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Je ne saurais mieux faire à cette occasion que de citer le Figaro, où ma visite aux pompiers est admirablement décrite par M. Bertie-Marriott, le sympathique correspondant, que M. de Villemessant avait envoyé en Amérique pour représenter son journal.

Je crois faire plaisir à mes lecteurs en ne me bornant pas à citer le passage touchant aux pompiers. Car dans ce qui précède la relation des hauts faits de ces braves gens, il est quelque peu question de moi, et, puisque le titre de ce livre m’oblige parfois à parler plus de moi que je ne le voudrais, je suis très-heureux qu’un autre se soit chargé de raconter mes faits et gestes.

Voici donc sans autre préambule l’article en question.