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Avant lui, Kerr avait vu fine les corps ordÎDairemcnt isotropes deviennent birùfnnyenis quand on les soumet à l’action d’un champ maf^’nt’ftiquo et qu’ils perdeut cotte propriété dès que linfluencc magnétique cesse. Le même savant avait établi aussi quo le plan de polarisation d’un rayon de lumière simple se trouve dévié lorsque co faisceau lumineux tombe sur le polo d’un électro-aimant. Zeeman alla plus loin ; il découvrit que le champ ma^oétiqiio peut modilier ta nature môme, c’est-à-dire la période vibratoire, le ran^ spectral d’une lumière simple émise ar une flamme. Interprétés au moyen de la théorie do ^orentz (v. ce nom), ces laits expérimentaux semblent manifester nettement l’existence réelle des ions. Ru tout cas, ils ouvriront à la science une nouvelle voie qui permet de pénétrer plus avant dans le mécanisme intime do la radiation et ilo l’absorption. Zeoman partagea avec Loreniz le prix Nobel pour la physique (1902).

ZezDEN ou FeKETEHALOM, localité d’Austro-Hongrie (comitat de Cronsia-li . sur un affluent de l’Aluta ; 4.035 hab. Marché ; vieille église ; ruines dun vieux château construit par des chevaliers allemands. Ce fut oaguère la capitale d’une partie do la Transylvanie.

ZeiLLER ( Charles -/îe/jf*). ingénieur français, né à Nancy en isi7. Il fît ses études au lycée Bonaparte (185i-i862,i, puis au lycée do Nancy {1862-1865} et entra à l’Ecole pulytcchnique , dont il sortit en 1867 avec le numéro i. ’Elève de l’Ecole nationale des mines, do 1867 à 1870, il fut en 1871 attaché au secrétariat du conseil général des raines et nommé en 1873 ingénieur des mines â Tours. Rappelé à Paris, il fut attaché, de 1874 à 1884, au contrôle du chemin de fer d’Orléans et, dès 1881, au service des collections de paléobolanique à l’Ecole des mines. Chargé des leçons de paléontologie végétale à cette école en 1887, et secrétaire du conseil général des mines depuis 1888, Zeiller a été, eu 1901. élu membre do l’Institut {Académie des sciences, section de botanique) en remplacement de Chatin. En 1903, il était nommé inspecteur général des mines. Parmi ses nombreux travaux qui, pour la plupart, ont trait aux végétaux fossiles et qui lui valurent en 1893 lo prix Fontannes, il faut citer ; Mémoire sur les roches éruptivcs et les filons métalUfères de Schemnîiz, suivi d’une notice sur l’école des 7nines de Scfic7nnitz (1873) en collaboration avec A. Henry, dans les « Annales des mines ■> ; les Végétaux fossiles du terrain houiller de France, dans la seconde partie de l’ <■ Explication de la carte géologique de la France » publiée par Dufrénoy et Elie de Beaumont ; Bassin houiller de Valenciennes, description de la flore fossile (1886) ; Eléments de paléobolanique (1900) ; Flore fossile des gîtes de charbon du Tonkin (1904) ; Sur quelques empreintes végétales de la formation charbonneuse supracrétacée des Balkans {1905j ; etc.

Zeka Boulioubacha, héros des guerres de l’indépendance serbe, né en Bosnie vers 178.i, mort à Ravanj Serbie) en 1813. De 1804 à 1813, il défendit contre les Turcs, en prenant fréquemment l’olTensive. la frontière serhe du côté de la Bosnie, avec une bande de volontaires dits nies garçons nus «. En 1813. il se cantonna dans un camp improvisé à Ravanj et y opposa une résistance désespérée aux Turcs venant de Bosnie. Ayant épuisé leurs munitions, ne disposant plus que de leurs couteaux, Zeka et les survivants de ses « garçons nus " se précipitèrent dans les rangs des assiégeants et se firent massacrer jusqu’au dernier.

ZÉKAT ikat’ — de l’arabe znkat. aumône) n. f. Aumône légale que tout musulman est tenu de faire, il Au Maroc, Taxe sur les bestiaux qui s’élève environ à 2 p. lûO.

Zélée, bâtiment de la marine française qui, sous le commandement du capitaine Jacquinot. accompagna V Astrolabe dans son célèbre voyage de découvertes de 1839-1840.

ZELKOWA n. f. Bot. Genre d’ulmacées celtidées.

— Enctcl. heszelkowas sont de grands arbres à fleurs alternes, simples, courtement pétiolées, dentées et cavluques ; les fleurs ont un périanthe formé de pièces assez longuement soudées ; le fruit, drupacé, est surmonté d’un style excentrique ; la graine, albuminée, contient un embryon courbe avec de larges cotylédons. Les espèces les plus connues sont la zelkowa cremata et la zeikowa acummata.

Zelle, bourg d’Allemagne (roy. de Saxe [cercle de Zvickau] au confluent de l’Eau-Noire avec la Mulde de Zwickau, tributaire de l’Elbe ; 2.500 hab. Construction importante de machines pour la ferblanterio ; cire, fabrication d’appareils de chauffage.

Zeller (Charles), compositeur autrichien, né en 1842, mort à Vienne en 1898. If fut enfant de chœur à la chapelle impériale de Vienne, puis, tout en faisant son droit, continua de s’occuper do musique et reçut des leçons du fameux organiste Sechter. Légiste distingué, il se fit une haute situation au ministère de l’instruction publique, où il exerça pendant quelques années les fonctions de directeur des beaux-arts. En même temps, il gagnait la faveur du public viennois, par son talent de compositeur aimable, gracieux et insinuant. Il avait écrit déjà des chœurs et do jolies mélodies lorsqu’il débuta au théâtre avec deux opérettes : la Fête des fous à Cologne et la Xuît de Saint-Thomas. Il donna ensuite plusieurs opéras-comiques : Joconde (1876) ; le Cafiiiaine Nicol (1880) et les Vagabotids ; mais ses deux chefs-d’œuvre sont, dit-on, les deux opérettes intitulées : le Mineur et le Marchand d’oiseaux, dont l’originalité caractérise non seulement son talent, mais l’opérette viennoise dans toute sa saveur.

ZEMA n.m. Linguist. Langue nègre apparentée à l’agni et à l’achanti. et parlée, comme ces idiomes, dans la Guinée septentrionale.

ZEMSKT SOBOR n. m. Nom donné aux assemblées de pays qui ont fonctionné en Russie au xvi» et auxvii* siècle.

Il i)es ZEMSKIE SOBORS.

— Enctcl. C’étaient des espèces d’états généraux convofjHés sur l’initiative du souverain ou qui se réunissaient d’eux-mêmes en certaines circonstances. Le premier fut convoqué sous le règne d’Ivan le Terrible (1549).

De 1549 à 16 !i8, Moscou vit se réunir dix-sept sobors. Le souverain convoquait en principe tous les pays, tous les ordres [tchinq’^ sociaux, qui se faisaient représenter par les mandataires. Nous voyons figurer dans les sobors : 1* le clergé, représenté par ses hauts dignitaires : patriarches, métropolites, archevêques, évêques, abbés, délé-

SUPPL.

gués du clergé inférieur ; 2« les gens de sen’îce, aatrement dit les lonctionnatres ; 3" les habitants des bourgs et des campagnes, représentés par des délégués.

Ces assemblées n’étaient pas convoquées d’une façon périodique, mais sur linitiaijvo du souverain ; dix se réunirent sous le règne de .Michel Fedorovilch (1645-1676) ; deux sous celui d’Ivan le Terrible (1547-1584) ; une sous

10 règne de Vasili Schouïski ; quatre sous le règne d’Alexis Mikhailovitch (1676-1690).

Après un service divin, lo souverain communiquait au sobor les raisons pour lesquelles il lavait convoqué et les questions qu’il avait à lui soumettre. Le sobor se divisait pour délibérer en commissions, qui présentaient leurs conclusions à l’assemblée, laquelle devait les adopter à l’unanimité. Les résolutions do l’assemblée étaient présentées au souverain sous forme de suppliques {tchehbitie } ; il n’était nullement tenu de s’v contormer.

En réalité, lo tiers état, c esi-à-dire les commerçants et les paysans libres, étaient peu nombreux dans ces assem blées, qui étaient loin de représenter l’ensemble du pays ; elles éiaient plutôt un instrument aux mains du souverain iiuuu organe des volontés de la nation. C’est surtout poniant les périodes de trouble et d’interrègne qu’elles eurent l’occasion do rendre des services.

Elles eurent â élire successivement six souverains : Fedor I•^ Boris Godounov, le premier faux Dmitrt, Vasili, Wladyslaw de Pologne et Michel Komanov. Le dernier zems/cy sobor fut convoqué en 1698.

ZÉNAGA, nom quo l’on donne, an milieu des tribus d’origine arabe de la Mauritanie, aux descendants des anciennes tribus berbères, dépossédés par les Arabes. Méprisés par leurs maîtres, ils leur payent de lourdes redevances. Us peuvent être vendus et se voir déposséder de leurs biens. Ils sont en général sédentaires, vivent du ])roduit de la culture do leurs palmeraies et fournissent des ouvriers travaillant avec une rare habilct43 le fer et le cuir.

Zenger (Charles-Venceslas), astronome hongrois, né à Komolau (Bohême) en 1830. Professeur de physique et d’astronomie physique à l’Ecole polytechnique tchèque de Prague, Zenger a entrepris d’imi)oriants travaux d’astronomie et de météorologie et publié les résultats do ses recherches dans de nombreux volumes ou brochures scientifiijues en diverses langues. Il s’est attaché à démontrer t|ue la loi do Newton n’est qu’approximativement exacte et, en développant co principe, veut arriver â démontrer que les phénomènes dont notre planète est le siège (cyclones, tempêtes, orages, éruptions volcaniques, tremblements de terre, etc.) sont périodiques et dépendent uniquement des mouvements du soleil et du passage des corps cosmiques à travers l’atmosphère. Zenger est membre de l’Académie des sciences do Prague. ’-'Zenker (Frédéric- Albert), médecin allemand, né à Dresde en 1825. — Il est mort à Reppenten (Mecklembourg ; en 1898.

ZenKER (dégénérescence de], altération morphologique, phy :>iologique et histochimiquc de la fibre musculaire par suite de laquelle la striation disparait ; en même temps la substance de la libre se distribue irrégulièrement et devient hyaline, compacte et fortement réfringente. D’où le nom de dégénérescence vitreuse donné aussi à la dégénérescence de Zenker. (V. dégknérkscenck.) Cette transformation est, la plupart du temps, d’origine toxitrophique.

Zeppelin (Ferdinand, comte de"), général et aéronante allemand, né â Constance (gr.-duché de Bade) en 1838.

11 fut élève de l’Ecole polylechnitiue de Stuttgart, étudia ensuite les sciences à l’uniVersité do Tubingue, puis entra dans l’armée wurtembergeoise, fut officier à sa sortie de l’Ecole de guerre de Ludwigsbourg en 1858, se fit mettre en congé pour prendre part, aux Etats-Unis, à la guerre de Sécession en 1863.

lut attaché, à son retour, à

l’étal-major général wurtem-

bergeois, combattit en 1866

contre la Prusse, mais, en

1870, suivit son roi dans l’al-

liance avec la Prusse contre

la France, entreprit comme

capitaine, en juillet 1870, le

lendemain de la déclaration

de guerre, avec quelques ca-

valiers, le fameux raid de re-

connaissance sur territoire

français, dans la région de

Wissembourg et do Hague-

nau, pendant lequel il livra

contre un détachement du

12’ régiment de chasseurs à

cheval le premier combat de

la guerre, à la ferme du

Scheurlushof. Il prit part en-

suite, dans l’élat-major du prince royal de Prusse, aux batailles de Frœschwiller et de Sedan et au siège de Paris, fut promu succe ?;sivement commandant, colonel et général de brigade, aide de camp général du roi Charles de Wurtemberg, dont il avait l’entière confiance, fut, de 1887 à 1890, ambassadeur wurtembergeois à Berlin et délégué au conseil fédéral de l’Empire et prit commr- tel une grande part â la réorganisation de l’armée allemande après 1887. Il prit sa retrait© en 1901, comme lieutenant général. A partir de 1892, il se consacra à la construction d’un ballon dirigeable de grandes dimensions, pouvant por ter plusieurs voyageurs et des charges assez fortes, réus" sit on 1900 à faire trois ascensions sûr les bords du lac de Constance, mais ne put diriger son t>allon et finalement échoua. Il construisit un nouveau ballon avec des fonds réunis en partie par une loterie, tenta en 1905 à plusieurs reprises de passer par-dessus le lac de Constance, mais ne réussit pas à diriger son ballon par un temps défavorable, contrairement à la direction des vents. Une nouvelle expérience, tentée en octobre 1906, fut plus heureuse.

ZeppeREN. comm. de Belgique (prov. de Limbourg arrond. de Hasseltl) ; 1.520 hab. Distilleries.

ZeRKEGHEM, comm. de Belgique (prov. de Flandre-Occidentale [arrond. de Bruges^} : 1.420 hab- Huilerie.

ZÈTE ou ZETES {sé-tèss) n. m. Genre d’arachnides pycnogonides, comptant quelques espèces répandues dans les mers du nord. ^Les zètes sont de petits animaux vivant

ZEIDF.X — ZICHY

parmi les algues ; ils ont les pattes courtes, lo rostro très développé, les chélicéres en forme de palpes, etc.) Zetruz>-LUHAT, comm. do Belgique prov.de Brabant

arrond. de Louvainji, sur la Grande Geeio. tributaire d» l’Escaut par le Dcm’er, la Dyle et le Rupel ; 1.6j0 hab.

ZedSS (Jean-Gaspard , historien et philologue allemand, né à Vogtendorf ( liante Franconie ; en I8O6. mort à liamberg en 1856. Il ht ses études à Bamberg et à Munich, soccupa principalement de philologie historique et comparée et tu des recherches sur l’histoire et sur les idiomes des peuples primitifs de I Europe. Jl fut successivement professeur au lycée de Spire (1839) et à celui de Bambcrg

1847). II a publié : les Allemands et les peuplades voisines (1837) ; TraditionM et poiteasions de ^Mssembourç (1843) ; la Ville libre impériale de Spire avant sa destruction (1843) ; Grammaire celtique (1BJ3J, ouvrage très important, qui a marqué le point de départ dans l’étude de la langue et des antiquités cnltiqucs.

Zeuthen (Jérôme-Georges I, mathématicien danois, né à Grimsirup (Juiland ; en 1839. Après avoir fait ses études  Copenhague de 1857 à 1862, il soutint sa thèse da doctorat en philosophie (1865 puî- :. Un i.ornrn, flr, ] ans plus tar<i, à uno chaire de m ;r ’^

de Copenhague. Il a publié ■ a

science pure sur les quadriqui r ; e

de coordonnées linéaires dans 1 cbi-a^c, sur les courJ.-e.s du quatrième ordre, sur la théorie des systèmes coniques, sur les pentaèdres complets inscrits à uno surface cubique, etc. Mais il est surtout connu comme historien des maihcmatiqucs. Dans cet ordre d’idées, il a écrit de savantes dissertations sur la trigonométrie de l’antiquité sur la résolution d’une équation du troisième degré par Léonard de Vinci, sur Newton, sur l’invention dû calcul infinitésimal, sur Isaac Barrow et la méthode inverse des tangentes et surtout une excellente Histoire des mathématiques dans l’antiquité et le moyen âge, traduite en français par J. Mascart > 1002 . 11 fut élu en 1900 correspondant de l’Acafiémie df*s sciences de Paris.

ZEDXIPPE ou ZEDXIPPUSA-x{-/yuj«) n.m. Genre d’arachnides arauéides. de la famille des salticidés, comptant quelques espèces propres à l’Inde et à la Birmanie. (Les zeu.<cippes sont des araignées sauteuses de taille médiocre, à abdomen allongé, pointu, tronque en avant, etc. L’espèce type est le zeujrippus hislrio, de Coromandel.)

ZÉVAÈS (Alexandre BouRSON. dît), homme politique français, né à Moulins en 1873. Membre du parti ouvrier français, disciple de Jules Guesde, il se fit connaître par son active collaboration au > Socialiste » et à la « Petite République » et fut admis dans le conseil national de parti ouvrier. Elu député de la 2* circonscription de Grenoble (Is^rroj aux élections générales de 1898, il échoua en 1902, mais brigua, avec succès, le 28 février IP04, I© siège de député que Gustave Rivet venait d’abandonner. Il vota la loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Il a été réélu député le 6 mai 190G, Â une grande majorité. Zévaès a publié : Aperçu historique sur le parti oturier français (1899).

Zeter (Jtdes), romancier et poète tchèque, né 4 Prague en 1841, mort en i902. Il fit des études réaies et commença par être menuisier, puis il compléta par loi-mémo son éducation, devint précepteur en Russie et finii par se consacrer entièrement à la littérature. On cite, parmi ses romans : André Tchemycher (1879 ; l’Histoire de deux fidèles amis M880) ; des nouvelles : parmi ses poésies, un cycle de poésies épiques : le Vyschrad ; l’Epopée caroling’ienne (1896).

ZlA-PACHA (Abd-ul-Hamid), l’un des promoteurs du mouvement jeune-turc, né à Consiantinople en 182ri, mort à Adana en 1881. Destiné dès l’enfance à la carrière administrative, il entra à dix-huit ans dans tes bureaux du grand vizirat. Ses goûts, cependant, le portaient vers les

Ballon du comte de Zcppelio.

lettres et il fréquentait assidûment les cercles littéraire ?, où florissait encore l’ancienne poésie turque, pédantesque et sonore, dont il sentit bientôt l’irrémédiable impuis.sance. Il se mit alors à l’étude des langues modernes, principalement du français, et traduisit les classiques, surtout Molière, Fénelon, La Fontaine, Rousseau, ainsi qn&VBistoire des Arabes, de Viardot. Depuis 1855. il était secrétaire du palais impérial ; en 1861. il fut nommé vizir du ministère de la police, puis paclia de Chypre. Cependant, à mesure que grandissait l’iniiucnce de Zia-pacha. qui collaborait aux journaux de Kemal, publiait des poésies modernes, préconisait les réformes, le respect de la dignité humaine et des droits jie chacun, la défiance du sultan augmentait- Il nomma d abord le poète gouverneur de Syrie, puis l’envoya à Konieh. enfin à Adana. C’était l’exil déguisé. Zia-pacha mourut bieutdt dans cette dernière résidence.

ZiERT^pron. zi’6cp/el (Vincent !, savant tchèque contemporain, né à Kosteler en isei. H fut attaché au musée national de Prague et nommé professeur d’histoire de la civilisation à l’université tchèque decette ville. On lui doit d’importants ouvrages sur l’histoire et le folklore de la Bohème, une Bibliographie de l’histoire tchèque, tme Bistr. ire de la danse en Bohême, une Histoire du costume. Il a fondé en 1891 une revue très estimée : le Peuple tchèque

  • ZlCHT (comte François de), diplomate hongrois, né à

Presbourg(Hongrie)enl811.— Il est mort à Kaloz en I9ù0

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