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joutaient continuellement les chagrins des autres. Tout ce qui lui était advenu de douloureux, dans la vie, elle avait le droit d’en rendre l’armée responsable. Elle n’avait tremblé, pleuré et regretté que par cette tueuse. Et la haine qu’elle lui rendait n’était pas plus grande que le mal qu’elle en avait reçu.