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O’NEDDY À CHARLES ASSELINEAU

Paris, ce 23 septembre 1862.
Monsieur,

Le vieil O’Neddy qui, en sa qualité de burgrave, passe une bonne part de son temps à rêver dans l’ombre et dans la nuit, n’a eu connaissance que tout dernièrement de la notice dont vous avez honoré ses juvenilia, et qui a été insérée dans le Boulevard il y a déjà plus d’un mois. C’est ce qui fait qu’il vient si tard vous en remercier cordialement.