fleurs. Sur le socle est gravé : « À ma mère A K » (en monogramme) avec la date de 1866. (45e div.)
Le Roy et G. Mailand (Familles). — Monument surmonté d’une statue en marbre (grandeur nature) : une jeune femme couchée, légèrement drapée, s’appuie de la main gauche sur une torche renversée ; la tête pose sur la main ; la bras droit est ramené sur la tête, la main tient des pavots. Cette sculpture est une reproduction avec quelques variantes de l’Ariane antique du Vatican. (25e div.)
Malet (Christophe-Édouard-François, comte de), « officier de cavalerie, veuf, en 1816, d’Athénaïs de Jumilhac, et depuis prêtre de la Sainte Église romaine, né à Paris le 25 juin 1784, décédé dans la même ville le 26 août 1843[1] ; » et Marie-Louise-Charlotte-Athénaïs Chapelle de Jumilhac, décédée le 5 janvier 1816. — Chapelle surmontée d’une statue en pierre (plus grande que nature) : Vierge assise tenant sur ses genoux l’Enfant Jésus debout. Gravée par Collette, d’après un dessin de Quaglia[2]. (18e div.)
Lebroc (Jean-Baptiste), statuaire, né à Paris le 17 novembre 1825, décédé en 1878. — Groupe en bronze (H. 0m 60) : un génie funèbre est accoudé du bras gauche sur un motif décoratif composé d’amours et de fleurs ; le génie indique de la main droite des couronnes qu’il vient de tresser ; au centre est ménagé un cartel avec l’inscription : « A Lebroc, statuaire, 1825-1878. » (65e div.)
Nunes (Mercedes), décédée en 1890. — Statue en marbre (H. 1m 25) : Ange ailé posé sur des nuages et ayant une étoile au front. (91e div.)
Pineyro (Famille F.). — Tombeau en marbre blanc sur lequel est sculptée une croix couchée. Au sommet du tombeau, un piédestal rectangulaire surmonté d’une statue en marbre (H. 1m 50) : l’Espérance représentée par une jeune fille en pied, debout, joignant les mains sur sa poitrine ; elle a une étoile au front et lève les yeux au ciel ; à sa droite, une