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ragraphe VIII.

Selon Johnson, Collins aimait à se livrer aux rêveries d’une imagination fantastique, avec lesquelles la raison se réconcilie par égard pour les traditions populaires.

Collins aimait les fées, les génies, les géans, les enchantemens, etc., etc.

CHANT PREMIER.

NOTE 2. — Paragraphe I.

Triermain était un fief de la baronnie de Gislands, dans le Cumberland.

NOTE 3. — Paragraphe VI.

Dunmailraise tire son nom d’un tumulus érigé, dit-on, à la mémoire de Dan-mail, dernier duc de Cumberland. —

NOTE 4. — Paragraphe VII.

Un retranchement circulaire à un demi-mille de Penrith porte le nom de Table ronde de Penrith.

NOTE 4. — Ibid.

Près d’une colline appelée Mayburg, un énorme rocher, qu’on voit encore, est, dit-on, un monument druidique.

NOTE 5. — Paragraphe x.

Le petit lac de Scales-Tam est si profondément enfoncé entre les rochers de la hante montagne de Saddle-Back, connue aussi sous le nom plus poétique de Glaramara, que les rayons du soleil ne parviennent jamais jusqu’à ses ondes, et qu’elles réfléchissent les étoiles en plein midi.

NOTE 6. — Paragraphe XVII.

Ce fut dans le château de Tintadgel (comté de Cornouailles) que naquit Arthur.

NOTE 7. — Paragraphe XVII.

Caliburn, nom de l’épée d’Arthur, appelée aussi Escalibar, CHANT II.

NOTE 7. — Paragraphe XVIII.

On sait que le roi Arthur était de la confrérie du roi Marc (et de maint autre roi d’Angleterre).