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ISVOLSKY

LACROIX

fois la conception do l’ion soulève certaine» difficultés. Par exemple, on no peut pas concrétiser par dos images matérielles sou déplacement par rapport à l’éilier et on doit admettre ilans sa siructuro autre chose que sa charge êloctrjiiuo : il faut suppo.ser iiuune action maintienne Tuniiù do l’ion on empt-chaat cetto charge du se disperser sons la répulsion intinio des éicmonts qui la composent.

ZSVOLSKY (h.), homme d’Etat russe, né en I86i. Issu d’une famiUo d’orip ;ine allomandc, il entra fort jeuuo dans la diplomatie russe, et, après avoir servi rjiioI((ue temps au ministère dos affaires étrangères, à .Saiut-Pétersbuurf,’, fut envoyé conimo agent diplomatique à Homo, auprès du pape Léon XIII, qui apprécia la finesse do son esprit. Il sut rétablir ainsi entre le papo et le isar des relatious diplomatiques normales, qui devinrent bientôt cordiales. Envoyé ensuite comme ministre à Munich, puis à Tokio, il sut dans ce dernier poste faire apprécier, mais trop tard, la clairvoyance avec laquelle il avait prédit une guerre qu’il ne réussit pas à prévenir. Kappelé en 1901, il fui, on avril 1900, appelé à la direction du ministère des affaires étrangères. Dans des circonstances exceptionnellement dii’ûcilcs pour le gouvornoniont russe, il montra un zèle ot une activité digues d’éloges. Il parcourut, en septembre et octobre, une partie do l’Europe occidentale, séjournant à Vienne, à Berlin et notamment à Paris, oCi il eut l’occasion de faire confirmer par lo gouvernement français les principes fondameniaux de l’accord franco-rnsso. Avec le gouvernomeot do Berlin, il négocia plus particulièrement les conditions d’uno entente contre le Udtionalismo polonais-

    • Japon. — Dans le courant de l’année 1906, un des soucis

principaux de la diplomatie japonaise a été le maintien do relations cordiales avec les Etats-Unis d’Amérique. D’assez graves incidents en effet se sont produits on Californie, où la haino dos jaunes. Chinois ou Japonais, est depuis longtemps enracinée. (V. C,v,Lit-’ORNiB.) Au mois d’octobre 1906, les autorités américaines de l’Alaska ont surpris et fusillé des pécheurs japonais qui se livraient ;i la pêche du phoque <lans les eaux territoriales américaines. D’où un état d’irritation très vif de l’autre côté du Pacifique, malgré les efforts personnels du président Kooseveli. Il est à noter égalomeut que le Japon n’a cessé d’encourager l’émigration de ses nationaux vers l’Amérique du Sud, aussi bien que vers l’Amérique du Nord. Au mois do novembre 19ûG, on effet, des légations japonaises ont été établies au Brésil et dans la répnblnjue Argentine, en même temps nue dos compagnies de navigation ont été organisées et des traités do commerce proposés aux pays ci-dessus désignés.

JapP {Alexander Hay), littérateur écossais, né à Dun (Forfarshire) en 1839, mort en 1905. Il lit ses études à Milne’s School (Montrose), et à l’université d’Edimbourg. Entré de bonne heure dans la presse périodique, ou il dispersa quantité d’articles sous son nom et sous des pseudonymes ,11. A. Page, Benjamin Ormr, E. Condee Gray), il fut secrétaire de la rédaction des «^ (jood Words » et de la « Coutemporary Review » , et rédigea en chef le « Sunday Magazine ». Nous citerons, parmi ses nombreuses publications : Three Great Tenchers : Carli/le, Tennyson and Ftuskin [^&h) ; De Quincey’s Life and Wrttini /s (1877) ; Thoreau, lus Life and Aims (1878) ; De Quincey’s meinorials (1891) ; Hours in my Garden (i893) ; un volume de vers, the Circle of tfie Year (1894) ; Adam and Lilith et autres légendes tirées des Rabbins ot autres docteurs (1899) ; ilcr Part (1900) ; Daririn, as Ethical Thinker (1901). On lui doit aussi quelques volumes d’histoire naturelle, où il raconte agréablement ses herborisations matinales dans les parcs londoniens, car A. H. Japp était un botaniste amateur passionné.

JhOUNEY (Albert Jûcnet, dit), littérateur français, né à Marseille eu 1860. Il débuta en 1887 par un recueil de vers, les Lys noirs, où se manifestaient déjà les tendances mystiques de l’auteur, et publia successivement : le Royaume de Dieu ; le Livre du jugement (1889) ; l’Etoile sainte (1890) ; la Itikiemplion {l»02). Albert Jhouney, dans une forme paruassionno non dépourvue de mérite, continuait à s’y montrer épris d’ésotérisme : il devait d’ailleurs reprendre quelques-unes dos idées exprimées dans sa brochure i’.-l’»e de la foi{&90) pour les développer dans son ouvrage Esotérisme et socialisme (1893), oii il traite de la philosophie occulte dans ses rapports avec la science moderne. ADuart Jliouney a, en outre, dirigé un périodique consacré à la littérature mystique : « l’Etoile ».

K

KatSURA Tabo (comte), homme d’Etat japonais, né dans l’île de Kiou-Siou en 1848. Il se distingua, fort joune encore, dans la lutte soutenue par les samouraï contre les flottes alliées do la Franco ot aes Etats-Unis, et, pondant les troubles de I8tî8, il prit lo parti du gouvernement impérial. Deux ans après, il se rendit en Europe pour y étudier la constitution dos armées occidentales. Il suivit les cours de l’académie de guerre de Berlin et fut attaché militaire dans cette ville de 1875 à 1873. Do retour au Japon, il fut employé au ministère de la guerre. Pendant la fuerre sino-japuitaise. il prit part aux opérations autour e Hai-Tchong t de Niou-Tchouang. Quoique temps gouverneur do Formoso après la conclusion de la paix, il fut en 1897 nommé ministre de la guerre, et il conserva ces fonctions jusqu’au début do la guerre contre la Russie.

Kaysbr (Edmond), microbiologiste naturalisé Français, né à Echteruach (grand-duché de Luxembourg) en 1857. Docteur es sciences et ingénieur agronome, élève et disciple de Duclaux, ancien répétiteur et chef de travaux à l’Institut national agronomique, Kayser, depuis 1901, est maître de conférences de microbiologie -dans cette même école et il y dirige d’autre part le " laboratoire de fermentation ». Ses travaux, qui satisfont, dans leur conception et leur exécution, aux conditions les plus rigoureuses de la science, sont tons empreints ropendant d’un caractère manifeste d’uiilitô immédiate, Kayser alliant toujours à l’esprit scientifique le constant souci de

la vie pratique ot do ses besoins. On lui doit do nombreascs éludes sur les levures séleciionuéos et sur la fermeutation lacti(|ue, et d iutéressanis comptes rendus do xuiasiuns scionliliques i I étranger , parus notamment dans les <- Annales Pasicur ’, les - Annales do la science agronomique », les « Annales de la brasserie •, lo • Bulletin du niiuibtêre do l’agriculture », etc. Il a publié ou outre deux ouvrages do vulgarisation : les Levure», ot une Microbtoluijie agricole.

KÉNADSA, oasis ot ksar fortifié du Sahara algérien, aux conhns du .Sud-Oranaia et de la frontière marocaine, et à 40 kilomètres environ à l’O. du poste français do Béchar. Un millier d’habitants environ, appartenant & la tribu des Doui-Menia, favorables à l’extousion do l’iutluenco française. Prospères palmeraies.

KCRBRECU (François-Nicolas-Guy-Napoléon Fave-ROT de), ùflicier et écrivain français, né à Caudan (Morbihan ) en 1837, mort à Paris on 1905. Fils d’un général de cavalerie, il entra lui-mémo en 183i ù l’Ecole militaire •]*■ baint-Cyr, en sortit dans la cavalerie, fut promu lieutenant en 1862, capitaine en 1866. ot remplit une mission en Europe pour étudier l’organisation desécolcs miliiairesdes différents pays.Chof d’escadron en 1870, il lit la campagne comme aide de camp du général Ducrot, auprès duquel il combattit à Reichshoffen ot àiSedan. Evadé après la capitulation, il rejoignit son chef à Paris, ot remplaça â la tête de ses éclaireurs lo commandant Frauchotti. tué à Champigny. Après la campagne, il s’occupa do la réorganisation do la cavalerie française, fut attaché au service des remontes, oc nommé lieutenant-colonel en 1876. ’l'rois ans après, il était envoyé aux Etats-Unis pour y étudier les procédés d’élovago du cheval do guerre. Colonel en 1881, général do brigade en iggc, divisionnaire on ï&9i. il fut adioint à l’inspecteur général des remontes, puis placé à la tête de ce service, dans lequel il apporta de nombreuses améliorations. Il a publié : tes Chevaux de l’Amérique du Nord [Etats-Unis et Canada] (1882), ot après sa mort ont paru Mes souvenirs (lyo.’i), où se trouvent d’intéressantes pages sur les derniers combats de l’armée de Sedan, sur le siège de Paris, la journéo do Champigny, etc.

Kharbine, ville de la Mandchourio septentrionale, sur le Suuugari, aftluent du âeuve Amour ; 40.0o0 hab. Ce n’était, avant 1896, qu’un simple village mungol, lorsque les Russes en tirent le point d’embranchement de l ;i voie ferrée vers Port-Arthur, nui se greffait à cet endroit sur lo Transsibérien. En quelques années, une ville de bois fut créée de toutes pièces, qui devint bicntét le grand centre dos approvisionoomenis désarmées russes en Niandchourie. C’est encore ce ruie que remplit Kharbine pendant les hostilités russo-Japonaises, avant de perdre de son importance après la clôture des opérations ot l’évacuatiou de la Mandidiourie par les Russes.

KHEVENHULLER-METSCHiRodoIphc-I.adislas-Jean-Joseph-. Mane, comto dk), diplomate autrichien, né à Vienne on 1811. Il appartient à une très ancienne famille d’origine franconienne. Après avoir pris part, en qualité d’ofticier, à la guerre contre la Prusso en 1866, il entra dans la diplomatie, comme attaché à la légation autrichienne en Italie, en 1867. Secrétaire d’ambassade en 1872, il alla, comme agent diplomatique, à Sofia, en 1879. II fut ensuite nommé à Belgrade avec le titre de ministre plénipotentiaire, de 1884 à 1886. Lcs Serbes venaient d’étro battus par les Bulgares à Slivnitza ot à Pirot ; il intervint auprès des vainqueurs, et il réussit à imposer au prince Alexandre de Battenberg et à lui faire signer un armistice avec les vaincus. Il fut ensuite ministre à Bruxelles (1888-1891). Ambassadeur en I901.il fut nommé en cotte qualité, à Paris, le 10 décembre 1903. De manières courtoises, d’esprit cultivé, le comto Khevenhùller-Metsch unit à ces qualités porsonDollcs toute les traditions d’uno vieille race.

  • KuvCZKO (Julien), poète et écrivain polonais, né à

Vilna en 1828. — Il est mort à Varsovie en 1906.

KnoBBL (Charles-Auguste), oxégèto allemand, né à Tzschecheln, près do Sorau, on 1807, mort à Giessen en 1863. Privatdocent on 1831, il devint on 1835 professeur extraordinaire de théologie à Breslau ot, en 1838, professeur ordinaire à Giessen. II a publié : te Prophétisme des Hébreux (1837) ; les Tables populaires de ta Genèse (1850) ; dos commentaires sur le Koheleth ^1836), sur /*aîe (1843. 3* édit-, 1861), sur la Genèse {2* édit., 1860), sur l’Exode et lo Lévitique (1857), sur les Nombres, le Dettt^ronome et Josiié {Sùl). D’autres éditions de ses commentaires sur le Pentateuque ont été publiées par Dillmano.

  • K0CH (Robert), médecin allemand, né à Clausthal on

1813. — Il a obtenu en 1905 le prix Nobel (physlologio et

médecine).

KOEBKE (Christen Skjellerup), peintre et graveur danois, né et mort àCopenhague(isio-i84S). Il fréquenta l’Académie dès l’âge do treize ans et devint ensuite élèvo de Lorentzen et Eckersberg. Il acheva ses études on Italie, qu’il visita en 1838. Do 1845 à 1S46, il exécuta des décorations à fresque au Tborwaldsen- Muséum. Parmi ses œuvres, citons : le Vieux Matelot (galerie do Coponliaguo) ; Malin à C*rt/>ri (château de Fredenksborg, 1844). Il agravé plusieurs de ses meilleures compo :>iiions.

KOMADOUGOU. — D’après la délimitation convenue en I9i>6 entre la France et l’Angleterre, le cours du Komailougou forme la limite méridionale do la zone d’influence française aux confins de la Nigeria.

KORN (Arthur), physicien allemand, né à Breslau en 1.S70. [1 fit aux universités de Fribourg-on Brisgau, Leipzig ot Berlin, ses premières études scientifiques, qu’il alla compléter à Paris, où il lut l’élève de Bouty, de Picard et de Poincaré. De retour en Allemagne, il fût nommé professeur à. l’universiié do Munich (1895). Entre autres ouvrages, il a publié d’excellentes Leçons sur la théorie du potentiel (1899-1900) et de nombreux mémoires sur la méthode de Noumaon. lo problème de Dirichlet, les vibrations universelles de la matière, l’induciion magnétique, etc. : mais il est surtout connu pour sa découverte de la téléphotographie (v. ce mot) ou transmission des images photographiques par le télégraphe. Les premières expériences de Korn relatives à co sujet furent effectuées à Paris dans lo laboratoire de Carpentier et le résultat en avait été communiqué à l’Académie des sciences en 1903, mais

les photographies alors obtenues éuient floues ; grâce à divers porfectioiiuomeuis, Iok appareil* ont donne deb résuliau oocourageauiA (déc. 1906,. V. tklki uotoukai’Uib.

KOSER Jleiohold), h

sow, près de Prenzlau .i

il ^ u u J.I.*.

Grand de i

succéda en -i

nuuonaluii i r i

demie den bcienccn «i uvuiiiio, en lo - • ?

1 Etat prussien. Ses principaux ou^ .. j

règne de Frédéric lo < ;r :,i, i .i.< J- , ^

recueils do ducuments : •’ j,

règne de J-’rédénc IJ ih’ f

du roi Eréiicrie Ir Grand. - . j

de Frédéric le Grand avec U- j-

pondance de Frédéric ie Grand . c

Gumbkow et Pierre-Louis Mortuu II- ..i s <|uelques ouvrages d’érudition : lr<a prince royal (i88Û) : HecUerchet sur i

bourg et Je la Prusse, t. P’ à |V . isrji i/^v ; . i-.ni.i. : ( Liât actuel des recherches dans les arcbites en Pnuse (I90o ;.

♦KOUTZO-VALAQUES, T,.,n, ,i.,-,r,.. .t. Ir..-,.,1,.,r... à

iino fraction assez

l0’ :alisée surtout ’ i-

loniquo. — Ce sont --■■ ■■

mais géuéraloment etaidics >, -t

demi au S. du Danube, et 1 r»

seulement a conservé l’usage a<- u s

autres parlent en général lo serbr 1

pont être évalué à 30.000 environ, .m. : . . ;ont adopté les mœurs ei la culture gre< ’jins.

Les Koutzo-Valaqucs ont été, en 1906, l’occasion principale du conflit entre la Grèce et la Ro’jniaiiic. Sou’î j^ré-

lexte que le patriarcat grec, s< ■.t par la Turquie, faisait de son .<

trumont de propagande paub> a

demandé la création d’un exar ir les

Koutzo-Valaqucs, et la snppre— ou ils

se trouvent «lo se servir de la j . r !’ :i.-- . complissemenl lies rites religieux. 1-a i par un iradé, la constitution des Kou ;/ nmnautés religieuses, il s’ensuivit, :

doinc, une agitation violente, et la rupture iie& relations diplomatiques cotre la Roumanie et la Grèce.

Krieghammer Edi.

litique autrirhien. né a . 1

en 1906, lOntré fort jeune

vit dans la cavalerie, se

Je Bohème, en 1866, devi : ’

exercé plusieurs comma

rie, fut nommé ministre de ia _ *■

quitter ce poste que neuf an^ . t

caractère énergique, mais fort ] !

des délégations, et notamment iic su r

d’elles le principe de l’augmentation ’U.

En désaccord avec le chef d’éial-maj , . :,

il se retira, eo 1902, devant l’oppositiuu crtfii»b<inLo des

Hongrois.

KUENEN (Abraham), sava ;/ ’ ^.

né à Haarlem en 1828, mort à : a Leyde et, en 1853, fut nommé pr

gese de l’Ancien TestamentàlUiiiv ^

œuvres sont : fiecberche historique et •■ ; et la réunion des livres de l’Ancien ’I <

réimprimé en 1889. Lo premier volume a :i

français. Citons encore ; la Religion d’hr ;

chute de l’Etat Juif (1869-1870 : fiJÛ.-’ju i religions universelles il882) ; /’ en Israél {S’h), ouvrages qui

notoriété parmi les eiégêies d,i , ... h était un des directeurs de la • Revue iheoiugique ».

KYMATOLOGIE ’ ;’( — du gr htrrn. afor. flof . et hgos. discours ) n. f. N * ré

dans le laiiL . ’

chapitre de . i ^

des vagues de i eau, ies ri^^e^ Ju ^aMc >'ii -ie la neige, etc.

LaberthONNIÈRE (Lucien), théologien ^

français, né a Chazelet i^Indre] on 18Go. 11 -

congrégation do l’oratoire, enseigna la j i . , i

collège de Juilly, se fit recevoir licencié es leiiro. lievinl directeur de l’école MassiUon, à Pans, puis du collège de Juilly. A la mort de l’abbé Denis ijuin 15" ’1 "rit la direction dos • Annales.de philosophie chre ; avait déjà publié plusieurs articles : le I g ieux ; le Dogmatisme moral ; i.. ’

de Pascal ; etc. C«s articles, où ■

dite do l’immanence (v. imma :- "

sous le litre : Es^- *

livre a été mis à -^

la condamnation. < •

tien et iidéatisme grec .li"’4.. et aes anicus u^ua ta. • Quinzaino •.

IiACOMBLEZ (Paul-Henri li-tér.iteur et rdileur. né k Solesmes (Nord) en 1855. : -^- ’1 ’^^

vint l’éditeur des jeunes ’ ^ dans

r . Art moderne., la «Je.. - _ - - "D’c ’ ;

dionda lui-même la i’/^wa- ■ ^^ ■ ina aans la^ulleavec

la . Jeune Belgique . et p : a -^ jremicres œuvres do Maeterlinck, Van Lerbcrtiiie. Feri.and Sévrnn. Louis Delaitro. Paul Lacomblez est lui-même un littf rateur de talent • après avoir réuni d’aimables pièces s-. us le litre de Jeunes Filles f 1890 U s’affirma par un poème dramatique en trois taoleaui : Xo/A e( ses filles.

Lacroix (Jean-François db), conventionn ?! français. né à Pont-Audemer en 1754, décapité a Pans en 1794. U était, en 1789, avocat à Anet. Procureur général syndic du département d’Eure-et-Loir, deui ans après il mt