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do douleur, écœurée aussi, accourt auprès do celui qui a risfjuâ savio pour elle, et. pou à peu, saltcûdric co reconnaissant les objets l’amiliurs. M. do Kovilte parait, pronoûco do nobles paroles ; Andrée tombe & ses genoux, et il pardonne, non par bonté, ni ^uïiié par un idéal supérieur, mais simplemoiu parce qu’il a touiours aimé, parce qu’il aime sa t’cnime (juand mémo et malgré tout. Coite <icrniéro inspiration de l’auteur cHt la note originale do la pièce. L œuvre est simple, ai^réablo, émouvante, et assez hourousement conduit* ? pour quol’attitudo du mari charme au lieu de paraître ridicule. VervoiTTE (Charles-Josepli), compositeur fraudais, né à Airc-sur-la-Lys en 1822, mort A Paris en 1881. Il fut maitro do chapelle, puis professeur do musique à Boulogno-sur-Mcr. L’archevêque do Huuen lui ayant demandé de se rendre dans cotte villo pour établir une maîtrise dans la cathédrale et faire des cours do chant au i^raud et au petit séminaire, il accepta cette proposition (1817). La réputation do Vervoitie s’étendit jusqu’à Paris lorsqu’il remporta un prix au concours ouvert uans cette ville par la Suciété ijo Sainte-Cécile, avec une cantate intitulée les Moissonneurs (1851). Kn 1859, il fut nommé maître do chapelle de l’éj^^lisc Saint-Uoch, à Paris, onlin appelé à Notre-Dame comme directeur du chant. En 1862, il avait fondé la Société académique do musique reliKÏouse et classique, au développement de laquelle il a consacré tout son zélo et tous ses clfurts, et <|ui donne chaque année des concerts. On doit à co compositeur un graod nombre de morceaux de musique religiouso, qui soat puromoot écrits et d’un bon style.

VerwÉE (Alfred), peintre belge, né à Saint-Joos-tcn-Noodo f prés do Bruxelles) on 1838, mort à Bruxelles on 1905. Fils d’un peintre assez distingué, Louis-Pierre Verwôo (1807-1882), il fut cojnmo lui élève de K. Verbœckhoven, qui lui enseigna la pointure de paysage et d’animaux. Mais il développa par lui-mémo un robuste et magniliciuo talent, qui laisse loin ses rnaitros. Ses vastes toiles, où revit la luxuriance do la f^Tasso terre flamande, sont des évocations puissante*^, lumineui^es, traiHpiilles de la nature du Nord. Los animaux qui ^’ vivent, peints ;ï grande éclicUo, sont d’une largeur et d une sùreto de maîtrise incomparable. Verwéo rappelle Troyon et Brascassat, mais en beaucoup plus large, sans tomber jamais dans l’a peu près de l’art décoratif. Il est lo plus complet représentant de la dernière génération des peintres naturistes tiamands : son équilibre est d’une souveraine puissance. Sos principales toiles sont en Bclgiciuo ; cependant, Verwéo avait remporté des succès éclatants à. Paris (I8S9). médaille d’or avec : Au Beau pays de Flandre, les Enpatoires, et l’Etalon ; à Vienne, etc. Les diverses Expositions do 1905 (Liège, Bruxelles) lui valurent un triomphe posibumo. On admire, notamment, sa grande toile de l’Embouchure de l’Escaut, et ses Btrufs au labour. VeRWORN (Max), physiologiste allemand, né à Berlin en 1803. Docteur en philosophie (1887), puis en médecine (1889), il fut nommé assistant à l’Institui physiologique d’Iëna en 1891 et pourvu d’une chairo en Tsos. Ayant beaucoup étudié Virchow, il comprit do bonne heure qoo, tout comme la pathologie, la physiologie devait profiler do l’étude dos organismes cellulaires, et c’est dans ce sens qu’il orienta ses travaux. Il entreprit des voyages t’éludes sur dilférenls points do la Méditerranée et do la mer Rougo. Il a exposé le résultat de ses expériences dans de nombreux ouvrages, parmi lesquels nous citerons : Eludes psi/rhO’physiulof/iffites sur les jirotistes (1889) ; ta Si(/ni/ication physiolofjitfue du noyau cellulaire (1891) ; le Mouvement de la substance vivante (1802^ ; Contribution à la physiologie dit système nerveux central (1878). Son principal ouvrage, oii se trouve exposé son système et dans lequel il a condensé ses idées, est la Physiologie générale (1895).

VÉSICULITE n. f. Inflammation do la vésicule séminale.

— Encycl. La vesiculile est la règle dans l’orchito blennorragiquo et l’orchito ourlienne. IClle ne nécessite pas un traitement spécial et se termine avec la maladie qui l’a provoquée. Souvent il existe pendant do longues années une disparition dos spermatozoïdes, qui rend la fécondation impossible.

VESPERTILIO (vèss-pi^r — mot lat., signif. chauve-souris) n. m. Mé<i. Variété de lupus érythémateux. (Co lupus se localise, on se développant très symétriquement, aux pommettes et ;i la face dorsale du’ nez, de telle sorte qu’il prend la forme d’un papillon ou d’une chauve-souris aux ailes déployées.)

Vesselovsky {Alexandre Nicolaevitch), philologue russe, néon 1838, mort en 1906. Il commença ses éludes on Russie, les acheva en Allemagne et en Italie, et fut nommé professeur à l’université do Saint-Pétersbourg en 1868. Il étudia spécialement la littérature italienne et y consacra un certain nombre d’ouvrages, parmi lestiuols nous citerons : Boccace, son milieu et ses contemporains (1893). Mais il s’est surtout fait un nom par ses travaux sur lo folklore et la poésie populaire russes : le Développement de la légende chrétienne ; les Epopées des Busses méridionaux ; Contribution à l’histoire du roman et de la nouvelle ; Becherches sur la poésie relirfieuse en Bussie. Membre do l’Académie des sciences de Saint-Pétersbourg, il a publié un grand nombre d’études daus les <> Mémoires « do coito compagnie, ainsi gue dans le périodique allemand « Archives de philologie slavo ».

VeSTVAU (Félicité), actrico et cantatrice dramatique, néo et morte à Varsovie (IS31-I880). Elle s’essaya fort jeuno au théâtre, à Berlin, obtint des succès, puis alla prendre en Italie des leçons de Mercadante et tic Pietro Romani. Eu 1853, elle débutait au théâtre do la Scala de Milan, où le rôle d’Azucenadu Troi-’a/ore lui valait un grand succès de cantatrice et do tragédienne lyrique. Engagée .aussitôt à Londres, elle y fut bien accueillie, mais partit peu après pour l’Amérique, en compagnie de Mario et de la Grisi, dont elle partagea les triomphes en jouant avec ■eux Rompo e Giulietfa, Semiramide et le Trovatore. De retour en Europe, elle fit une courte apparition à l’Opéra de Paris, puis repartit pour l’.Amérique, où elleabandonna ^a carrière lyrique pour lo drame shakspearien. Elle exciia l’enthousiasme en jouant en anglais les œuvres du grand poète, et surtout Hamlctj qui lui valut une immense renommée.

  • Vésuve. — L’éruption duVésuve. au mois d’avril 1906, a

été la plus terrible dont l’histoire fasse mention depuis le réveil de l’an 79 do outre èro ; ot les péripéties de la maniftiKtalion ont assez exactement rappelé, toutes proportions gardées, la catastrophe dont furent victimes lierculanum et Pompéi. Elles ont été étudiées de très près par diverses commissions, dont faisaient partie notanimciit, du cûté français, le minéralogiiito Lacroix, et, du cété italien, le professeur Mattcucci. L’éruption a eu ceci do caractéristique qu’elle n’a présenté — mais â un degré de violence ezceptionool — que deux des principales manifestations du volcani>>mc : la ’ondro et la lave. Pas de irembleracnt do terre hors de la région proprement dite du cratère, pas de raz iJe maréf :, par conséquent, très peu de (irojections de gaz brûlaiit-. ou asphyxiants. La nuée ardente qui, à la Martinjqur-, :i détruit en quelques minutes Saint-Pierre, n’a pas eu ici d’analogue. Par contre, le début de l’éruption a été signalé par l’apparition d’un prodigieux panache do fumée, composée de parcelles infiniment petites de matière ignée. Telle était l’importance do ces émissions, que le vent du sud en a apporté les éléments jusqu’à Paris, sous forme d’un brouillard très dense qui obscurcit pendant quelques heures la capitale, en fdcin jour, porté par un vent très vif du S -E. Un savant, Stanislas Meunier, put recueillir sur un vaste tube humide des cristaux intlniment petits de matière minérale. Lo second jour de l’éruption, le paoacho couvrait duo voile épais tout le golfo de Capri.

Quant â la chute des cendres, elle couvrit, dans la deuxième partie de l’éruption, toute la campagne au S.-E. du volcan, Naplos, Sorrentc, Capri, et notamment Torre dol Grèce et San tiiuseppo, oi’i un certain nombre do maisons furent bloquées par la cendre ; d’autres virent leurs toits s’ècroulor sous le poids des lapilli. A Naples même, les rues étaient reeouvertes d’une couche épaisse de vingt centimètres de cette poussière blanche, impalpable, acre, ot qui s’insinuait même sous les vêtements. Cette prodigieuse quantité do matériaux émis s’explique par I elfondrement dans le cratère de tout le sommet du Vésuve, dont la forme a été ainsi sensiblement modifiée. C’est d’ailleurs la poussière qui a fait surtout â San Giuseppo et à Ottojano lo plus do victimes humaines. Les coulées do la lave ont, on clfct, causé plutôt des dégâts matériels. L’une d’elles s’est arrêtée â quelques centaines de mètres du cimetière de Torre Aununzia ta : une autre a complètement détruit le village et les vignobles do Boscotreease. A Somma, à Sainle-Anastasie, les jardins et les maisons ont été, de même, absolument ravagés. En dehors des dégâts matériels, lo nombre des victimes s’éleva à plusieurs milliers ; raccident lo plus grave so produisit à San Giuseppe, où l’église s’effondra sous lo poids des lapilli, tuant ou blessant d’un seul coup plusieurs centaines do personnes. Malgré lo dévouement admirable dont firent preuve le roi, la reine et les officiers italiens, et les grands secours en argent accordés à la région, le désastre pèsera longtemps sur la prospérité do la campagne de Napics. VeSUVIANA-NUNZIANTE, bourç d’Italie

fprov. do Naples !, sur la Méditerranée ; 2.000 hab. Source minérale bicarbonatée sodique ferrugineuse, utilisée pour lo traitement des atTcctions rhumatismales et goutteuses. VÉTUSTÉ (tu^sf — lat. vetustus) adj. Vieux, détérioré par l’usage.

Veuillot (Eugène), jotirnalisto français, né à Bovnes i Loiret) en 1818. — Il est mort à Paris en I90.’i.

Vever (Henri), joaillier français, né à Metz en 1851. Fils do joaillier, il est passé par l’Ecole des arts décoratifs et l’Ecole des beaux-arts, oii il eut comme professeurs Aimé Millet et Gérome. Il a donné â la maison paternelle reprise co 1881 par lui et son frère. Paul Vever. ancien élève de l’Ecolo polytechnique (né â Metz en 1851), une orientation franchement moderne, comme le prouvent les parures exposées en IS89 et on 19o0. Aussi le musée du Luxembourg et les musées des arts décoratifs do Paris, Budapest, Hambourg, Pforzhoim. Stuttgart, Breslau, Bergen, Tokio, Genève, etc., ont-ils accueilli quelques-unes des pièces dues à Menri Vever. Il a publié une importante Histoire de la bijouterie française au xix* siècle (1906-1907). ♦VeveY. — Les habitants do cette ville suisse du canton de Vaud, arrosée par un afHuent du lac de Genève, la Vcveyse, sont appelés Veveysans.

VEXATA QUJESTIO, mots latins qui signifient : Question rebattue.

Veyrin (Emile), poète et écrivain français, né à Annonay en 1850, mort près de Saint-Gall (Suisse) en 1904. Il o entra qu’assez tard dans la vie littéraire. Il avait dû, au sortir de ses éludes, malgré son goût pour la littérature, s’occuper d’opérations de banque, et il fut quelque temps l’un des fondés de pouvoir, à Genève, du Crédit lyonnais. En 1894, il donna au théâtre de la Maison du Peuple, à Paris, la Pâque socialiste, jouée plus do quinze cents fois en France, en Belgique, en Suisse. En 1888, le Nouveau-Théâtre donna do lui un drame réaliste, Aux courses. En juin 1899, il fit représenter au Théâtre-Français un peiit acte en prose, fort émouvant. />é/e e//br/c. Enfin, en 1904, une pièce en vers, l’Embarquement pour Cgthère, remporta au théâtre des Bouffes-Parisiens un vif succès, dont l’auteur ne put mallieureusemcnt être témoin. Il a laissé de nombreuses pièces manuscrites.

VeziRKÔPRU, localité do la Turquie d’Asie (Anatolie [vilayet de Siwas, sandjak d’Amasie]), sur le Kizil-lrmak ; 8.60’J liab.

Vezon, comm. de Belgiqti© (prov. de Haioaut^arrond. de Tournai]) ; 1.500 hab.

VlANE, comm. do Belgique (prov. de Flandre-Orientale [^arrond. d’AIosi]). sur la Marcq. tributaire de l’Escaut par la Dendre ; 1.630 hab. Toiles de lin. VlANESI (Auguste), musicien français, né à Livourne (Italie) en 1837, naturalisé en 1S85. Il se rendit à Paris en 1857, et suivit avec assiduité les représentations do l’Opéra. Il partit pour Londres, où il débuta comme chef d’orchestre à Drurv-I^ne. puis, appelé eu Russie, il y resta huit ans. Il prit, en 1868, la succession de sir Michel Costa, qui dirigeait l’orcbcstrc de Covent-Oarden, puis VERVOITTE — VIBRION

conduisit en maestro coasommé l’orcbestro du Tbéâtre-Iull <>n. plaet» du Châtel**’ ' !Ç7*). de !a ’ :r V^-i’a.’onr

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gnol, chant

L liiaiiiif le duo dcb Mitttatrci i te liom-VlANNA DA MOTTA, pianiste et compositi^ar portnfa s. ;ii i 1 i :..- -]■■ San ’l".<,u.i- »-ii I8C8. Aprè> avoir fait Après

’<^uf. il alla ’■oni’-1’i(<T son

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la direction du fameux pia

do Biiiow. Vircjo"’* fm.’ir

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tout en A ;jiTa ;i^’ic-, a

divers journaux. Vianna d.i

comme compositeur de tal* ’

lui des iiapsodies portuf/aitti. unv balladu et il^ l ^uibrcux morceaux de jtiano seul, une Fantatsie pour piano et orchestre, une sonate pour piano et violon, etc. VlASEMSKT (prince Pierre-Andréeviich), j/oèi- e( critique russe, né â Sloscou en 1792, mort â Saint-Péiersiiourg en 1878. Viascmsky prit part à la bataille do Borodino. En 1853, il se fit connaître par tio recueil de poésies, Au fusil. Il publia ensuite : .S'i> po^wifn <|fS5^ : /

*’^ynf}f et 

citez soi, poéscB< IH/J3. ; V

(1848] ; la Vie et l’Œuvre </- /

de V Adolphe, de Benjamin <

est un critique médiocre. mais s.-^iot-si’s c.- -j .. > r-a i^rélégance. Ses oeuvres complètes ont paru â Pctcrâbourg en 1880.

  • VlAOR (viaduc du). — Cet ouvrage d’art, d’une audace

de construction qui n’a pas encore été dépassée, franchie le Viaur non loin des limites des départements du Tarn et de l’Avcyron, près du petit village de Tanus. Le projet en fut dressé en 1889. à la suite d’un concours iostiiué Èar le ministre dos travaux publics, pa" 1"^ ■ - meurs odin et Godfernaux do la Société des I : t les travaux ont duré do 1895 â 1902. L’ouvr ;;^ i fois par SCS grandes dimensions et par la haraiesv.- i^^s procédés de construction qu’il met en œuvre. Sa longueur ^B^

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totale est de 46om. 20, et son poids d’environ S.SO-.^ tonnes. Il se compose d’un arc central de 220 mètres d’ouverture, dont la clef domino d’environ 115 mètres les eaux normales du Viaur. Cet arc so décompose en deux ossatures symétriques réunies par une clef articulée, et repos :int chacune sur un pilier en maçonnerie au moyeu d<- sabots également articulés. Deux petits arcs latéraux, formant eûoorb’^llement, s’appuimt également sur les piliers et supportent les deux extrémités du tablier qui se relient elles-mêmes à des viaduc^ d’accès eu maçonnerie. Toutes les parties de cette ossature sont reliées ainsi par des joints non rigides, et qui permettent le jeu des articulations, ainsi que la libre déformation de 1 arc central sous rinâuence de la dilatation provenant de la chaleur on des charges diverses que le viaduc peut avoir â supporter. Il est â noter que le tablier du viaduc est pourvu. sur toute sa longueur, d’un solide garde-corps formé par une poutre d’acier placée à i".80 de hauteur, et qui empêcherait, en cas do déraillement se produisaot sur louvrago, les trains d’être précipités dans le vide. Le viaduc du Viaur a valu â son principal auteur, Bodio, le r>rix >iontTon de mécanique, que l’Académie des sciences ui a décerné en 1903.

V3ERT fJames sculpteur suisse, né à Carougo (caot. de Genève) en 1872. 11 a terminé ses éludes artistiques à Paris, sous la direction do Rodin. Parmi les importants travatix qo* il a exécutés pour la >- : - -c iious citerons : quatre lansquenets et deux i _ iiives fiour le vestibule et la façade du palal^ ’-rne ; es monuments de Fontanel et Vauiier t - ..ouge. On voit do lui, au musée de Genève : les Lutteurs et un buste de femme : l’Etat français a acquis : l’Effort humain (.l^Q’i). Diverses pièces céramiques envoyées à l’Exposition universelle do IPOO, lui ont valu une médaille d’argent. — Son frère. PiERRE-EtciiNB Vibort, né à Carouge en 1875, élève d’Alfred Martin, s’est consacré à la gravure sur bois. 11 a été également récompensé à l’EipositioD universelle de I90û où il avait envoyé trois gravures originales : Paysage tourmenté, te Marchand d’or. Faunes et Bacchantes. On citera encore : le Miroir {I90r ; Bords de la Biévre dsoi"^ : des ponraits de Constantin Meunier. Rodin. Bflcklin, Ed. Rod, etc. Plusieurs de ces estampes sont imprimées en camaïeu. Il a exécutai aussi de beaux dessins. L’un d’eux : Dans les terrain^^ vif !i :’ :s. a é’.é aciuis par l’Etat français.

VIBREUR O. m. Télégr. V. tremblecb.

  • V1BRI0N n. m. — Vi6rio» rfc J/a«o«oA, Vibrion ti.oien’jue,

trouvé par Pasqnale à Massouah. ^11 so disting^ua