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§ 2. — Malgré le droit que nous en donne la Constitution, nous ne voulons pas déclarer la guerre sans l’assentiment des Chambres. — Entrevue avec Benedetti 
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§ 3. — Émile Ollivier lit la déclaration à la Chambre des députés. — Acclamations générales, sauf de 16 députés de la gauche. — Discours de Thiers. — Il trouve que nous avons eu raison de ne pas tolérer la candidature Hohenzollern, mais que nous avons tort de faire la guerre sur une circonstance futile 
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§ 4. — Thiers lui-même, en d’autres circonstances, a blâmé l’appui qu’un discours tel que le sien donne à l’étranger. — Réponse d’Émile Ollivier. — Le cœur léger 
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§ 5. — La Chambre toute belliqueuse accepte avec impatience de nouvelles explications d’Émile Ollivier sur le bon droit de la France 
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§ 6. — Thiers fait un nouveau discours. — Il attaque justement la demande de garanties, mais il répète que cette occasion de venger Sadowa n’est pas propice 
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§ 7. — Réfutation du discours de Thiers. — Gramont proteste noblement. — Kératry de même. — Buffet et J. Favre demandent la communication des dépêches de nos agents. — Une commission est nommée à l’effet de les examiner 
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§ 8. — Émile Ollivier n’assiste pas dans la Commission aux communications qu’y fait Gramont. Erreur très innocente de Gramont sur une de ces dépêches. — Explication facile de cette erreur. — Exploitation calomnieuse et révoltante qu’en ont faite les hommes de parti 
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§ 9. — Guyot-Montpayroux se prononce pour la guerre — Discours équivoque de Gambetta. — Il réclame la communication à la Chambre des dépêches. — Protestations de d’Albufera. — Impossibilité diplomatique de cette communication publique. — Vote de la guerre. — La Chambre était maîtresse d’empêcher la guerre en ne votant pas les crédits. Une majorité imposante la décide 
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