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broch. vol.
(Voir au ch. IX, à la note 4 de la p. 197, B, ou de la p. 501, V, et aux Addit., p. 212-6, B, ou p. 516-20, V.).
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— Soûtras simples et Soûtras développés généralement, favorables à la persistance du principe pensant dans le Nirvâna
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— Les mêmes, favorables aussi à la conservation de la personnalité ou de la conscience du moi, très-clairement établie dans le Mahâparinirvâna soûtra
(Voir sur ce second point, au ch. IX, p. 193-203, B, ou p. 492-509, V, et sur la valeur du Mahâparinirvâna Soûtra, aux Addit., p. 220, B, ou p. 521, V.).
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— La Pradjnâpâramita et le Vinaya Soûtra de Nâgârdjouma font exception sur ces deux points, mais ils sont postérieurs aux autres Soûtras et non admis généralement (Voir encore sur la Prâjnâparamitâ, aux Addit., p. 120-1, B, ou 321-3, V.).
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— Espaces célestes peuplés de Bouddhas dans le Bouddhisme du Nord
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— Les mêmes, vides en apparence dans celui du Sud, mais lacune insignifiante pour l’appréciation du Nirvâna
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— Ambiguïté du Milidapraçna soutta de Ceylan et des livres ou traditions des Svâkhâvikas purs du Népâl
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— Théories Mongole et Chinoise sur tes trois trois corps des Bouddhas
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— Çâkyamouni adoré partout comme Dieu suprême ou comme Dieu rédempteur des âmes (Voir au ch. II, p. 32-40, B, ou p. 336-31, V ; au ch. VIII, p. 163, B, ou p. 167, V, et aux Addit., p. 211-2 et 226, B, ou p. 513-6 et 530, V.).
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