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LI,i :.N — AM.LM.Vr.K

au Vcuojuela, oii Jcs allciiitoi avaieut *t* causées aux droiis de k-urs nationaux, abouiil ù un arraugunifnl du 13 février 1903. s.’araiiiis8anl sur les douanes vénézuéliennes les cn-ami’s ili’S iiiiiTossi’s. ,,11 Mais le |)lu» uraml sujrt de iiréoccupation do la . i|)lonialiu allc’niande fcii le nMiniivellonieul de la lri|de-alliancc, uui ven.iil il expirali.m eu mai lllo ;l. Lu rapprochement de la Traiice avec lllalio. latteiiite portée aux intérêts eomuierciaux de l’Autriche- Hongrie pui ; le projet do tarif douanier, alors en discussion, faisaient craindre des li.’silations. Cependant, le traité do la Triple-.VIIiaiicc fut reienivelé à Berlin, lo Î8 juin 19l)i, pour pro.luire ses effets ]US.iu’eu mai lUlS. , . , Les déii. I linaires laites pour larniéo et la marine av micile léiiuilibro du liudget. La victoire d. ne periuetlait (,’uéie I établissement dBn"liv..lll^ imiiils. f.e niojen aui|uel on recourut fut une aURnienlalion des contributions malnculaires des Etats confédérés. Un mai 1901, fut votée nue loi modi- (ianl en ce sons les bases do la politiquo linaiiciéro do lompirc. au risuue de forlitier l’esprit particularisle. 1^ faveur des cléricaux auprès du youverucment lit revenir la question scol.iire.eo oui provocpia une cam-Sagno d’opposition. La question dos traités de comiuerco ovenait aussi priinordinle ; celui avec la Russie lut renouvelé lo 28 juillet 1901, ce qui aclionuna vers do nombreux autres renouvellements, en février 19o5. Une autre préoccupation du youvernemenl lut la nécessité do trouver des ressources nouvelles pour parer aux charges de plus eu plus lourdes du budget. Ln attendant do nouvelles demandes do crédits, un emprunt fut fait on 1905. 1,

Dos dépenses imprévues s ajouteront encore a celles, déjà si fortes, de l’armée et de la marine, par suite du soulèvement des Hereros, dans l’Afrique occidentale ; l’insurrection s’étendit aux divers peuples de la colonie, et il lallut entreprendre une lutte sans relâche depuis le début de 1901 et pendant toute l’année 1905. sans aboutir à pacilier lo pavs. A leur tour, les iudigénos de r.friquo orientale se soulevèrent en 1905. et do ce coté aussi, do nouvelles expédilions coloniales durent être entreprises. A l’extérieur, la politique allemande a montré en 1905 une activité nouvelle, et quelque pou imprévue, daus lo règlement dos affaires marocaines.

A la suite du rapprochement franco-italien et des accords conclus entre la Kranco d’une part et l’Angletorro et l’Espagne de l’autre, touchant les réformes à accomplir au Maroc, la presse allemande a manifesté, sur un ton parfois violent, sa craiuto de voir so fermer au commerce germanique cet important débouché. Et. tandis que l’empereur Guillaume II. dans une visite solennelle à Tanger (31 mars), semblait se porter garant du respect des droits souverains du sultan, la diplomatie allemande prenait prétexte de la forme imparfaitement ollicielle, à son avis, dans laquelle les accords conclus par la France lui avaient été communiqués, pour demander la réunion d’une coiiféronco internationale chargée do discuter le modo d’exécution des réformes marocaines. Après des négociations laborieuses, la Franco, qui d’ailleurs n’avait. jamais abandouné le principe do la porte ouverte, s^est ralliée (2» septembre) à ce projet, et la conférence, s’est réunie à Algesiras le 16 janvier 190G. V. Maroc

— Empire colunittl. 1, ’empire colonial do r.Mlemagno s’est accru, depuis l’année 1897. d’un certain nombre de territoires. A la suite do la guerre hispauo-américaine, 1 Espai ;iie a vendu à l’empire allemand, en l’olynésie. les lies Carolines et les iles Mariannes. Gnam excepté (1899). A la faveurde laguerro anglo-transvaalicnno, l’Allemagne a acquis un peu plus tard les terres les plus importantes do l’archipel des Samoa (1899). l’ar l’adjonction de ces iles à son ancien domaine, l’Allomague est devenue une puissance océanienne de premier ordre, admirablement placée pour profiter des éventualités do l’avenir. Enfin, on Asie, elle a tire parti du massacre do deux missionnaires catholiques allemands au Chan-Toung pour se faire céder à bail par la Chine, on 1898, lo territoire environnant la baie de Kiao-Tcheou, sur la mer.Iauoo.

— Laiigw. Une nouvelle orthographe allemande simplifiée, adojiléo on juin luol par les dilférents Etats de l’empire, est employée, dopuis le l" janvier 190’3, dans toutes les administrations publiques et les écoles on Allemagne ot on Suisse, et, depuis le 1"’ avril, dans les écoles d’Alsaco-Lorraine. Les principaux changemonts sont : lo remplacement du Ih ot du ph dans tous les mots d’origine allemande par t et f ; la substitution du k ou Is au c, dans les nombreux mots commouçant par cotte dernière lettre, et $>h à cli, daus les mois étrangers commentant par ch,

— Maison lie Uolicjizotteni. Souabo d’origine. la maison do HohenzoUern possédait le margraviat (te Nuremberg dès le XII* siècle. La ligne aînée, subdivisée en trois branches, n’a pas participé i^ la fortune extraordinaire de la ligne cadette : elle est actuellement représentée par la )>ranclie des princes do Ilolienzollorn-Sigmariugen ot l’un de ses membres occupe depuis 1881 lo trône do Roumanie.

Depuis le xiii* siècle^ la ligne cadette a poursuivi ot réalisé avec une morveilloiise ténacité l’extension do ses domaines ot son accession à des litres ou dignités de ]ilus on plus élevés. Elle a obtenu, recueilli, ou conquis par la puerrc le plus souvent les territoires qui constituent aujourd liui la nionarchie puissante ot 1 hégémonie (lu’elh* exerce sur l’AUenKigne ; margraviat de Brandebourg (1150. 1250), rang de prince du Saint-Empire (l3G ;i), électoral de nranl.’l.niir- 1115, UI7), grande-maitriso de l’ordr’- . - duché do Prusse (1018, 1618), partii’

  • , ,ie la Pologne, de la Saxe, la

l’r : :.*, Ictitrede roi (1701), sous les u’i ■ Irédéric-Guillaume I" (mort en iiUauuie I" (mort on 174o), et

II"' ' >ii de Frédéric II, le grand hoiniiiu do la laniilio vi7 10-1780). Los victoires do Napoléon aiiioindrireiit do moitié les territoires de l’Etat prussien iii ;iis le l’nii/r.K .b. Vi..n,,,. lui rendit les possessi par rincorporation au

f". ^ du Uhin ot do mor-

cc . ..1 1’ <■. Li’s guerres do 1861 C" le isnoconlre 1 Autriche et do 1870 C" .■ accru le r.>yannie tie Prusse du Slci :. ■". i ., ,1 antres Emis ou villes libresd’Alleinugiie, en iiièino temps qu'ell<>s ont l’ail empereur Ouillauinel", la doscundaut des margraves de Nuremberg.

  • AiAjEU (Grant), écrivain anglais, né à Kingston (Cauadal.

en 1818. — Il est mort il sa résidence do Hindhead. on ls’.»9.

Allier (Achille), graveur et écrivain, né à Moulins ou isoii, mort à Bourbou-l’Arcbambault ou 1830.11 fut 1 un des prumoteuis dans sa province d’origine du mouycmciït aicbéologiquo si profitable il la conservation des monuments douolro pays. Il fonda, à Moniluçon. le pé riodique I Album de I Allier, puis à loglquo

, navs. 11 lonua. S- - - . .

, j._.. _ Bourbon-l’Archaiii

bault’/c( Ksquisses bourbonnaisex, dans lesquelles il sufli sait au texte et à l’illustration. Il entreprit : l’Ancien lluurbimnais, publication des plus précieuses que sa mort précoco l’ompécha de terminer. Il a pris part au Salon de 1835 avec un dessin ; la Julie J’ille de la garde (ballade bourbonnaise), et au Salon do 1836 avec la Vie e( les Miracles de saint l’ortianiis (dessins).

  • Allier (Antoine), sculpteur et homme politique

français, né à Embrun (Hautes-Alpes) eu 1793, mort A Paris on 1870. — Aux ouvrages mentionnés dans la notice du sculpteur, il convient d’ajouter lo médaillon de son père, Antoine-Jean-François Allier, mort en 1838, placé sur lo monument funèbre de l’honimo politique au cimeticro Montparnasse. On doit aussi à Allier le buste en marbre du iJocleur Cliaussier, au ciniotièro du Pcrc-Lachaiso.

AlLŒR (/JnouJ-Scipion-Philippe), philosophe français né à Vauvert (Gard) on 1862. Ancien élève do 1 Ecole normale supérieure, agrégé do philosophie, docteur en théologie, il a été professeur do philosophie au lycée do Montauban (1880), puis chargé du cours de philosophie à la faculté de théologie protestante de Montauban (1887’. entin nommé avec lo mémo titre à la faculté de théologie protestante de Paris (1889). Il a été activement mêlé, do 1886 i I89S. aux tentatives d’ .. extension universitaire » qui OUI précédé la fondation des universités populaires. Outre de nombreux articles dans divers journaux ou revues, il a publié, dans un stylo clair ot brillant : la Chanson huquenole au xvi’ siècle (1886) ; la Pédarjogie sociale (1887) ; Jles de /is/jcliologie criminelle (1887) ; la Notion de la mort chez l’animal (1858) ; les Défaillances de la volonté au temps présent (1891) ; Science, pliilosopliie, religion (1893) ; la Plùlosophie d’Ernest Renan (1895. 3" éd. 1906) ; Voltaire et Calas (1898) ; les Troubles de Chine et les missions chrétiennes (1901) ; la Cabale des déaots, 1637-1066 (1902) ; le Bordereau annoté (1903) ; l’Enseignement primaire des indigènes à Madagascar (1904) ; la Séparaiion des Eglises et de l’Etat (1905) ; la Séparalion au Sé7ial (1906) ; wiie Réiiolution (1906). Il a donné do nombreux articles do philosojdiie au Nouveau Larousse illuslré.

  • AllmerS (Ilermann). poète et artiste allemand, né à

Recbteiifleih, près do Brème, en 1821. — Il est mort dans la mémo ville en 1902.

ALLOCHORDEUMA [kor) n. m. Genre de myriapodes chilognallies, de la famille des chordeumalidés, dont l’espèce type habite la Suisse {allochordeuma pallidum). ALLOCHTONE [klon — du gr, allas, autre, et khthon, terre) adj. Qui n’est pas originaire du pays qu’il habite.

— Anton. Autochtone.

ALLOCINÉSIE {zî — du gr. allos, autre, et kinèsis, mouvement) n. f. Méd. Trouble de la motilité, consistant eu une inversion des mouvements des membres, dans laquelle, par exemple, le malade remue la jambe droite quand on lui a commandé de remuer la jambe gaucho. ALLOCINNAMASE {sin’) n. m. Sel de l’acide allociuuamique.

ALLOCINNAMIQUE [sin’) adj. m. Se dit d’un acide isomère do l’acide cinnamique, tiui fond à 68** et se transforme en acide cinnamique ordinaire, par l’action de la lumière.

ALLOGONIE {ni — du gr. allos, autre, et 90110s, génération ) n. f. Biol. Coexistence d’un double état de maturité sexuelle sur des individus dilférents, mais de même origine.

— Encycl. Le terme d’allogonie a été créé par Alfred Giard on 1898, pour designer l’ensemble des phénomènes observés par lui dans la reproduction de la campanularia caliculata, méduse de nos côtes. Cet animal marin présente deux formes reproductives différentes : l’uno progénétique par gouothèques lixes, comme chez la plupart des autres campanutaires ; l’autre anthogénéliquepar méduses libres imparfaites. Quand ces deux éléments reproducteurs coo.’cistent, il y a allogonie. ALLOGONIQUE adj. Zoûl. Qui se rapporte àrallogonie : Ln campanularia caliculata n’est pas le seul hijdraire à reproduction ALLOGONIQUK. (Alfred Giard, 1898.) ALLOMUCATE n. m. Sel de l’acide allomucique. ALLOMUCIQUE adj. So dit d’un acide que l’on obtient en chauffant l’acide muciiiuo

avec do l’eau et do lapyridine.

^Allongé (Auguste), pay-

sagiste, né à Pans on 1833.

— Il est mort à ^larlotto en

1898. Il n’a cessé d’exposer

au Salon jus(|n’il sa mort. En

1878, on vit de lui : le Lac de

Gérardmer et /Jans tes bruyè-

res, forêt de t^’ontainebteau,

deux a<|Uarollos d’une grand©

fluidité. Allongé, qui au dé-

but do sa carrière avait si

puissanmient contribué A

faire connaître les sites do

la Bretagno dans ses ta-

bleaux à l’huile, s’était voué

presqiio exclusivement, peu

après 1800, a la pratique du

fusain ot avait cherclié ses

sujets à travers l’Ile-de-

France ot le Maine. Plus tard, il cultiva l’aquarolle ot, sous ceito forme, il a laissé des pages exquises d’après des Vues d’Alsace, des Aljies, etc.

  • ALLONGEMENT n. m. — Période d’iillongemcnl. Colle

qui est comprise outre la limite d’élasticité et lo point de rupture.

Allonge.

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ALLORYTHMIE (mf) u. f. Arythmie périodique du pouls (pouis Iji- ou iriyémiué).

^Allouard iHenri-Emile), sculpteur, né à Paris en 1844. — Aux œuvres de cet artiste mentionnées dans sa nuticc s’ajoutent le monu-

ment do Charles- Alexandre La-

clo’ud, à Treignac (Corrèzcj ;

Barpignies, buste bronze ; la

Hëpiibligue bol/vienne, érigée à

La Paz (Bolivie) ; Jiic/ittieu à

La fiochelle, statue plâtre ; et

le monument du gouverneur (jé-

nf’ral Haiîay, érigé à Kouakry

(Guinée irançaise). AUouard,

qui s’est acquis une très légi-

time réputation par ses œuvres

do sculpture liistorrque, s"est

vu décerner une médaille d’or à

l’Exposition universelle de 19ûo

(Paris). II a été cbargé du mo-

nument do Pierre Curneille.

ALLOXANTHE OU AL-

LOXANTHA n. f. Genre d’iu-

secies coléoptères hétéromè-

res, de la famille des œdéméri-

des, comprenant des espèces propres aux Canaries. (Les alloxanihes sont voisines des ditt/lus.) ÂLLSCHWIL, comm. de Suisse (caat. de Bâle-Campagne 1 ; 3.200 liab. Agriculture. Fabriques mécaniques de briqueteries. Tuiles et poteries.

^Allston (Washin^rton), peintre et poète américain (177’J-1S43). — Cet artiste, avant tout peintre d’histoire, s’est aussi fait remarquer par d’excellents portraits, dont le plus célèbre est celui du poêle Sainuel-Taylor Coleridye, qu’Allston avait connu à Rome. Ce portrait est à la

!Vational Gallery. On cite aussi le portrait de Benjamin 

West à l’Athénéum de Boston. Dans le même établissement, on conserve encore l’Etudiant et haac d’York ; à Yale Collège de New-Haven, on voit d’AUston Jérémie ; à l’Académie des beaux-arts de Philadelphie, un Mort ressuscité par Elisée.

^ALLUMAGE n. m. — Mécan. Action d’enflammer, au moyen d’un brûleur ou d’une étincelle électrique, l’air carburé dans un moteur à explosion.

— Encycl. Dans tous les moteurs à explosion, c’est-à-dire empruntant leur puissance motrice à l’explosion (ou plutôt combustion rapide) d’un mélange de gaz ou de vapeur combustible et d’air, il faut, au moment voulu, produire l’inflammation du mélange. On l’a résolue parfois par autoinflammation due à l’écliautremeut produit par la compression (v. briquet « air) ; mais le plus souvent ou la détermine par l’intervention d’un allumage. L’allumage par brûleur, peu usité aujourd’hui, consiste en un tube de platine (ou de porcelaine) maintenu au rouge par une lampe extérieure. Ce tube reste, à cause do son étroitesse, i)Iein de gaz brûlés, qui ne se mêlent pas aux gaz frais introduits par l’aspiration. Pendant la compression, ceux-ci refoulent devant eux les gaz briilés eu les comprimant au fond du tube. Quand les gaufrais parviennent à la partie incandescente du tube, ils s’enflamment. Dans certains moteurs fixes, une sortie réglable, pratiquée au fond de ce tube, permet d’obtenir une variation de l’époque d’allumage utile pour varier la puissance et la vitesse du moteur. (V. avance X l’ai^lu-MAGE. ) L’allumage électrique est plus employé. Il utilise soit une étincelle d’induction, soit une étincelle de rupture dite aussi d’arrachement.

L’étincelle d’induction est produite par une bobine de Ruhmkortf sous une très haute tension, qui lui permet de franchir l’intervalle des pointes de la bougie. ( v. ce mot.) Il existe deux moyens d’utiliser cette bobine : 1" Moteurs à faible vitesse de rotation (jusqu’à 1.200 tours à la minute). Un contact commandé par le moteur ferme le circuit

R

primaire à basse

tension de la bo-

bine, ce qui per-

met à celle-ci

d’actionner son

trcmbleur ma-

gnétique. Celui-

ci produit des

interruptions ra-

pides du courant

jirimairo , aux-

quelles corres-

pondcntdesétin-

cclles à l’inter-

ruption existante

du circuit secon-

daire, cest-à-dirc

aux pointes de la bougie. Du pôle positif Pde la batterie, le courant primaire à basse tension se rend à la bobine A, ou N est le noyau de fer doux, puis au trcmbleur comprenant une lame vibrante en acier R. une lame vibrante en cuivre C. une vis i>latinée V ; de là au distributeur D, comprenant le frotteur M’, i|ui parcourt la couronne isolante D ; lo courant n’est établi que lorsque ce frotteur passe sur la borne en cuivre D, reliée à la vis platinée V, et enfin le courant se rend à la masse M. Le pôle négatif des accumulateurs est réuni à la masse. 2" Moteurs à grande vitesse (au delà de 1.200 tours). On supprime le tremblcur

magné tujuo, et c’est le

moteur lui-même qui fait

vibrer par une came (C)

une lame courte et raide

vibrant beaucoup plus

vite (L).

Dans ces doux systèmes,

la masse du moteur M est

utilisée à la fois pour réunir

le pôle négatif de la sourco

d’électricité et l’un des pôles du secondaire au circuit prim. iiro et au circuit secondaire. Pour employer au contraire l’étincelle de rupture ou d’arrachement, plus proprement appelée étincelle do self-induclion {v. ce mot), il suflit d’un faible voltaire. (V. ce mot.) La bougie est alors remplacée par un innanmiateur mécanit|uemont commandé i>ar lo moteur, et qui repose sur le cylindre au SchOma de l’allumage par accumulateurs. a — Oft