Page:Nouvelles archives de l’art français, 3e série, tome 13.djvu/348

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

décédée le 18 août 1865. — Portrait sur porcelaine. Signé : Hortense Clermont, 1886. (46e div.)


Denis.

Ebrard (Famille). — Vitraux : la Vierge et l’Enfant Jésus et saint Jean, par Denis[1]. (36e div.)


Galland (L. Jacques).

Le Bertre (Famille Simon). — Au fond d’une chapelle est une mosaïque ayant pour sujet saint Michel, ailé, vêtu d’une cotte d’arme, la main droite posée sur une croix. Les deux côtés de la chapelle sont formés de vitraux représentant des fleurs, des feuillages, des plantes, etc., « d’après les dessins de L. Jac. Galland, Paris, 1891. » (36e div.)


Gilbert (A.).

Diriquen-Duval (Famille). — Vitrail : la Mise au tombeau. Signé : A. Gilbert. (47e div.)


Gsell (Albert).

Reiset (Louise-Clémence-Angélie Pantin Wilder, veuve), inhumée le 20 novembre 1890. — Vitraux : celui du fond est divisé en deux parties. Dans la partie supérieure : Jésus posé sur des nuages tient le globe symbolique dans sa main gauche et montre le ciel de sa main droite ; de chaque côté du Christ est un ange agenouillé lui présentant l’éponge et la croix surmontée de la couronne d’épines. Signé : A. G. — Partie inférieure : saint André tenant sa croix est entouré de sainte Marie-Madeleine, de saint Hyacinthe et de sainte Philoméne. Signé : A. G. Un troisième vitrail, à gauche, représente un portrait d’homme. Signé : Albert Gsell, Paris, 1892. (92e div.)


Lemal et Raquet.

Appel, imprimeur-lithographe, décédé en 1882. — Vitrail : Jésus-Christ portant sa croix, par Lemal et Raquet. Le tympan de la chapelle est décoré d’un bas-relief en marbre représentant une veuve pleurant sur les cendres de son époux ; elle est à demi couchée et accoudée sur une urne funéraire ; à droite, un petit génie apporte des fleurs et une couronne d’immortelles ; près de lui, on voit une roue d’engrenage, un livre, des feuilles de papier, un rouleau d’imprimerie. La chapelle a été construite en 1882, sur les dessins de V. Buisson, architecte, en pierre de Commercy sur socle en granit poli. Elle se compose d’une arcade médiane en plein cintre

  1. Renseignements fournis par M. Rocle, marbrier (5 septembre 1897).