Soit ! En outre, il a reconstitué, rien qu’avec une molaire du ténor qui la chantait il y a mille huit cents ans, une ode de Pindare, musique de Porphyre. Un tour de force ! Bref ! il a ma parole, et quand une fois j’ai donné ma parole…
On n’a plus qu’à tirer son chapeau.
Ah ! Moschetta, je suis perdue.
Mam’zelle… si vous vouliez… Je me chargerai bien de rompre ce mariage-là.
Allons donc ! est-ce que vous êtes bon à quelque chose ?…
Et maintenant je vais répondre à la soixante-seizième lettre de mon illustre ami… Suis-moi… Bacolo… Tu mettras la lettre à la poste. Ne perdons pas un moment… (Il sort avec Bacolo.)
Scène II
Eh bien ! Moschetta ! que faire ?
Ma foi, mademoiselle, je ne sais… Votre père, avec sa passion pour la musique, devient plus fou de jour en jour…
Que dira Fabricio quand il apprendra la décision de mon père…
Tenez, je l’entends !