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    • GARNI n. m. ~ Kncycl. Dr. Los logeurs on fjami sont

imposables à la patente et à la licence. Mais si la régie dos contributions indirectes ne les astreint, on pratitjue, à ce dornier droit iju’autaut qu’ils fournissent habituellement des aliments et des boissons à leurs locataires, l’administration des contributions directes n"accordo l’eiemption do la patente qu’à ceux qui so restreignent dans leur habitation personnelle pour en louer une partie pendant un court laps do temps, une saison balnéaire, la durée d’une foire par exemple. Elle en exonère encore les personnes qui s’absentent pour un voyage et louent pendant ce temps leur apparlemeni en garni, ainsi que celles qui louent une maison de campagne un ’elles n’habitent temporairement pas. Mais le lise considère comme loueur en garni et impose comme tels à la patente ceux qui, dans les villes d’eaux thermales ou dans les stations balnéaires, garnissent do meubles pour les louer, soit dos maisons entières, soit des appartomeuts indépendants do leurs habitations personnelles : ceux qui, en tous lieux, louent toute l’année tantôt à l’un, tantôt à lautre, une partie do leur maison garnie, et notamment ceux qui dans les villes do garnison ou de facultés louent habituellement des chambres meublées aux officiers ou aux étudiants.

GaRSCHINE Eugène Mikhailovitcli), littérateur russe, frère de Vsievolod (v t. IV), né eu 1860. Professeur do littérature russe et directeur d’une revue estimée : t la Richesse russe u, il a publié des ouvrages do critique et d’archéologie, notamment un livre sur la Littérature fusse du XIX’ siècle 1 1393).

  • GaSTINEL iLéon-Gustave-Cyprion), compositeur français,

né à Villcrs-les-Pots (Côte-d’Or) on 1823. — Il est mort à Frcsnes-les-Rungis en 190G.

GauDEACT i^rarie-Bernard}, théologien et prédicateur français, né à Bourges en 1854. Après avoir fait ses études au petit séminaire de Blois et au collège des jésuites de Bordeaux, il entra dans la Compagnie do Jésus (1873). Il y devint professeur de littérature, pour les jeunes religieux, prédicateur et professeur ae sciences sacrées. Docteur es lettres en 1890, avec deux thèses de littérature espagnole. Attaché en 1892 à l’Institut catholique de Toulouse, il fut nommé, en 1894, professeur de théologie fondamentale à l’université grégorienne de Rome, et, en 1896, professeur de dogmatique à l’Institut catholique de Paris, où il resta jusqu’en 1899 Dans l’intervalle de ces divers enseignements, il prêcha des stations dans la plupart des principales chaires de Paris et de la province. sécularisé après la loi de 1901, il continua son enseignement parla prédication et les conférences. En 1906-1907, il fit un cours pul)lic d’apologétique, très suivi, à l’Institut catholique de Paris, et y prit nettement position, mais avec des vues larges et personnelles, contre la philosophie subjectiviste, rapologétique de l’immanence , les tendances de l’hypercritique. On a do lui : les Prêcheurs burlesques en Espagne au xviii* siècle (étudo sur José Francisco do Isla [thèse française, 1891]) ; De Pétri Joannis Perpiniani vita et operibus (1530-1566), thèse latine (1891) ; Libellus Fidei exhibens décréta dogmatica et alia documenta ad Tractatum de Fide pertinentia (Manuel dogmatique du traité de la foi [i89d]) ; le Besoin de croire et le besoin de saroir (1899] ; Panégyrique de saint Thomas d’Aquin (1901) ; l’Eglise et l’Etat laïque. Séparation ouaccord ? (1905) ; Via crucis. Le pourquoi et le comment de la souffrance. 11 a publié en outre de nombreuses brochures oratoires et philosophiques.

Gauthier i ;Marie-Jules).érudit français, né à Besançon en 1S48, mort à Dijon en 1905. Elève de l’Ecole des chartes, il fut nommé archiviste du Doubs, puis de la Côte-d’Or. Il devint en 1903 correspondant de 1 Académie des inscriptions et belles-lettres. Outre de nombreux travaux dans les « Mémoires de l’Académie de Besançon » et ailleurs, on lui doit : Département du Doubs : inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790 (1883-1895 et 1900) ; Inventaire sommaire des archives de Baume-les-Dames antérieures à il90 (1892).

Gauthier (Armand-Elzéar), homme politique français, né à Fitou (Aude) en 1850. Il fit ses études en médecine, puis s’établit à Sigean, dont il devint maire en 1881. Conseiller général de l’Aude en 1886, honoré de plusieurs récompenses pour les services rendus dans différentes épidémies, il fut élu en 1891 sénateur de l’Aude, et siégea dans les rangs du parti radical. Membre du comité consultatif des chemins de fer, il participa aux discussions touchant le régime des boissons. 11 reçut dans le cabinet Rouvier ,1905) le ministère des

travaux publics, où il fut rem-

placé, en 1906, par Barlhou.

    • Gautier ( Jules - Joseph -

Alexandre , professeur et ad-

ministrateur français . né à

Strasbourg en 1856. — Il a con-

servé, sous le ministère Cle-

menceau (1906), ses fonctions

de directeur du cabinet du mi-

nistre de l’instruction publique. L’autorité qu’il s’est acquise

en matière de réformes péda-

gogiques lui a valu de figurer

comme délégué de la France

aux congrès internationaux

d’enseignement de Nuremberg

et de Liège.

GEERTZ ;JuIius). peintre al-

lemand, né à Hambourg en 1837,

mort à Brunswick en 1902. Elève des frères Gensler et de Jordan à Dusseldorf, il étudia également à Paris en 1864. Peintre de genre plein d’humour et de vigueur, il s’est acquis une réputation par : le Criminel après l’arrêt^ l’Ecole dit village, la Jeune Fille et le Xid, etc.

^Genève (conférence de). — Une nouvelle conférence de la Croix-Rouge s’est réunie à Genève à la lin d© juin 1906, afin de reviser et de remettre au point, en tenant compte de la puissance des armes actuelles, ’la convention de 1864 relative au traitement des malades et des blessés. Cette contérence, où étaient représentés trente-sept Etats, sur les quarante qui avaient signé la Convention de 1864, a été présidée par Odier, ministre de Suisse à Saint-Pétersbourg. Elle s’est notamment occupée du modo de protection des ambulances sur le

Jules Oautier.

champ do bataille. La Fran. :c y eiaii représentée par Kevoil. Le protocole final, comprenant huit articles, a été

Mgné le 6 juillet.

  • OÉNlE n. m. — Encycl. Milit. Un décret du 5 novembre

190 1 a complété le corps du génie français par la création, en Indo-Chino, de compagnies indigènes, dont le nombre est laissé à l’appréciation du mtoistro de la guerre et du ministre des colonies.

GÉNY (Françoisi, jurisconsulte français, né à Baccarat (.Meurthe-et-Mosello) en 1861. Professeur do droit civil â luniversité de Nancy, il a publié : Méthode d’interprétation et sources, en droit privé positif (1899).

    • GÉODÉSIE n. f. — Enctcl. Bureau central de géodésie

internationale. Vn bureau international de géodésie fouctionoe depuis 1806 près do Berlin. Dirigé jus.m’en 18S5 par le lieutenant général Baoyer, puis par 1 ingénieur liclmort, il avait été réuni en 1869 à l’Institut géodésique do Prusse. Au nombre des Etats adhérents figurent la France, lAusïro-Hongne, ritalie.laRussie,etc. Les travaux de l’institut ont pour but de coordonner et d’instituer des recherches relatives notamment à des déterminations astronomiques de la verticale on longitude et en latitude, au niveau moyen et & la dénivellation da la surface des mers, & la réfraction des rayons lumineux par l’atmosphère ’, etc. Il fonctionne sous la surveillance du ministre do l’instruction publique de Prusse, et a son siège au Teleoraphenberg, à Potsdam. * ’^

    • Ge0RGES de Grèce ^prince), né à Corfou en 1869. —

La situation du prince Georges de Grèce devint difficile en Crète eu 1900. Le nrince en effet ne pouvait rester en désaccord avec la diplomatie grecque, qui protestait contre les nouvelles réformes d’administration et de police que les puissances se proposaient do réaliser en Grèce. D’autre part, représentant des puissances, assisté d’une gendarmerie internationale, il ne pouvait effectivement résistera leurs désirs très manifestement exprimés. Les puissances ayant, le 18 septembre, fait connaître à la cour d’Athènes leur intention de poursuivre les réformes, le prince Georges résigna ses fonctions et fut remplacé par Zaïmis.

Gerhardt (Charles-Emmanuel), mathématicien allemand, né à Herzberg (Prusse) en 1816, mort à Ilalle-surla-Saalo en 1899. En 1870, il avait été appelé à diriger le gymnase d’Eisleben, et il conserva ces fonctions jusqu’en 1893. A cette époque, il se retira à Thorn. II est connu pour ses publications : /« Découverte de l’analyse supérieure (1855) et Histoire des mathématiques en Allemagne (1877), mais, ce qui a contribue encore à sa notoriété, c’est la publication qu’il a faite des Œuvres mathématiques (1849-1862) et des Œuvres philosophiques iiilô-l^^ù) de Leibniz.

GernEZ (/)e«it-t ?-Jean-Baptiste). physicien français, né à Vaienciennes (Nord) en 1834. Reçu à l’Ecole normale supérieure en 1855, il occupa successivement les postes do professeur de physique au Ivcée d’Agen J^1858), d’agrégé-Dréparateur à l’Ecole normale (1860), de professeur aux lycées de Dijon (1864), de Versailles (1866), de Saint-Louis (1867) et de Louis-le-Grand, à Paris (1868). Depuis 1873, il professa un cours de chimie générale à l’Ecole centrale des arts et manufactures et devint en 1881 maître de conférences à l’Ecole normale. Elève de Sainte-Claire Devillc et de Pasteur, Gernez a écrit de nombreux mémoires dans les « Annales scientifiques de l’Ecole normale «, les t Comptes rendus de l’Académie des sciences », le « Journal de physique u, etc. Ses recherches sur les solutions gazeuses sursaturées et les liquides surchauffés lui oui permis de formuler une théorie préciso de l’ébullition. II a indiqué la cause do la crislalUsation subite des solutions sursaturées et fait voir qu’une parcelle cristalline la provoquait seulement dans les substances isomorphes, d’où possibilité de séparer les cristaux hémiédriques de leurs symétriques. En étudiant les substances hors d’équilibre isur-

chauffo et surfusion cristalline, vitesse do transformation des

différentes variétés de soufre),

il découvrit la persistance de

leurs modifications sous des

inâuenccs diverses, même

quand on les ramène dans les

conditions initiales de tempé-

rature. Par la mesure du pou-

voir rotatoiro, il se rendit

compte que les combinaisons

chimiques ne s’opèrent pas,

ainsi que cela semblait résul-

ter d’ouservations antérieures,

en proportions quelconques,

quelque complexes que soient

les corps mis en contact. Ger-

nez fut élu membre de l’Aca- /

demie des sciences de Paris

^" ’^^’^- Giacosa.

    • GlACOSA ^Giuseppe), au-

teur dramatique italien, né à CoUcretto-Parella (Piémont) en 1347. — Il est mort au mémo lieu en 1906.

  • GlaSSON ^Ernest-Désiré jurisconsulte français, né

à Noyon i.Oise) en 1839. —Il est mort à Paris en 1907.

Gloag Rév. John Platon J. théologien écossais, né à Pcrth en 1823, mort à Edimbourg en 1906. Il étudia aux universités d’Edimbourg et de Saint-Andrews, où il prit son bonnet de docteur, et exerça le ministère successivement à Dunning (1848’). à Blantyre (1850) et à Galashiels (1870), où il prit sa retraite en 1S90. après avoir été modérateur de rassemblée générale de l’Eglise d’Ecosso en - 1889. De 1896 à 1899, il occupa par intérim la chaire do critiquô biblique à l’université de Saint-Andrews. P. J. Gloag a publié un grand nombre de commentaires sur les Ecritures, et plusieurs traductions d’ouvrages théolo^ques allemands. Parmi ses oeuvres originales, on peut citer : des Traités sur l’assurance du salut (1850) ;

^ur la justification (1886) ; Sur le monde priméval (1889

et Sur la résurrection (1862) ; Practical Christianity (1866) ; Subjects and Mode of Baptism (1891) ; Evenina Thougkts (1900), et des Yiesdesaint Paul X^^) ex. de saint Jean (1893).

GasUNDt ville d’Austro-Honçrie (prov. de Basse-Autricbo [cercle d’Ober-Manhartsberg^,}, sur un petit sous-

GARNI — GORE

affluent du Danulie ; S.O’j

VjJle do la prov. do Car

Ln-scT, sous-afdueot du Lj

Métallurgie.

uses. —

sur la

voo hab.

GOEJC ’Mirha^I Jan de), arabisant hollandaÎB. né à Drouriji. (Kr H suivit, à partir de i^si. !es

cours do I 11

en 1860 ave

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-7 ,v" T.-.- -’"*" ayant pour titre : Dacripti’j

al-Maqnbi s>n..^.i ■■ ht,., reytouum al-Jaqubii, fui de iH’yj a 1866 « Adjutor loterprctis logaii Warnonani », séjouroa à Oxford et 5 L^r, Ir.- ;.. :,.i ;,nt Tannée l"- :.- ,j.-vu.t ,-u IMOO profess. ..Q jgç9 pr,

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valeur et de.

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l’Espagne {f.1, ,

historiens ar ■_ _ .

des ^éoaraphea arabt-a [i-

ibn al- Walid (1875) ; C’ttni

la bibliothèque de Leyde eu - v ;j.i. •j.i . -, ^i-Houtsma, I865-I888) ; les Annales écrites (en collaboration avec plusieurs savante, imoires d’histoire et de géographie orientale (isô.- :^, • G<ETZ (Léopold-Charles), théologien vieux-catf allemand, né à Carlsruho en i>*c>i. Licencié en thc-. en 1891, il fut consacré la mémo année par lévéque •. ■ . caibolique do Bonn et devint curé de Pas.sau. En ; .’ devint professeur au séminaire vieux-caiholiquc de L^uu. où il dirigea la publication du journal . Altkatholisches ^oiksblatt 1. Il a publié : la Doctrine de Cypricn svr la ném/ence (1895) ; laSitualion et les Devoirs du vieux-^i" ticisme allemand (1896) ; Histoire des apôtres des .’ Constantin [Cvrille] et Methodius (1897 ;/ ; Lazans :jésuites (1898) ; Bédemptoristes et protestants -ni’ Léon XI n, ses opinions et son influence d’après des J-.- : ments originaux 1899^ ; Jésuites et Jésuiteases. La Soci’. :.. .u Sacré-Cœur (1900) ; François-Benri Beusch ,1901) ; etc.

GOLGI Camille’i, médecin italien, né à Corteno -^prov. do Hrescia) en 1843. Recteur de l’université do Pavie et professeur de pathologie générale, le D’GoJgi a créé dans cette université un institut erpérimental d’histologie et de pathologie dont il fut nommé directeur. Entre autres découvertes on doit à Golgi celle du microbe de la malaria, microbe que le major anglais Ronald Ross devait étudier à son tour, et des études très importâmes sur l’anatomie du système nereux. Ses travaux loi valurent le prix Nobel en 1906 (physiologio et médecine’, qu’il partagea avec le savant espagnol Ramon y Cajal ! Golgi fut élu sénatear du royaume et membre de I académie des Lincei. Parmi les travaux qnll a publiés, citons : Etude expérimentale sur l’étiologte des maladies mentales (1869) ; Becherches sur l’anatomie microscopique du cervelet de l’homme (1874) : Distribution des nerfs ff des tendons chez l’homme (1878) ; Sur la structure d ’veuses

médullaires périphériques et centrales : >iist0’

logique rfj la moelle épinière 1I88I). En a avec

TenchiniLor. il adonné : le Sùslème nerveux ceiUnil ISHZ) ; Expérimentalisme delà médecine (1884) ; Sur l’anatomie microscopique des organes centraux du système nerveaux (1S851 ; avec Monti Ach : Etude sur l’histoire naturelle et la signification chimico-pathologigue de ce qu’on appelle «anguiUulo intestinale • (1887 ;; Sur l’anatomie microscopique de la moelle épinière (1891) ; Action de la chimie sur le parasite de la malaria et les accès fébriles qu’il occasionne (1892) ; Lettre sur la malaria estivo-automnale de la campagne romaine (1893) ; Sur la structure de la cellule nerveuse desganglions de la moelle épinière (1898) ; etc.

GoLTZ(Hermannn, baron de^, théologien protestant et professeur allemand, né à Dusseldorf en i !>3 :>. 11 étudia la théologie à Erlangfn, Berlin, Tubingue et Bonn (I85a- 1858), séjourna à Genève, puis à Paris (I858-I86l fut nommé prédicateur à l’ambassade prussienne de Romo (1861), professeur suppléant d’exégèse (1365 puis professeur titulaire ^1870^ à runiversiié de Bile, ensuite à celle do Bonn (lS73i. membre du consistoire supérieur et du conseil directeur de l’Eglise proie- ta :i’c prussienne à Berlin (1876). lia publié, entre air- réformée de

Genève au xtx* siècle (1861 parc j français ;

la Bévélation de Dieu par l’Histu -■ :■’<) ; Sur la

valeur morale des caractères d’hommes politiques (1878) ; les Vérités fondamentales du christianisme (1873-1891} ; les Limites de la liberté d’enseigner (1873).

    • GoLUCHOWSKI (comte Agénor), homme d’Etat autri^

chien, né en Galicie eu 1849. — Au mois d’octobre 1906, le comte Gotuchowski, qui occupait le poste de chancelier de l’empire austro-hongrois depuis lSy :>. remit sa démission à I empereur Fran<.-ois-Joseph. Le comte Golurbowski passait pour favoriser auprès de l’empereur l’influence allemande. Il l’aurait notamment encouragé à refuser aux Hongrois l’emploi dans l’armée de la langue mag5"are, et II aurait été lui-méme encouragé dans cette intransigeance par l’action personnelle de l’empereur Guillaume IL Le comte Wekerlé, premier ministre hongrois, ayant laissé entendre à l’empereur François- Joseph que les Chambres hongroises se refuseraient à voter la budget commun tant que le comte Goinchowski serait maintenu au pouvoir, ce dernier se décida à la retraite, afin de ne pas être un nouvel obstacle au difficile maintien du régime dualiste. II a été remplacé par le baron d’.Erenthaf.

GOOSSENS ^Pi erre- Lambert), cardinal belge, archevêque de Malincs, né à Perck, dans le diocèse de Malines. en 1S27, mort à Malines en 1906. Prêtre en 1850, coadjuteur de l’évèquo de Namur, puis évéque de Namur la même année (^lâS3), il devînt archevêque de Malines ea 1SS4 et fut créé cardinal en 1889.

GORE (Charles), théologien anglais, né en 1850. "Vice-principal de Cuddesdon Collège en ISSO, il était en 1334 bibliothécaire do la bibliothèque Pusey. à Oxford. En 1893, il fut nommé ricar de la paroisse de Radley, et l’année suivante chanoine de Westminster. Successivement chapelain ordinaire de la reine ■ 1900’ : et du roi (l&Ol), il devint évéque de Worcester ii902,i. puis de Birmingham (1904). Ea 1390, il rédigeait un recueil théologique Lux mûndi, où uo article de lui sur le Saint-Espri : et ricsptratioo eut un grand retentissement. Parmi