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NOTES DE ROKEBY 179

dit-on, dans les parages du cap de Bonne-Espérance : Ce vaisseau déploie toutes ses voiles alors qu’aucun vaisseau n’oserait en risquer une seule.

NOTE 8. — Paragraphe XII.

Ce qui contribuait surtout à la sécurité des boucaniers, c’était le grand nombre de ces petites îles appelées Keys, dans les parages des Indes.

NOTE 9. Paragraphe XVI.

La situation charmante du château de Mortham ; et le vallon dans lequel on le trouve, sont ici décrits avec exactitude. Le château est entouré aujourd’hui de bâtimens d’ancienne et de moderne date, qui sont convertis en fermes.

NOTE 10. — Paragraphe XVIII.

Si les boucaniers n’avaient pas le temps de dissiper leurs richesses dans la débauche, ils étaient dans l’habitude de les cacher, après plusieurs cérémonies superstitieuses, dans les îles désertes qu’ils fréquentaient, et où l’on croit que plus d’un trésor pourrait se trouver encore, car la mort devait souvent empêcher le boucanier de venir le chercher.

NOTE 11. — Paragraphe XIX.

Tous ceux qui ont quelque habitude de la procédure criminelle doivent se rappeler plusieurs circonstances dans lesquelles les coupables semblent se conduire avec une espèce d’aveuglement involontaire. Les uns font une confidence galles trahit sans grils s’en doutent ; il échappe aux antres des allusions inattendues qui mettent sur la voie du crime.

NOTE 12. — Paragraphe XXVIII. — La tour de Brackenbury.

Cette tour, qui fait partie de la forteresse de Barnard, servait de prison. Par une singulière coïncidence de noms, un lieutenant de la Tour de Londres, sous Édouard IV et Richard III, s’appelait sir Robert Brackenbuy.

NOTE 13. — Paragraphe XXXI. — Ces gentilshommes jadis si arrogans, etc., etc.

Après la bataille de Marston-Moor, le comte de Newcastle s’exila lui-même, et la plupart de ses partisans firent leur paix avec le parlement, dans les meilleurs termes possibles. Des amendes furent imposées en proportion de la richesse et de la culpabilité des délinquans.

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CHANT III

NOTE 1. — Paragraphe II.

Les traits les plus caractéristiques des sauvages de l’Amérique da nord, sont leur patience et leur astuce lorsqu’ils vont venger une injure ou ravir un butin. Leur activité et leur adresse, quand ils sont obligés de fuir, ne sont pas moins surprenantes.

NOTE 2. — Paragraphe II.

Il n’y a jamais en de plus grands pillards que les habitats des frontières d’Écosse. — Ils partent pendant la nuit, dit Camden, et suivent les chemins les