Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/181

Cette page n’a pas encore été corrigée

Comme Davidoff se taisait, curieux d’apprendre les secrets de cette liaison, qu’il jugeait si périlleuse pour son ami, elle poursuivit :

— Il m’a fait, ce matin, une scène affreuse, à propos de rien. Un bout de lettre sans importance, qu’il avait dérobé sur la table de ma chambre, et dont il s’est inquiété, le benêt… Comme si je n’étais pas assez adroite pour lui cacher ce qu’il ne