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Kervil -iivorco, il (’ ;pousera Adrienno, et il trouvera du môme coup dans co maria^’o la liberté, lo bien-être qui lui rendra la sant(^, la fortune enfin par iaf|uclIo il arrivera à la gloiro. Chanibalot, parfait goujat m-iis orateur entraînant, poursuii. dabord Adriennc, qui a peu dosons moral ; il persuade aussi Kervil, ou presque, en faisant miroiter à SOS yeux lo grand rôle auquel la science rappelle ; enfin, il persuade jusqu’à la malheureuse Yvonne, qui souffre comme femme, qui soutîre comme catholique hostile au divorce, mais en qui il exalte jusqu’au désir do l’immolation, jusqu’à la soif du martyre, son amour pour son mari. Kt c’est la victime elle-même qui vient dire à Kervil : Il faut nous séparer !... Mais elle le dit en termes si nobles et si toucliants, que le médecin a tout d’un coup les ^cux ouverts, tombe aux pieds do sa femme, cl que co quidevait les cl.’îsunir les rapproche au contraire à jamais. Les mouettes blessées reprennent leur vol vers l’azur.

Paul Adam a tiré la pièce d’un de ses romans, le Serpent noir. Le conflit de devoirs qu’il y expose est, certes, des plus intéressants, et la situation culminante est fort belle. L’ieuvro cependant paraît froide et ne produit pas l’émotion ; sans doute parce que l’auteur a manqué do l’habileté technique nécessaire pour faire des protagonistes du drame non des personnages théoriques, mais des créatures réellement vivantes.

MuEL (Léon), publicistc, attaché aux services législatifs du Sénat, né à Tronville-en-Barrois (Meuse) en 1850. Il s’est consacré particulièrement à l’étude do l’histoire politique contemporaine, et a publié : Gouvernements, Ministères et Constitution de la France de 1189 à /595(1896) ; Précis historique des Assemblées parlementaires et del hautes Cours de Justice en France de f789 à fS95{lS96) ; les Crises ministénelles en France de fS95 à iS98 (1898) ; Histoire politique de la 7’ léijislature {f898-i902^, avec le compte rendu des Hautes Cours de 1899, i900 et idbi (1902) ; Tableau xynoptiijue de tous les Ministères de la troisième Hépublique (1902). II a collaboré au supplément du « Nouveau J>arousse illustré n.

    • MuLLER (Edouard), homme d’Etat suisse, né à

Dresde on 1S48. — L’Assemblée nationale suisse l’a élu président de la Confédération pour 1907.

MuRZSTEG, comm. d’Austro-Hongric (prov. do Stvrie [cercle do Bruck]), sur la Mur, sous-aflluent du Danube ; 2.500 hab. Château impérial servant de rendez-vous de chasse dans un site magnitique renomme pour ses gorges pittoresques En 1903. entrevue importante entro le ministre des affaires étrangères russe, comte Lamsdorf, et le chancelier autrichien Goluchowski. Elle eut pour objet de régler l’action parallèle des deux puissances en Macédoine. Le programme élaboré, et que les puissances réussirent très difticiicment à faire acceptera la Turquie, malgré l’adhésion presque immédiate de tous les Etats signataires du traité de Berlin, comprenait essentiellement la création dune gendarmerie internationale et do deux agents civils étrangers.

^MUSÉE n. ra. — Enctcl. Admin. Les musées départementaux et communaux peuvent être investis de la personnalité civile. (L. de fin. du 16 avr. 1895, art. 52.) Un décret du 30 septembre 1906 a réglementé l’organisation et l’administration de ces établissements. Le département ou la commune propriétaire adresse une demande au ministre chargé de l’administration des beaux-arts. Si cotte demande est agréée, un décret rendu dans la forme ordinaire des reconnaissances d’utilité publique porte création du musée et approuve ses statuts. J>e musée est administré par un conseil d’administration dont la composition est déterminée par l’article 4 du décret du 30 septembre 1906. Le président de ce conseil représente l’éialilissement dans tous les actes de la vie civile, prend des délibérations soumises à l’approbation du préfet ou à l’auiorisation du conseil d’Etat après avis du conseil général ou du conseil municipal. Le musée a un budget autonome.

— Musées nationaux. Un musée national de l’art de lo Benaissance, relevant du service des monuments historiques, a été créé dans lo château d’Azay-le-Rideau, en vertu d’un arrêté ministériel du 7 novembre 1906.

MUSICOTHÉRAPIE (de musique, et du gr. therapeia,

traitement) n. f. Traitement par la musique.

— Enctci,. La musicothérnpie ne semble pas encore avoir donné des résultats très probants ; l’action do la musique sur les dégénérés mentaux, qui est indéniable, semble simplement tenir à ce l’ait qu’on attire leur attention par un bruit anormal et est du même ordre que la présence d’une personne étrangère, le changement d’habitation, etc.

N

  • Natal. — La colonie anglaise du Natal, qui, pendant

toute la guerre anglo-boer, s’était signalée par sa fidélité à l’Angleterre, a été troublée, depuis le mois de janvier 190G, par un soulèvement indigène des plus graves. La première occasion en fut la levée sur les Zoulous, par les autorités du Natal, d’une taxe dite électorale que beaucoup d’indi-

fènes, trop pauvres, se refusèrent à payer. Un constable lanc ayant trouvé la mort dans une bagarre provoquée par la levée de l’impôt, douze indigènes furent condamnés à mort, et, malgré l’intervention du gouvernement anglais, exécutés. 11 est à noter que les noirs condamnés appartenaient à l’Eglise éthiopienne, qui possède des partisans fanatiques parmi l’élément nègre. Au mois d’avril se produisait au Zoulouland lo soulèvement du chef Bambata, dont les 3.000 partisans, après avoir taillé en pièces une petite troupe de police dans le voisinage de Greytown, furent finalement défaits au mois de juillet 1906 par la colonne anglaise du colonel Barker, prés de Noodsberg, après avoir montré un courage extraordinaire. Les mesures de répression prises contre les indigènes ont amené un vif conflit entre le gouvernement autonome du Natal et le parti libéral anglais, dont le gouverneur anglais de la colonie du Cap, lord Elgin. se (it inutilement rinterprète au moment de l’exécution des douze indigènes, qui fut le point de dépari de la rébellion.

  • NETTOYAGE n. m. — Enctcl. Nettoyaqe par le vide.

Les poussières accumulées dans les appartements, les usines et ateliers, et, en général dans les locaux quels qu’ilâ soient (hôtels, cafés, restaurants, magasins, théâtres.

wagons do chemins do fer, bateau .,ii

vivent, ou simplement séjournent, .-r-

ment d’innombrables germes patli-^ i.-Is

l’un dos plus cummuiis est le mirr-W.- -Je la mbcrculoso. D’autres poussières contiennent les germes de la scarlatine, du typhus, etc., sans compter que certaines industries produisent des poussières irriiaotcs ou toxiques dont souH’rent les ouvriers.

Lo ncttovago de ces locaux, industriels ou privés, a pour effet de soulever les poussière» avec les corpuscules nocifs qu elles renferment, cl, par conséquent, do faciliter la propagation des microbes.

Si la plupart des hôpitaux, pour se conformer aux prescriptions de Ihygicne moderne, possèdent à présent des murs rovétus d’enduits qui permettent des lavages et nettoyages fréquents, il n’en était pas moins assez difrlcile jusqu’ici de suivre leur exemple dans les mais^jns particulières, où les nettoyages n’ont guère d’autre résultat que do déplacer la poussière sans Ta détruire. En elfct. lo lavage des murs et planchers, le balavage humide des parquets ne sont pas toujours praticables, et, en admettant môme qu’il soit souvent possible d’v procéder, le nettoyage des meubles, le battage dos ’lapis surtout. tournissent encore assez de poussières pour que les précautions prises restent à peu près vaines.

Ce problème assez complexe de l’hygiène a reçu, quant ù. la suppression des poussières, une solution qui paraît devoir se généraliser : il s’agit du neltoqnge par le vide.

Il existe à l’heure actuolle plusieurs appareils dont l’organe essentiel est une sorte de pompe pneumatique agissant par aspiration. Actionné soit à laiile d une manivelle à main, soit au moyen d’un petit moteur électrique pouvant se brancher sur une prise de courant quelconque, rappareil d’aspiration est logé dans un récipient portatif en métal, parfaitement clos ; un tube de caoutchouc terminé par un ajutage spécial (dont lo dispositif est variable, mais affecte le plus souvent la forme d’une bouche), véhicule les poussières aspirées par la pompe jusqu’à un réservoir dont on n’a qu’à brûler le contenu de temps à autre. Quand l’aspirateur fonctionne, on promène I ajutage sur les choses à nettoyer (lapis, tentures, literie, meubles et jusque dans les tiroirs, dans le capiton des sièges, les rainures des parquets, sur les rangées de livres d’une bibliothèque, partout enfin où balais, brosses et plumeaux no peuvent pénétrer), sans qu’il soit d’ailleurs besoin de rien déplacer pour obtenir l’élimination complète de la poussière.

NgOUSSA, oasis du Sahara ccnlraL à 150 kilomètres environ au N. d’Ouargla, dans la dépression qui prolonge au S. la sebkha Safioun. Palmeraies. Point d eau sur la route des caravanes de Biskra à Amguid.

  • Niagara. — Les observations faites par le D’ J. W.

Spencer en 190b sur les causes du recul do la chute canadienne du Niagara prouvent que co recul n’est pas dû, comme on le croyait jusqu’ici, au sapement, par les remous mêmes de fa chute des grès tendres et des schistes qui en forment lo pied, mais a l’attaque directe, par les eaux, du calcaire dur dans lequel est établi le seuil du déversoir. Les ébonlements relativement fréquents qui se produisent au sommet de l’escarpement fournissent la preuve de l’exactitude de ces observations ; par suite de ces ébouicmcnts, l’aspect de la cascade varie, et présente la forme d’un fer achevai, tantôt régulier, tantôt entaillé d’une cannelure au sommet do sa courbe.

NiCOLAY (Jules-Fernand), avocat et publicist© français, né à Paris en 1848. .Vvocat à la cour d appel en 1872, il plaida dans quelques affaires importantes. Dans do nomhreuses conférences, il traita des idées politiques et sociales. Outre des opuscules, !»rochures. articles relatifs aux mômes questions, il a publié : les fùifants mal élevés 1890), étude psychologique qui a été traduite en plusieurs langues, et une : Histoire des croyances, mceurs, usages et coutujnes (1901) ; vaste et érudito encyclopédie, où sont réunis suivant l’ordre des préceptes du l)écalogue les documents les pins variés sur la vie sociale et morale de tous les peuples.

    • Nobel (LKS prix). — En présence de la cour de Suède

et des représentants des académies, lo Stonhing a distribué comme suit les cinq prix Nobel pour 1906 :

Sciences physiquex : le professeur anglais John Thomson, pour ses études analytiques et mathématiques de l’électricité.

Sciences chimiques : le professeur français Henri Moissas, pour ses travaux d’isolation et recherches sur les éléments <hi fluor, et l’introduction du four électrique dans le service scientifique. Toutes les découvertes do ce savant désintéressé, qui n’a songé à en exploiter aucune à son profit, ont été laissées par lui dans le domaine public.

Physiologie et mt’decine : les professeurs Camille Goi-cr, à Pavie, et Santiago Ramon yCajal, à Mailrid. pour leurs travaux sur l’anatomie du système nerveux.

Littérature [rruvres à tendance idéaliste) : lé poète italien Giosué Cardccci, à Bologne.

Œut^res de la paix universelle : le président des Etats-Unis Théodore Hoosevelt, qui veut employer le montant du prix à créer une commission permanente d’arbitrage entre patrons et ouvriers à Washington.

NORBERTE n. f. Petite prune noire, dite aussi prune

DE NOBBKRTE.

  • NORD (mer du).— Les observations effectuées en 1902

et en 1903 sur les côtes du Royaume-Uni et dans les mers qui les baignent, conformément au programme tracé par l’Association internationale pour l’étudo de la mer, ont fourni de nouveaux et très utiles renseignements sur l’afflux des eaux atlantiques dans la mer du Nord. Le Gulf-Siream y pénètre par les deux canaux qui séparent, l’un la côte septentrionale d’Ecosse et les Shetland, l’autre les Shetland et les Faerôer ; mais le courant issu do la Baltinue contribue aussi ù modifier c salinité des eaux dans la mer du Nord.

’-r« 

O

OLÉONAPHTE Mu lat. oleum, huile, et de naphle^ n. m. Nom donné aux huiles lourdes provenant des résidus de la distillation du goudron, et que l’on utilise au graissage des machines.

r. ;

MU EL — PENNA

0RTH08TATI8MC ^iu gr. orthot, droit, et alatoi, stabU) Il m. Action de se tenir debout ; station verticale.

Othon de Habsbourg, . ’

cadet de l’an-hiduc Erau- ;"

somptifdu trône d’Autriche’, i,-Vienne en I9oc. Il était In s.Ton ! i frère lui-même de 1 empipur Kra ; ■,"[ rang de gén^Tal l.-i’is rrirn,.’- :rifn , .^, placé à la ’■ .j,. j ar-

chiduc Ko : l’archi-

duc Franro i -n.tf^^w

Chotck lavaieiii Jan p :i.s*cr .> ro% •lu sang. Il avait épousé on i,,-

sèphe 00 .Saxe, dont il a eu . „,, . , „,,,M,h

Charles, né en 1887. héritier de iw-» droits au iréoé des Habsbourg, et Maximilien-Eugénc I^oais. né eo 1895.

    • OaBANCni-CHARl-TCHAD

capitale de c.-tio partn- dr- } i firéo à Fort-de-l^ossf’l [lar N ;

été de nouveau flxéo i Hangui j^ar le Uccrc ; du n décembre 1906.

  • PachiTCB iNicolasj. homme d’Etal serbe, né en 1846.

— Au mois de juin 1906, Pachilch redevint président du conseil en remplacement du général Gronitclî II dut pré sider au règlement de la question des ni :icides. qu’il décida à donner leur démission ^ -■ •• •..'>•- ..-■-. ^...^-r^-^ qu’ilscontinuoraient à toucher -.-

Il obtint ainsi la reprise des r- ■ or

l’Angleterre. Par contre, il lu. ... i©

règlement des difricultés commerc . r-.

Il ne put obtenir qu’à grand’pcinc, a : < ;,

un renouvellement do trois mois du r<f.’mi<* -ir.caîjH-r [tovisoire entre les deux Ktats. et il dut pour cela consfutir une très forte commande de matériel dariillerie aux usines autrichiennes.

Passagères (Les), comédie en quatre actes, do Alfred Capus. (Kenaissance. 9 oct. 1906.) — Robert Vandel, Quarante-cinn ans. riche, mari de 1 tntelli^’ente et bonne Amélie, semble l’homme le plus assuré d’une existence délicieusement paisible. Deux causes cependant leûnceot’ en de fâcheuses com[>lications. L’aborJ, il est si aimable que toute femme qui l’approche ralTole de Ini Pui». il est si bon qu’il ne peut voir une soulfrancc s :.- - ’ ' . r.

C’est pourquoi, sa cousine Iloricnse Vii ; e

veuve très capiteuse, éprouve à son endr ’e

er ardente sympathie. C’est pourquoi once r. .’Jr ;«^-ijne. l’iustiintrice de sa tille, brûle pour lui d une flamme qui couve sous la cendre. Hortense, aynnt t.r» ;. -n lir six mille francs, Robert les lui prête, cri* le

ait hésité à les lui demander. La r< la

jeune femme dans ses hras : il devi’ io

^o^loi^, en se disant qu’il comme : ;ia.ii en

étant très heureux tout de même. A ’c cette

première faute, ci, indulgente, par - ij.ture à

peine accomplie, Adrienne se déclare. K*.c a .juilter la famille, partir pour l’Amérique : mais aujfaravant elle implore, comme suprême adoucissement à sa douleur, une heure d’amour seulement. Kt comme elle pleure, Robert la lui accorde. Amélie vient les surprendre au Havre, et pour la seconde fois pardonne. Car elle sait bien qu’au fond son mari n’aime qu’elle : les autres sont des passagères. Une troisième occasion de succomber s’étant offerte, Robert la repousse éncrpiquement.

La pièce n’est, à vrai dire, oue la peintore d’un seul caractère, celui de Rol>erl Vandel. autour duquel l’auteur place quelques personnages comiques : I.a Herche, beau-frère de Vandel. provincial arriéré, qui, malgré lui, sert de complice : le baron de Tinols. très vient h*»nn. qui est amoureux d’Hortense, etc. Par sa t : même,

l’ouvrage est donc un peu mince. Il t-eu su-

perficiel ; car Alfred Cnp’i*. ’•n son ’■ri*, ne

parait pas prendra se

propose d’autre ir r.

du moins il réait^- a

une délicate finesse -Jans I-.- ira :!, ex ; rmi^-e jar i l.eareuses trouvailles de réflexions et de mots.

PaULZE D’IvOY t-Vntoine-Jean-Jacquc- t.... .. ^ ..^.

néral français, né à Bourges en 1813, mor’ ■<•

Couriiras, près de Vendôme, en l^93. Enj. : ’f

dans la cavalerie, à l’âge de vingt ans, .i y-rM-. ea Afrique, en Crimée, lit les campagnes d’Italie et du Mexique et gagna tous ses crades à la pointe de l’épée. Colonel en 1860. général de briija’Ie en 1*69. il venait d être placé dans le cadre de réserve lorsque la guerre franco-allemande é~la’a II ^r mit à la disposition do gouvernement de il’^ qtii lui confia une

division, puis le 22" corps d’armée.

Nommé général ■ ;- -itltre I^to. iî prit une

Part des plus brillanu-^ aux ai’l'a :rrs de 1’ ■ f

’ont-Novelles, A Saint-Quentin, son corps vrant la retraite générale, eut à supporter ) •

l’armée allemande. Le général Paulzc d’Ivo^, -^^^y -épais 1870 dans la position de disponibilité, passa dérînitjyement en I8t5 au cadre de résene.

PeirCE Charles Sanders philosoplie et savant américain, né à Cambridge (M :T=Pnrht :< :^ft- ; en l«3î». Il fit ses études à Harvard, et s’ai et aux

sciences mécaniques, l uces à

Harvard University iv .le (1903-

!90i). n a écrit un nombre c. : ni’inûires et 

d’articles sur toutes les bra : ience. sur la

logique, la prononciation du a >. et l’art de

cataloguer une bibliothèque. Il a cul.-iburé au Centwy Dictionary, au Dictionnaire de psychologie et de philosophie de Baldwin pour lalogique. el à plus rv ai très encvclopédies. Il a édité et augmenté i !a

Liuear Associative Algebra de Benjamin P- t

les Studies iti Logic par les membres de - u , : :s

University (1889). Enfin, on a de lui un volume Je Photometric Retearche* {1878).

Penna ’Affonso homme politique’ brésilien, né dans l’Etat de Minas-Geraes en 1S46. Il fit ses études do ^^roi :. entra dans la politique, fut élu député et de-int m’instre sous dom Pedro. Rallié à la République après la révolution