Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/231

Cette page n’a pas encore été corrigée

Celui-ci tenta de le repousser, mais il pâlit, et, avec un râle effrayant, il tomba dans les bras de son ami.

— Il est mort ! balbutia Berneville. Il faut appeler.

— Ne bougez pas, dit Davidoff…. Il est vivant, et nous n’avons besoin de personne.

Il prit un peu d’eau, dans un verre, et mouilla les tempes du malheureux qui poussa un long soupir.