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Roland, à part.

Je la connais !… la chanson des créanciers.

Sarmiento, apercevant Cristobal.

Eh bien ! qu’est-ce qu’ils font donc là, devant ma porte ?…

Roland.

Dieu !… l’alcade !…

Sarmiento.

Il s’est endormi avec son greffier… Je vais…

Roland.

Oh ! non… ne les réveillons pas…

Sarmiento.

Vous avez peut-être raison, il se mettrait encore à bavarder… (Il va ouvrir.)

Roland.

Mes créanciers qui me guettent là-bas… l’alcade qui sommeille… et l’amour qui m’attend là-haut… vivat !… (Il entre avec Sarmiento.)

Cristobal et Torribio, toujours endormis.

Veillons !… (On entend le chœur au loin.)

REPRISE DU CHŒUR.


FIN DU PREMIER ACTE.