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Il prétend vous prendre pour femme.
Ah ! si J’osais !
A lui, je sais bien quelle gamme
Je chanterais.
CLORINDA.
Ah ! prenez garde, car sans doute,
De sa chambre, mon père écoute.
BERTOLUCCI, paraissant une serviette autour du cou et repassant son rasoir.
Je n’entends rien !
FABRICIO.
Nous chantions bas.
CLORINDA, à Bertolucci.
Pour que vous ne vous coupiez pas.
FABRICIO et CLORINDA.
Do, si, la, do, si, la, la.
Do, si, la.
ENSEMBLE.
BERTOLUCCI.
Ah ! c’est très-bien,
Je n’ai plus rien
A dire.
Je me retire,
Je suis à deux pas,
Ne vous gênez pas.
CLORINDA et FABRICIO.
Solfions bien
Pour qu’il n’ait rien
A dire,
Ah ! quel martyre,
Mais causons plus bas,
Qu’il n’entende pas.
(Bertolucci rentre.)
FABRICIO.
A la beauté dont mon âme est ravie,
Rien ne saurait se comparer.