Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/97

Cette page n’a pas encore été corrigée

de son incognito, qui lui permettait de vivre, pendant un temps aussi long qu’il voudrait, au milieu de la basse classe, si intéressante à étudier, dans ce pays ou les mendiants avaient des fiertés de grands seigneurs. Tout Mérimée lui revenait, avec la poétique figure de la sauvage Colomba,