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ZANGWILL

ZEEMAN

plomb (6’ vol. <io i’^pheuiern ’pigrafifticn, i8k :,) ; Sp,icimenf ! Je manuscrits latins écrits en majuscules (on collal)or. avec Wattenhach. 1876 ; 2* ôtiit. 1878) ; ôdiùons d’Oroso (1882- 1889), et des fraffinrnts «io la lïiblo on vieux saxon de la l.ibliothôquo Pulaiinr, di-couvorts par lui (eu coilab. avec Uraune, IH<.U *

Zangwih. (Israël), romancier ot autour ilramatiquo tiiif nn-.’lais, né à Londres en I8GI. Il Ut ses études à Londres ot dovint insiitutenr à Spitattlolds. II publia en 1888 un roman satirir|uo : tfie l’rcmicr and the Pointer, roDonca à l’enseignement et donna dos articles et des nouvelles aux périodiques, en particulier au <• Pall Mail Magazino ». 11 publia alors : l/ic /iachelor’s Cluli[lS9l), qui eut un grand succôs, puis the Uiq /iow Mystery (1892) ; the Children of thc Ghetto (1892) ; Ohl MniiVs Club (1892/ ; tlhetto Tragédies, nouvelles (1893) ; the Kiitij of Schnorrers ■ ’ thé Juasler {iSo :>) :

(1894’t, recueil de fantaisies grotesques ; the

ers ’ ' ’ " ’ ■ ■

(1898) ; the

/treaniers of the Gheltu

■ Alati

Zanonie : a, coupe de la flpiir 6, coupe de la fleur fe-

melle ; c, graine.

ïantle of Elijah

(1900). Au théâtre il a fait

représenter : Six persans

(1892), qui fut applaudie à

HaymarKet ; Children ofthe

GAc(/o (18’J9) ; thc Moment

of Ûeath (1900) : the Itrvol-

ted Daughtcr (Utooj ; Me-

rely Mary Xnn (1904). Son - "tj • J’fs^^^k

bumour, son esprit satiri- ^-^ ’■ "’■Ç :*, ’.^’•^’^^ que, ses dons d’observa- / y<’V' ’^.

leur et do peintre l’ont ^^^y^ ivf&^placé au premier rang dans S-/- J :VSi ’

la littérature israôlilo et ^^ ’^.’ "s

l’ont fait appeler un « Dic-

kens juif n. Il s’est fait re-

marquer aussi par ses con-

férences on faveur de la

cause sioniste.

ZANONIE (nS) n. f. Genre

do cucurbitacées févillées,

typo d’une sous-tribu des

zanoniées,

— Encycl. Les zauonies

sont des plantes grimpan-

tes avec des fleurs pour-

vues de cinq étamiues à

deux sacs polliniquos et

d’un ovaire tricarpellé à mÂJê’ placentation pariétale ; les

ovules sont pendants. Le

fruit est une pyxide et contient de nombreuses graines ailées, La zanonie macrocavpe est un arbrisseau de l’archipel malais.

ZANZA n. m. Instrument de musiq^ue du Congo, formé d’une pièce de bois creusé rectangulaire, sur laquelle sont fixées par l’uno de leurs extrémités dix lamelles de fer. (Une sorte de chevalet mobile, qui se glisse entre la table d’harmonie et les lamcUes, permet do les faire vibrer.)

Zanzibar (protectorat dk), protectorat britannique, faisant partie do l’Afrique oritrntalo anglaise et composé de deux lies : Zanzibar et Pemba. Sa superticie est de 2.486 kilom. carr., et sa p(MïuIalion d’environ 200.000 individus. Le sultan do Zanzibar en demeure encore le souverain nominal, ainsi que d’une zone large de IG kilom. sur la côte do l’Atrique-Orientale anglaise ; mais un gouvernement britannique dirige, sous sou nom, ce protec- zaaza. torat, dont la capitale Zanzibar, peuplée de 50.000 à 60.000 hab., fut port franc de 1892 à 1899.

ZAOGYS (siss) n. m. Genre de reptiles ophidiens, do la famille des colubridés, comptant six espèces propres à l’.Vsie tropicale.

— Encycl. Los zaocys sont des couleuvres géantes, dont certaines dépassent trois mètres do long. Sveltes, comprimés, avec la tête allongée, distincte du cou, les yeux grands, à pupille rondo, la queue longue, ils ont une livrée verte et jauno variée de gris et de brun, ou grisâtre variée do jaunùtro, la première moitié du corps étant, en général, d’une autre couleur que le reste. La plus grande espèce connue est le zaocys carinatus, qui atteint 3"", "5. ("es serpents inoffensifs vivent dans les forêts humides des montagnes et attaquent toutes sortes d’animaux ; beaucoup vont à l’eau et se nourrissent do poissons.

ZAPADNIKI (mot russe ; de xapad. Occident, et qui siçnif. la Occidentaux ou plus exactement les Occidenlalistesj n. m. Nom qu’on donne en Russie aux hommes politiques qui prétendent que la Russie doit se mettre à l’école lie rOcciilent et s’mspiror de ses idées.

Zapououskaîa, bourg do la Russie méridionale (dans le territoire des cosaques du Don [cercle d’Oust-Mctvicditzkaïa ]) ; 2.900 hab. Stauitza cosaque, très anciennement fondée.

ZaraoOZA (Ignace), général mexicain, né à Montepnala en 182’.). mort à Pu<-bla en is62. De rare indienne, il fut cuinmor< ;anl lï Mont<-roy. puis avocat, et entln entra dans l’armée. Chargé par Juân-z, en 1800. du commandement d une brii^’adc, il rombaitit avec succès Miramon ot se signala A la prise de (inada-’-^apara. Promu général en chef d** lannée d’Orient, il (U fusiller, le ’i mars 18C2, le général Manuel Koblex qui servait la cause française, lut vaincu par les Français à Orizaba (îo avr.) et au délilé de Cambres. Il se défondit vaillamment h Puebla (r. mai mprii même l’olU-nsive, mais fut défait è Adulcingo ismaii et Orizaba (14 juin . Kcjtié sur le Canada-dcistapaii, il lut atteint de la fièvre typhoïde ot mourut.

Zabaia on ZeraYa, ou ZrAIA. site de ruines do l’Alto ’ province de Consl.-intino. j-n-s de Baïda-J do Séiit"). t’est probablement le site do l’i Julia, fondée jiar les Romains sur la

ilo notre

part

il reliait Si^nf a ]jiinW-r.o, et qui fut W«ro. un*> dos villes les plus prosp^ l" I Afrique, ainsi qu en témoignent de nombreuses nnnips. parmi lobnuoUe» il faut mentionner une basilique chrétienne, et dont la plus importante (une inscription

portant fixation d’un tarif d’octroi au temps de Soptimo bévôre) a été transportée au Louvre.

ZaRANZ, ville d’Espagne (Guinuzcoa), à 17 kil. S.-O. de Saint-Sébastien, au bord do 1 Atlantique ; 2.600 hab. Petit port do pécho, plage : jadis, chantiers do constructions navales.

ZaRATE, localité de la république Argentine (prov. de Buenos- .>Tes), sur le Parana ; 3.638 hab. Chef-lieu do district, arsenal maritime. Fabriques de conserves de viande, do papier, do dynamite.

ZaratE (Fernando de), auteur dramatique espagnol du XVII" siècle. Ses comédies ont été, pour la majeure partie, insérées dans le recueil des Comedias escogidat, entre ISGI et 1670. La première se trouve au tome XV (1661). Les plus célèbres do ces œuvres dramatiques sont : A h que obligan los celos, Quien habla nuis obra menos. la Presumida y la Ilti-mosa. et Maestro de Alejandro, la Hatalla dcl honor, tos Dos fHôsofos de Grecia, Quererse sin declararse, Anles que todo es mi aniîyo, el Vaso y la Piedra, el Pritner Conde de /landes, la Escuela de la gracia, la Desqracia venturosa, la Palabra vengada, la hefensora de la reina de Hungria, etc. La biograpliie de ce F. de Zarate est inconnue : l’Index espurgatoire de 1790, reproduisant les Index antérieurs, assure que Fernando de Zarate est le pseudonyme de Antonio EnriyuKZ GÔMEZ, Juif portugais bien connu par son ouvra^-e Academias morales de las Musas (1660 ; et son Siglo Pitagôrico (lG4i).

ZARGUE {ghe) ou ZARGUS (ghuss)D. m. Genre d’insectes coléoptères carnassiers, de la famille des carabidés, comptant cinq ou six espèces propres à Madère. (Les zargues appartiennent à la tribu des îicininés ; ce sont dos insectes do taille médiocre, aplatis, bruns ou roux, rugueux ; ils vivent sous les pierres, etc. Le zargus Schauini est le typo du genre.)

ZaRNCKE (Frédéric), philologue allemand, né à Zahrcnstorf, près do Bruel (Mecklembourg-Schwerin) en 1825, mort en i8i>i. Il étudia la philologie allemande aux universités do Rostock, do Leipzig et de Berlin, prit ses grades à Rostock en 1847 et se rendit ensuite à Baumgartenbriick, prés de Potsdam, pour y mettre en ordre la bibliothoquo do Meusebach, qu’il fit acheter, en 1848, par la bibliothèque royale de Berlin. En 1850. il alla fonder à Leipzig le Lillerarisches Zentralblalt. Habilité en 1853 à l’université de la môme ville, avec une thèse sur le Caton allemand, il publia ensuite une excellente édition de la Sef des fous do Séb. Brandt (1854). Il se mêla à la même époque à la polémique littéraire des yibelungfn et, outre une édition de ce poème (1856-1887), publia une brochure Sur la question des Nibelungen (1857) et des Matériaux pour l’e-vplication et l’histoire du poème des Aibcluiigoi (18.^7). En 1858, il fut nommé professeur ordinaire de langue et de littérature allemande à l’université de Leipzig. On lui doit, outre les ouvrages cités, diverses études dans les Comptes rendus de la Société des sciences de Saxe, notamment un mémoire sur le Heliand (ises). et une série do livres sur l’histoire des universités allemandes.

ZarOURIA, village d’Algérie (prov. de Constantîne [arrond. de Bône]), au-dessus de la Medjerdah. Le douar est peuplé de 3.000 hab. I-,a colonie française a planté en cet endroit de beau.v vignobles.

ZasmuK, bourg d’ Autriche-Hongrie (Bohème [cercle de Koiin]) ; 2.500 hab. Fabrique de sucre, scierie à vapeur. Eglise possédant de belles peintures.

ZaSTROW (Henri-Adolphe dk), général prussien, né à Dantzig en 1811, mort à Shœneberg, près do Berlin, en 1875. Officier d’infanterie, il étudia l’art des fortifications et publia divers ouvrages sur ce sujet. Chef de bataillon en 1848 , il servit dans l’armée du Slesvig-Holstein, mais rentra deux ans après dans l’armée prussienne. Général major en 1858, lieutenant général en 1863, il se distingua dans la guerre de 1866 contre l’Autriche. Général d’infanterie en 1868, il commanda le 7’ corps pendant la guerre franco-allemande de 1870, à Gravelotte (18 août), à Noisseville (31 août-1" sept.), prit part à l’investissement de Metz et enleva les places du Nord-Est, Thionville, Montmédy, Longwy. Ses troupes firent partie do l’armée d’occupation qui resta en Franco jusqu’en 1873. Ses principaux ouvrages sont . Aide-mémoire de fortifications iS2^) ; Histoire de la forli/ication permanente (trad. Ed. de La Barre-Duparcq.)

ZATI n. m. Sous-genre do macaqaes, comptant trois espèces répan-

dues de rîndo

à ia Malaisie.

— Encycl.

Los zatis sont

ces macaques

à queue do lon-

gueur moyenne

dont le typo

est le macaque

dû BulTon {snti

cgnomolgus) ,

espèce qui se

trouve de la

Birmanie ù ta

Cochinclnnoet

dans toute la

Malaisio , où

les Arabes l’ont

transportée jusque dans les îles Moluques. Aux zatis appartiennent aussi le macaque « toque m&le de Buffon », qui est le sati Sinicus, propre à l’Inde, et lo tati pileaius, propre & Coyian.

Z AVALA Y DE LA PuENTE (Juan DE^. marquis de SiF.nn.- lïrt-i.oNKs, général et honune poIiii(|ue espagnol, né vers 1803, mort à Madrid en 1879. Cadet dans l’armée i^isi, lieutenant des lanciers do la garde (1832 1, il combattit vaillamment sous les ordres d’Espartero dans la campagne de 1836 contre les carlistes, fut promu mar. ’cbal do camp (1839), et négocia avec le général insurj ^é Marato la convention do Vorgara, qui mit fin à la guerro civile. U prit part à l’expédition du Maroc, devint capitaine général et marquis do Sierra-Bullnnes. Bien ^u’Ldoigné de la politique militante, il fut appelé au mi-

Zatl.

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nistére de la guerre par Amédée, en 1872, combattit l’insurrection carliste et se retira lors de la proclamation de la république (lévr. 1873). I* maréchal Serrano, chef du pouvoir exécutif, lui confia à nouveau le portefeuille do la guerro (ianv. 1874), puis la présidence du con&L-U (mai). Après fa mort de Coucha (27 juin), Zavata so rendit en Navarre pour écraser les carlistes, mais à la suite de dissentiments avec Morionos, il donna sa démission (sept.). La restauration alphonsisto le nomma memi>ro du Sénat.

Zaytz (Jean), compositeur autrichien, né à Kiume en 1831. Fils d un ancien chef de musique militaire, déjà pianiste et violoniste, il alla terminer son éducation musicale au Conservatoire de Milan ; puis, après avoir été un instant chef d’orchestre au théâtre de la S<ala, il retourna à Fiume, y devint chef do la musique municipale et professeur à Tlnstitul de musique, puisentin selixaà Vienne. Il avait déjà fait représenter à Fiume un opéra intitulé Amelia et voulait se consacrer au théâtre. Il y réussit et donna, sur divers théâtres de Vienne, toute une série d’opérettes qui furent accueillies avec faveur : les Hommes à bord (1863) ; Fitzli-Putzli (1864) ; les Lazzaroni de JVaples (1865) ; la Sorcière de Boissy (1866) ; les Jtôdeurs de nuit (1866) ; les liendez-vous en Suisse (1867) ; le Tribunal de district (1867) ; la Somnambule (1867) : Maître Puff{lS6- !i ; A la Mecque (1868) ; l’Enlèvement des Sabines, VAmour captif. Cependant, malgré ses succès, Zaytz quitta Vienno pour aller s’établir à Agram en i !S70 ; il devint aussitôt directeur et professeur de chant à l’Institut de musique eu même temps que chef d’orchestre du théâtre, et il y donna les premiers opéras qui aient été écrits en langue croate : MislaVy Ban Leget, Aikola Subie Zrinjski, Lizinka, Pan Twardowsky ou le Faust Polonais et Aphrodite.

En dehors de ses œuvres dramatiques, Zaytz a créé des Messes, de nombreux Ueder, des choeurs et dos morceaux de musique instrumentale.

ZcHORLAN, bourg de l’empire d’Allemagne (roy. do Saxe [cercle de Zwickau^i, dans l’Erzgebirgc ; 3.053 hab.

ZdriechOWSKI (Maryan), savant polonais, né en Russie en 1861. Après avoir fait ses études à Dorpat, il est devenu professeur de littérature slave et de littérature comparée â l’université de Cracovie. Dans ses ouvrages, il s’est particulièrement inspiré des idées et de la méthode de Taiue. Les principaux sont : Messianistes slavophiles (1888) ; Btjron et son siècle (1895) -.Esquisses littéraires. 11 a en outre publié dans les revues locales une série d’études sur les littératures slaves. Il a organisé à Cracovie un club slave et est membre correspondant de l’académie de cette ville,

ZÉBID, ville de l’Arabie (Yémen), dans la plaine littorale (Tébama), à 30 kilomètres de la mer Rouge ; 8.000 bab. Ancienne capitale du Tébama ; ancien marché princ’pal des cafés (elle avait alors pour port Ghalefka), aujourd’hui déchue. Elle serait la Sabea Begia de Ptolémée.

ZÉDÉ (G«5/are-Alexandre), ingénieur naval français, né et mort à Paris (1825-1891). Issu d’une famille d’origine alsacienne, et fils d’un préfet du gouvernement de Juillet. il entra à l’Ecole polytechnique en 1843, en sortit comme élève ingénieur dans le corps du génie maritime, où il fit une rapide carrière. Ingénieur de 2’ classe en 1863, de 1" classe en 1867. membre du conseil des travaux et de la commission de revision du règlement d’armement, il devint en 1877 directeur des constructions navales. Deux ans plus tard, il était grièvement blessé au cours d’une expérience, dans le laboratoire de chimie do TEcole normale supérieure. Très lié avec l’ingénieur Dupuy de Lôme, il le suivit, après avoir quitté le service de l’Etat, pour entrer dans le conseil d’administration de la Société des forges et chantiers de la Méditerranée. C’est à lui que l’on doit les plans du l»ateau sous-marin Gymnote, qui pour la première fois satisfit aux conditions de la navis^atioo sousmarine, et fut le premier spécimen de la flottille française de sous-marins. — Son frère, Emile-Hum’Oltte Zédé, né en 1827, raort au château de Cosquer en Kerhuon, près de Brest, en lî»oo, servit dans la marine, où il entra en 1843, devint lieutenant do vaisseau en 1854, capitaine do frégate en 1859, capitaine de vaisseau en 1869, et commanda avec distinction en cette qualité, pendant le siège de Paris, le fort de l’Est. Contre-amiral en 1S80, vice-amiral en 1886, il présida la commission de revision du règlement d’armement de la marine, l’ut commandant en chef et préfet maritime à Cherbourg, avant de passer, en 1892, au cadro de réserve.

Zédé (Charles-Jules), général français, frère des précédents, né à Paris en 1837. 11 entra à Saint-Cyr en 1855, en sortit comme sous-lieutenant dans la légion étrangère, servit avec distinction au Mexi(|ue dans une contro-guerilla, fut nommé capitaine en 1867. et fit à l’armée de Metz la campagne franco-allemande. Grièvement Idessé à Saini-Privat, il fut nommé chef de bataillon avant son départ pour la captivité. Mais il ne larda pas à s’Jvader, et vint se mettre à la disposition du général Faidherbe, qui l’employa comme chef d’éiat-major de la i* division du 22* corps. Lieutenant-colonel en 1877. colonel on 1881, il contribua A l’organisation do la frontière des Alpes, reçut en 1887 les étoiles de brigadier, fut nommé divisionnaire en 1892, commandant du H* corps en 1896, et membre du conseil supérieur do la guerre, commandant éventuel do l’armée des .lpes en 1898. Il passa au cadre de réserve en 1902, et se présenta sans succès au Sénat, dans la Savoie, en 1905.

ZÊDI {ez-Zêdi. district do la Turquie d’Asie (vilayct de Syrie [sandjak de Haouran]). peuplé d’environ 17.500 hab. Sur son territoire, s’élevait naguère Balanée,

ZeEMAN (Pieter). physicien hollandais, né à Zonnrmaire (Zélando) en 1865. Après avoir fait ses études à 1 université do Levde, il prit lo grade do docteur en philosophie (1893) ot "devint successivement répétiteur (1897 . puis professeur do physique à l’université d Wmsterdani (I900 poste qu’il occupe encore aujourd’hui. Les plus importants de ses mémoires, dispersés dans les recueils techniques (Archives néerlandaises de llaarlem. Mémoires de l’Académie des sciences d’Amsterdam, Phttnsophical Magazine. AstrophysicalJournal, etc.). concernent les rolaiioDS qui existent entre les ph*^nomènes optiques et les phénomènes électro-magnétiques. Dans une suite d expériences remarquables, il montra, en particulier, l’influence dun champ magnétique sur l’émission de la lumière.

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