Page:Oeuvres meslees, Mlle L'Héritier de Villandon, édition 1696.djvu/337

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/dnHtrftimgb'> On vit une amour mutuelle Donner à ces amans des momens aſſez doux. Mais combien eurent-t-il de peines A cacher leurs ſecrets tranſports, Combien ſe firent-ils d’efforts Pour tromper les fâcheux & leurs cacher leurs chaînes; Bravant tant de toarmens^ïeurs feux j. Semblaient croître dans les contraintes, Et leurs cœurs s’unifïoient pat les plus ■tendres nœux  ; Parmy les larmes* & les plaintes. ’■■■■■ . ti Mais enfin kcouroax fatal De la. fortune en, tout leur barbare en- . oemie,  ; Vint accabler Tircis d’un mal J -Qtir par fe s rudes coüpsfic trembler pour , A vie. Iris r à ce malheur nouveau Ode à la cruauté du fort qui ta traverfe, Elleveu tde fes j ouxséteiiîdre k fhvnabcate Mais malgré les pkufs qtfeâle vei£ ; [, Son malheureux amant delcenddansJe Tombeau. >Googk