Page:Offenbach - Notes d un musicien en voyage 1877.djvu/71

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

J’avais conquis mon orchestre. Désormais nous étions tous de la même famille et la plus parfaite harmonie ne cessa de régner dans tous nos rapports. Du reste, je me plais à le constater, l’orchestre était composé d’une façon supérieure. Pour chacune de mes œuvres deux répétitions suffirent toujours pour assurer une brillante interprétation.