Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, supplément.djvu/188

Cette page n’a pas encore été corrigée

DAN ET — DAUÇA-NA

ne se fit pas facilement avec le ministère, notamment sur les questions do déronso nationale. Les radicaux consentirent cependant, en 1837, à voter les crédits militaires contre la promesse de certaines réformes. Mais lo Landsthin ?, ou Clianiliro haute, ijuo présidait hstrup, et qui comptait une majorité de droite, reprocha au ministère, avec le(piel il était cependant, en principe, en conformité d’opinion, ses concessions à la gauche, et il refusa de voter le budget. Co refus fut suivi, le U mai, do la chute du ministère. ■ , ^

Vinistère Um-ring. Un nouveau cabinet, constitue après une longue crise, le 23 mai 1897, fut présidé par Hugo HOrring, ministre de l’intérieur dans le précédent ministère ■ co fut une reconstruction, car la plupart des membres do l’ancien cabinet restèrent dans le nouveau en changeant de département. Le ministère déposa un projet de budget qui passa sans entraves, toutes les questions do conflit étant éliminées.

A la réouverture du lliksdag ou Parlement, en octobre 1897, les Chambres parurent résolues à éviter un nouveau conflit, et toutes les grandes questions restèrent en suspens. Les conservateurs manifestèrent l’intention de se présenter aux élections avec un programme uni.|Uo, mais les questions de personne détruisaient l’unité du parti. Dinesen et Scavonius représentaient des tendances contraires, le premier travaillant à introduire dans la droite un groupe modéré capable de résister à Estrup et de soutenir le baron de Reedtz Thott. Mais les conservateurs subirent un échec aux élections municipales de Copenhague et un plus grave aux élections législatives d’avril 1898. Les radicaux et socialistes accrurent notablement leurs forces.

La situation internationale ayant paru au gouvernement ôlre troublée par la guerre hispano-américaine, il estima quo les crédits militaires régulièrement votés étaient insuffisants et, de sa propre autorité, il consacra 500.000 couronnes à la fortification maritime de Copenha ^ue. La commission du budget no voulut point reconnaître la légitimité du procédé, et le KolUeihing s’associa à ce blâme.

Les radicaux » réformateurs » adoptèrent une attitude obstructionniste. Cependant, en 1899, le projet sur renseignement primaire fut voté par les deux Chambres, ainsi nue quelques autres lois. Le socialisme et les grèves ayant lait des progrès, les patrons pratiquèrent le « lock-out » des ouvriers ; l’accord ne fut rétabli quo sous forme de résolutions provisoires.

Le cabinet fut reconstitué en partie, dans l’été de 1899, et ses membres les moins populaires furent sacrifiés, mais son autorité s’était considérablement amoindrie, et vainement H8rring s’était-il efforcé do contribuer à la réalisation de toutes les mesures sur lesquelles pouvaient s’accorder les deux Chambres. Le 27 avril 1900, le roi accepta la démission du cabinet.

Mîiiislire (le Séliesled. Le nouveau président du conseil fut de .Sohested, sénateur, qui occupa la charge de niinistre des affaires étrangères. Le ministère, qui était d’accord avec la majorité du Landstbing, ne pouvait compter de la part du Folkethinf ; sur plus de complaisance que le précédent, la gauche n étant pas satisfaite de la solution donnée à la crise ministérielle. Il gouverna péniblement dès que son chef eut arboré francliement les couleurs de son parti, la droite. Tandis que des proji-ts financiers présentés par la gauche avaient été adoptés par le Folkething à une énorme majorité, le gouvernement put à peine faire élire par le Sénat, en décembre 1900, un comité pour examiner les siens.

En février 1901, la commission du Laudsthing déclara dans son rapport qu’elle ne prenait pas directement le parti du gouvernement, mais qu’elle s’inspirait des principes contenus dans ses propositions et s’écartait des idées qui dominaient dans les propositions du Folkething. Le gouvernement se déclara prêt à suivre la majorité du Landstbing. Un comité commun de membres des deux Chambres lut nommé, mais ne s’entendit pas, et la session fut close le 31 mars 1901 sans résultat. Les élections, le 3 avril, amenèrent une diminution considérable des forces de droite et du parti modéré et une augmentation proportionnelle de la gauche et dos socialistes. Le cabinet devait forcément tomber.

Ministère Dcunizer. Le cabinet de Séhested ayant démissionné au mois de juillet, le professeur Deuiitzer fut invité à former un ministère ; ce fut le premier cabinet exclusivement composé do membres de la gauche. Une ovatiou imposante fut faite pour ce motif au roi, le f septembre. La gauche se transforma en parti ministériel et fut prête à examiner les projets concernant la réforme judiciaire, l’organisation de la défense nationale, la réforme des impôts.

En septembre 1902, les élections pour le Landstbing y b’-placèrent la majorité, qui passa à la gauche. Le Par- . ment s’occupa ensuite spécialement delà réforme judi- .aire. puis do la modiflcation do l’impôt foncier, qui fut votée, mais la clôture de la session, le 13 mai 1903, mari|ua l’ajouniomont indéfini de la première question. Les élec-

tions au l-’olketliing, le lij

in, consacrèrent une forte

majorité au profit de la gauche réformiste et portèrent do 14 a 16 lo nombre des députés socialistes.

Un jubilé fut organisé, en novembre 1903, pour fêter la (juarantième année de règne du roi Christian IX, alors âgé lie quatre-vingt-cinq ans. Lo 7 avril 190-1, il fêta le SG" anniversaire de sa naissance.

La nouvelle Chambre no lit pas mieux aboutir que l’ancienne plusieurs des projets qui lui furent soumis.

Lo projet de réforme iirésenté par le ministre do la Justice, Alberti, échoua à nouveau. Le cabinet était d ailleurs sans homogénéité, comme la gaucho elle-même, et ’■e fut la cause do sa chute. L’opposition que fit la gauche lU projet de Madsen, ministre de la guerre, relativement nix iurtiflcations de Cojieiihague. amena sa démission ;

auir’-- nirmbres du cabinet no s’entendirent pas sur le

■ .r. ■’- ; .’ u ire, et finalement ils durent tous se retirer. ■’ t’hristcnscn. Co fut l’un des ministres démis-

’ :iristensen, que le roi chargea de constituer ministère, le 13 janvier 1903 ; il joignit à la

Il conseil les portefeuilles de la guerre et de

la i. ;:ir.iii’ Allierti resta ministre de la justice. Plus (juç l’an-ien. ce cabinet eut nu caractère agraire et modéré. Cliristeiist-n continua <lans ses grandes lignes la politiqne de Ma>lsen pour la défense de Copenhague dans laquelle les éléments ra»licaux voient une menace contre l’Alleniagne. I^ ministère ne put faire voter i>ar le Lundsihing

les projets de loi sur la réforme judiciaire, l’extension du suffrage communal et le maria^je civil obligatoire.

Le vieux roi Christian IX mourut le 29 janvier 1900, après un règne de quarante-deux ans. L’une de ses plus constantes préoccupations avait toujours été d’assurer la défense du Danemark, et c’est à ce programme que se conformèrent les ministres de la guerre Madsen, puis Christensen.

Danet ^Charles-Louis-.■lhe^t). avocat français, né à Privas en 1816. Inscrit au barreau de la cour d’appel de Pans en 186S, il fut nommé secrétaire do la conlcrence des avocats en 1S73. Membre du conseil de l’ordre do 1890 à 1891, il plaida dans de nombreuses affaires importantes, civiles ou criminelles, dont beaucoup furent sensationnelles, et notamment, aux assises, dans les affaires Marcbandon, Pranzini, de Jonquières, Prado ; il défendit Lucien Fenayrou. Il plaida jiour M"" Gouffé, comme partie civile, contre Eyraud et Gabrielle Bompard ; pour le député Sans-Leroy, "dans l’affaire du Panama ; pour le marquis de îs’avve, etc. Membre de la Société de médecine légale de France, il en fut le président en 1890-1891. DanEV (Sloian), homme d’Etat bulgare, né à Choumen, en 1858. Il prit à létranger le titre de docteur en droit. Avocat et publiciste, il devint, après la mort de Stamboulov, vice-président de l’Assemnléo nationale bulgare, ministre des affaires étrangères en looi. et président du conseil en 1902. Il contribua à rapprocher la Bulgarie do la Russie.

DANEZY n. m. Cépage blanc, cultivé dans quelques vignobles du département de l’Allier.

Danger (Henri-Camille), peintre français, né à Paris en 1860. Elève de Gérome et Aimé Millet, il débuta au Salon de 1880 par une toile intitulée Chez un ami, et obtint le prix de Rome l’année suivante. Sa peinture à préoccupations idéologiques est celle d’nn exécutant habile. Parmi ses tableaux, il faut mentionner : Que nous nous aitnions les uns les autres (1893) ; Baii/neuse, Lucioles, les Grands Artisans de l’arbitrage et de la paix (1898) ; Fléau ! (1901) ; une Séance de la conférence de La Haye (1903) ; iMon royaume n’est pas de ce monde (1905). H a obtenu une seconde médaille en 1893 et une médaille d’argent à l’Exposition de 1900 (Paris).

Daniel Cortis, roman d’Antonio Fogazzaro (1885). — Daniel Cortis aime sa cousine Hélène, mariée à un homme sans mœurs et bassement égoïste , lo baron de Santa Giulia. Il a perdu prématurément uu père vénéré, et il nourrit une hostilité à peine déguisée à l’égard de sa mère, parce que l’infidélité de celle-ci a assombri et abrégé les jours de son mari . Or Cortis apprend que l’amant de sa mère a été précisément le baron de Santa Giulia ; et sa cousine, qui n’est retenue par aucun frein de religion ni de convenances, est toute prèle à tomber dans ses bras : il semble donc qu’il doive saisir cette occasion de se venger d’un homme qu’il hait et méprise. Au contraire, Il triomphe de sa propre passion et décide Hélène à suivre dans l’exil un mari indigne, qui ne saura jamais quel danger il a couru et quel sacrifice sa femme s’est imposé pour lui. — Daniel Cortis est un hvmne à la volume, qui, guidée par une conscience droite, s’élève au plus haut degré de la vertu. Ecrite à une époque où le roman ne peignait guère que des êtres de passion, cette œuvre était une véritable nouveauté. L’auteur y aborde en outre le problème des rapports de la papauté avec la société moderne et le pouvoir civil. Cortis est un libéral, qui rêve la conciliation du catholicisme et de la démocratie et se fait nommer député pour défendre et propager ses idées. Mais ces deux sujets se croisent sans cesse, ce qui brise l’unité et nuit à l’intérêt ; les personnages épisodiques, au reste très vivants, sont trop nombreux ; la tramo du récit est trop dense et l’étude des caractères trop peu poussée ; celui du héros lui-même n’est pas très net : nous ne comprenons pas comment ce catholique pratiquant ne repousse pas dès l’abord l’idée de séduire une femme mariée, et la lutte qui doit s’engager dans son cœur ne nous est pas décrite en traits assez précis. L’exécution de ce roman n’est donc pas tout à fait à la hauteur de son inspiration.

DaniELSON (Johan Richard), historien finlandais, né à Hauho en 1S53. Sa thèse {Zur Geschichte der sàchsischen Politik, 1706-1709) lui valut le titre de ■ docent » d’histoire à l’université d’Helsingfors (1878). Professeur (1880), il publia une œuvre considérable ; die iS’ordisclie Frage in den Jahren 1746-1751, puis s’occupa d’histoire moderne et contemporaine pour défendre son pays contre la politi(|ue do russification ; de là le livre populaire l’Cnion de la finlande et de l’empire russe (i89o), réponse à l’ouvrage ofiicieux de K. Ordin, diverses brochures et une histoire, basée sur des recherches d’archives, de la guerre de 1808- 1809 (1896). Représentant de l’Université (188.5-1904), puis du clergé de Borgo à la diète, il y fut un des avocats U-s plus écoutés des droits de la Finlande et, dès le début du conflit do 1899, l’un des plus fermes adhérents du parli des "X’ieux-Fennomanes, dirigé par YrjO-Koskinen. ’icechancelier de l’Université (1903), il a été anobli en 1901.

Danilo-ALEXANDRE, prince héritier du Monténégro, né à Cet ! IL’ né en 1S71. Colonel d’un régiment de tirailleurs russes, lieutenant-colonel d’un régiment serbe, il épousa, en 1899, à Cettigné, Miliiza (ci-devant Jutta), duchesse de .Mecklembourg, née en 1880.

Danilofka, bourg de Russie (gouv. de Saratof). sur un ]’etii sous-affluent du Don par la Medvieditza ; ■1.100 bah. Céréales.

DanilovskaÏA, bourg de Russie (gouv. de Moscou), sur la Moscova ; -1.000 bah. Forges, fanrication do machines, toiles, étoffes de laine et de coton. C’est un faubourg industriel do Moscou.

DankOF, ville de Russie (gouv. de Riazan), sur une bain,-iir iloiiiiiianl le Don (rive dr.) ; 5.000 hab.

Dan-LENO, acteur et chorégraphe anglais, né en 1S63, mort à Claphan-I*ark, près Londres, en 1901. Il avait débuté à l’âge de quatre ans en dansant dans un concert A Londres, puis il apprit à chanter, îk réciter et ilevini un artiste hors ligne dans son genre, qui était surtout celui de la fantaisie. Il excellait 4 jouer les types populaires et se lit un grand renom dans les music-lïalls londoniens.

DanNAT William T. iieinlre américain, né à New-York en 1853. S’étant rendu très jeune en Europe, il corn-

170

lïicnca en Allemagne ses d’iudes d’arcliitccturc, frt^^fjuenta les ateliers do peinture de lAcadcmie roj,ale de Munich et s’adonna complètement à cet art quand il se fixa à Paris en 1870. Il n’eut pas de maîtres, au sens absolu du mot. mais il rei ;ut quelques conseils de Carolus Duran et de Munkacsy. 11 exposa pour la prcniit-re lois au Salon de 1883 ; son Contrebandier tiraf/onais fut acijuis par l’Klat (au Luxembourg). Le musée de New-York conserve le Quatuor il884j, et celui de Chicago la Sacristie en Aragon (1885) : le Portrait de la mère de l’artiste suivit en 1886, et la J-’emme en rouge (musée du Luxembourg) parut à l’Exposition de 1889 (Paris). En 1890, il envoya une Femme espagnole et contrebandier U891i, elFet do lumière anificielle (musée de Philadelphie ! ; une autre toile de Femmes espagnoles (1893) et le portrait de la Belle 0/ero (^1895). Depuis, V. T. bannat a peu exposé ; il faut pourtant citer encore, parmi ses portraits, ceux de la duchesse de Mecklembourg-Scliwcrin, du général Porter, et de Gaston Calmeltes.

  • DANOIS, OISE adj. — Encycl. Hace danoise. On nomme

ainsi une race ovine dolichocéphale, dont les représentants se rencontrent dans tout le nord de l’Europe (Russie, Suède, Nor-

Jutland,

A llomagne du

Nord-Ouest, nord

et ouest de la

France, Ecosse,

Irlande, Islande).

En France, elle

a été introduite

dans la Flandre,

l’Artois, la Pi-

cardie et le Poi-

tou à la fm du

xvi’ siècle, lors

du dessèchement

des marais opéré

parle Hollandais

Bradley appelé par Sully. La race danoise a donné Daissance à de nombreuses variétés, qui. toutes, possèdent une remarquable aptitude à s’acclimater même dans les terres pauvres des pays froids et brumeux. Ses principaux caractères sont les suivants : tète grosse, oreilles longues, horizontales ou pendantes, cou long et mince, corps étroit, membres longs et foris ; la brebis est bonne laitière.

Danrit ILE CAPITAINE), pscudonyme de E. Driant, ûfhcier et écrivain français. V. Driant.

Danseurs n. m. pi. Secte qui se forma à Ai--la-Chapelle lan 137 ;î. Elle se répandit dans le pays de Liège, le Hainaut ei la Flandre. Ces fanatiques aes deux sexes se mettaient tout à coup à danser jusqu’à ce qu’ils tombassent à la renverse, presque inanimés. Ils prétendaient qu’ils étaient favorisés, durant leur danse, de visions exiraordiinaires. Ils mendiaient de ville en ville, et méprisaient toute autorité religieuse et tout culte établi. On les prit à Liège pour des possédés et plusieurs furent exorcisés.

DanSVILLE, bourg des Etats-Unis (New-York [comté de Livingsione]), sur’un affluent duGenesee ; 5.000 hab. Minoteries, filatures.

Dante (saint), en lat. Dantxis, martvr à Carlhage en 304. Il périt avec saint Saturnin, saint batif et cjuarante-neuf autres, qui d’Abidine furent conduits à Carthage. où ils souîfrircnt pour leur foi. C’était durant la persécution do Diuclêtien. — Fête le 11 février.

"=" Danube, fleuve de l’Europe centrale. — C’est en 190-* qu’ont été achevés les importants travaux de correction du cours du Danube, destinés à assurer la sécurité de la navigation de Galatz à la mer, ainsi que lavait projeté pour la première fois le congrès de Paris en is :)6. Ces travaux ont été poursuivis sous l’impulsion et la direction de la commission internationale du Danul)c. qui percevait à cet effet des droits de navigation et de pilotage. Les ingénieurs ont modifié profondément le bras de Soulina. au moyen de plusieurs raccourcis canalisés à la profondeur minimum de 5", 48. La distance de Toultcha à la mer a été ainsi réduite de plus de 20 kilomètres. I-a dernière section du canal maritime créé par la rectification du bras de Suulina a été inaugurée au mois de février 1902. Danville, ville des Etats-Unis (Kcniucky). ch.-l. du comté de Bovle, sur un petit sous-aflluont du Kentucky par le Dick’s "River ; 4.000 hab. Machines ajjricolcs, miuo’teries. Faculté de théologie presbytérienne.

DaoNPOW ou DUPPAU, ville d .Vustro-Hongrie (Bohénu’ . .Ii.-l. du district do Kaaden, .sur un petit sousafflucnt de l’Elbe par l’Egcr ; 2.000 hab. Kaolin.

  • DAPHNITE n. f. — Miner. Variété do chloritc. que l’on

rencontre sur les cristaux de mispickel et de quartz.

DAPHYLLITE n. f. Sulfoiellurure naturel de bismuth.

DARANTOÎDE n. m. Genre d insectes lépidoptères, de la famille desliihosiidcs,

créé en itH’O pour une

lilhosio découverte en

Nouvelle-Guinée idaran-

loides ruttro/lava). [Des

espèces nouvelles du

même groupe ont été

récomment décrites par

le même auteur : dtplonyx Darautuûtc (gr. dun tiers).

iutmnata, Afrique orien-

tale :

chrysozana Çrœsus, Bolivie ; disoidemata osmophora, .Me.i<iue, etc.]

Daranyi (Ignace), homme politique hongrois, né à Budapest en 1849. Il embrassa la profession d’avocal. devint en 1881 député à la diète hongroise pour la ville de Budapest et. plus tard, vice-prèsidènt do celle assemblée. Kn 1895. il devint ministre de lagriculturc. Il donna sa démission en 1903.

DARAPSKITE u. f. Sulfoazolato liydralé naturel do

soii.lc.

’^Darboux ^Jean- Gaston), géomètre français, né à Nîmes en 181-». — Il est dcvonu en 1900 secrétaire perpétuel do l’Académie des sciences.

DaRÇANA (racine (/Wf). mot sanscrit, sic-nilianl « démonstration et système •>, employé pour désigner collectivenieul les six grandes écoles de la jtliilosophio in-