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À MON FRÈRE
Je vous présente Monsieur le Curé et Monsieur le Comte, qui, après un court entretien, viennent se reposer ici. Je ne sais à qui les recommander plus utilement qu’à vous, qui leur avez donné la vie. Accueillez-les favorablement et consolez-les dans leurs malheurs, dont le plus grand serait de ne pas rencontrer votre approbation. Recevez d’eux mes embrassements et portez-vous bien.