guerre. — Cynisme de Victor Hugo
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