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CRÈYE-TONNEAU — CROZALS

Crève-tonneau.

touffe très fournie ; les pattes, fortes ot noires, sont munies do doifirts longs ot très écartés ; laspect général est assez volumineiLx, mais dalluro superbe. La poule paraît plus trapue que le coq ; son pluma^’c est uniformément mat. Très bonne pondeuse, la poule de Crèvecœur couve mal, mais elle est dur» dûveloppcmiMit rapide et s’engraisse facilement. Elle alfeclioune particulièrement les pavs d’hcrbay^e. sous uu climat tempéré, et redoute le brouillard.

CRÈVE-TONNEAU n. m. Pbvsiq. Appareil imaginé par Pascal pour vérilior la loi relative à la pression des liquides sur les parois. Il PI. Des crève-

TONNBACX-

— E.NCYCL. L’expérience dite du crèvetonneau ou tonneau de Pascal, exécutée pour la première fois par Pascal à Rouen (1G47), sert à montrer comment, avec une petite masse do lniuide, on peut produire une pression considérable. Un tonneau plein d’eau est placé debout et le fonds supérieur est surmonté d’un tube do verro qui communique avec l’itiiérieur du tonneau. Ou verse de l’eau dans le tube, quan 1 la hauteur de cette eau arrive à quelipies mètres, on commence avoir les douves du tonneau se déformer puis bientôt se disjoindre sous l’intluencc de la pression intérieure : c’est qu’en effet, la pression exercée sur une portion de la paroi interne du tonneau est égale an poids d’une colonne cylindrique de liquide ayant pour section la portion de paroi considérée et pour hauteur la distance du centre de cette portion do paroi à la surface libre du Ii((uiile.

CRIBELLATÉ, E {bel’) adj. Qui est pourvu d’un cnbcllma, eu parlant des araignées.

— Encycl. Los araignées eribellatées (araclmidcsarauéidescribellatés) comptent parmi les araignées vraies. Ce sont celles qui possèdent le cribellum et le calamistrum, comme les dictynes et les eresus, taudis que ces appareils manquent chez les araignées dites écribellales. Les araignées eribellatées, de beaucoup les moins nombreuses, se répartissent en ouzo familles.

CRIBELLUM {bèl-loin) n. m. Zool. Pièce cornée placée entre U’s tiliéres inférieures de certaines araignées, il PI.

Des CKlBt :LLA.

— Encycl. he cribdlnm n’existe que chez les araignées «lites eribellatées. Cette plaque chitineuse, placée à l’abdomen, entre lus filières inférieures ou au-dessous d’elles, est criblée de petits pores dont chacun donne naissance à uu tube fin qui est en communication avec une glande. Le liquide gommeux sécrété par ces glandes sort par ces tubes ou fusules ; il est alors étiré par les calamistra en fils cotonneux destinés à retenir la proie dans les toiU’S.

Cri du Peuple (le), journal politique quotidien. Il parut du 22 février au U mars 1871, puis du 21 mars au 83 mai 1871, avec Jules Vallès pour rédacteur en chef ; il eut alors Si numéros en tout ; il faisait appel à la révolution. Il reparut le 28 octobre 1883, toujours sous la direction do Jules Vallès, et, reprenant sa ligne de conduite, il engagea une campagne violente contre la majorité républicaine. A la mort de Vallès, la direction passa aux mains de Séverine et le journal devint l’organe du groupe socialiste de Jules Guesde. En 1885, il rompit avec les radicaux et engagea des polémiques personnelles qui lui valurent des condamnations. En 1887, Jules Guesde quitta le journal pour fonder la Voix du Peuple, qui no vécut {pie (|uclques jours ; d’autres rédacttnirs, eu 188S, se retirèrent pour fondiT le Parti ouvrier. Le Cri du Peuple disparut le y février lS8y ot se fondit avec l’ffomme libre dans uu nonv. ’au journal, VlC’jalité dirigé par Jules Roques.

CRIMINALISATION (*ï-on) u.f. Actiou de rendre criminel.

CRIMINALISTIQUE {liss-tik’) n. f. Ensemble des connaissances i>iatii|u.-s d’ordres divers qui sont nécessaires à un magiscrat procé-

dant au criminel : Le

conyrèsde l’union inter-

nationale de droit pénal

(jui s’est tenu à Lintz en

f895 a émis le vœu que

la CRIMINALISTIQCB fnt

l’objet de cours facuUn

tifs pour les étudiants.

rRTMHNKiriia /.i ;« Ci-inoni^cus leincllc : a. fixé sur lo CRINONISCUS («15- j^^ ^.y„ç balanc ; b. Uctaché et vu en

kussf n. m. (jenro do dcssuus.

crustacés isopodes. du

groupe des épicarides, qui habitent sur les cotes de l’océan

Allant !. jue et vivent en parasites sur la balane perforée.

— Em.ycl. Le mâle, libre ot très agile, n’a rien qui lo distingue spécialement du groupe auquel il appartient. La femelle, au contraire, unique dans chaque balane infestée, a un aspect très particulier, affectant la forme d’une étoile à iiualre rayons «-t crainpi>nnéo par sa face ventrale à la portion dorsale du cirripôde.

CRIOLLO (do créole} n. m. Nom donné au meilleur cacao du Venezuela. (Il y en a doux sortes : le Colorado ou rouf/e ot l’nmnrillo ou jaune. ï^ Nicaragua fournit aussi iiu criollo, mais dr qualité inférieure.) V. lig. cacao.

Griptana. V. Cami’o-dk-Criptana.

Crispe (saint), en lat. Crispmt, disciple do saint Paul, et, d’après une tradition de 1 Eglise grecque, évéquo de l’IIo d’Egino. Saint Paul parle de lui dans sa première épîtro aux Corinthiens, car il était de Corinthe ; chef do la synagojîuo do cette ville, il fut l’un des preniit*rs à se convoriir à la voix do saint Paul. — Fête le 4 octobre.

Crispi (Franf.’ois,, homme politique italien, né à Rihera (Sicile) en iHjy. — Il ost mort à Naples en 1901. Ses ilomières années furent attristées par le scandale do la Banque de Naples (1807). Crispi avait puisé dans les caisses de cet établissement de fortes sommes ; il dut comparaître deviuit une commission d’enquête, qui déclara qu’il n’y avait pas lieu de le poursuivre ; mais, si la commission reculait devant uu prorès contre nn chevalier de lAnnuiiriade. par cela même cousin du roi. la Chambre des députés n’hésita point à lo frapper d’un

Crnce (gr. d’un tiers).

vote de blâme. Malgré ce coup porté : l’homme d’Etat. la popularité de Crispi resta presque intacte en Sicile, ou il avait son siège électoral. Malade, aigri, affaibli par les années, et devenu presque aveugle, il no faisait plus que de rares apparitions à la Chambre. Au commcncenK-nt d<’ 1001. à Rome, en allant saluer la reine Marguerite, il lit une chute dans uu salon du palais de la reine et se blessa à la tète en heurtant le l)ord d’un vase de porcelaine. Cette chute occasionna chez le vieillard un ébraidement cérébral qui l’entraîna au tombeau. On lui rit à Naples des obsèques solennelles et son corps fut transporte au Panthéou de Païenne.

  • CRISTALLlSATION n. f. — ALLCS. UTTÉR. Stendhal, dans

sou livre ih- l’amour, définit la cristallisation « l’opération de l’osjirit (lui tire de tout ce qui se pré.sente la découverte quo l’objet aimé a do nouvelles perfections ». De même ([ue, dans les mines de sel do Salzljourg, un rameau d’arbre se couvre au bout de quelque temps de cristaux brillants, de même, dans l’imagination d’un amant, l’objet aimé no cesse do s’embellir

lie nouveaux charmes. Cette

théorie psychologique, à la-

quelle on fait souvent allu-

sion, tient uno place impor-

tante dans le fameux livre De ; Vamour, et Stendhal l’illustre

do piquantes anecdotes.

CRISTATELLE (kriss-ta-

tèi) n. f. Genre de capparida-

cées, comprenant des herbes

à fleurs .solitaires ou grou-

pées eu grappes, dont les

feuilles sont parfois utilisées comme vermicides.

CROCE n. f. Genre d’insec-

tes némoptères planipennes,

de la famille des hémérobii-

dés, comptant quelques es-

pèces répandues dans les ré-

gions chaudes.

— Encycl. Les croces sont

remarquables par la longueur

de leurs ailes inférieures filiformes. Une curieuse espèce

australienne, découverte en

1905, présente ces ailes quatre fois plus longues que l’insecte lui-même : c’est la croce attenuata, de la Nouvelle-Galles du Sud.

  • CROISER v. a. — Véner. Croiser l’enceinte, Traverser

avec le limier l’enceinte où repose la bête quand on vent la mettre sur |iied.

^CROISSANCE n. f. — Fièvre de croissarice, Mouvement fébrile avec douleurs des articulations au niveau des épiphyses, qui s’observe chez des jeunes gens à la suite dune croissance rapide.

Groisset I Francis Wiener, dit de), littérateur, né à Bruxelles en 1877. Il donna d’abord uu volume de vers : les Nuits de quinze ans (1898), puis un acte en prose : Qui trop embrasse (1899), joué aux Mathurius. Après avoir fait quelques conférences et écrit des chroniques pour le • Figaro -i, le -i Gaulois », V « Echo de Paris ->, la

" Presse ■>, il se consacra entièrement au théâtre. II a fait représenter : Par politesse (Capucines, 1899) ; l’Homme à l’oreille coupée (1900), dont les représentations furent interrompues par la censure et qui, remanié, fut donné {[uelques jours plus tard sous le titre de : une Mauvaise Plaisanterie ; le Je ne sais quoi, comédie en trois actes, avec Maurice de Waleffe (Capucines, 1901) ; Chémbin, qui n’eut qu’une répétition générale à la Comédie-Franeaise (1901), et futunedes causes de la suppression du comité de lecture (la pièce fut reprise par le théâtre du Parc de Bruxelles, en même temps qu’elle était transformée en comédie chantée avec musique de Massenet pour le théâtre de Monte-Carlo) ; les Deux Courtisanes (Malliurins, 1002^ ; le Paon (trois actes envers joués à la Comédiu-Franr ; aise en 1904), et qui fut pour F. de Croisset l’occasion de prendre sa revanche de la mésaventure de Chérubin. Il faut citer encore, parmi ses œuvres théâtrales : la PassereUe, avec M"" Fred. Gresac (19021 ; Par vertu et consentement mu/ue^ (Athénée, 1902) ; la Bonne Intention (Capucines, 1905), et le Bonheur, mesdames (Variétés, 1905) ; le Tour de main, avec Tarride (Ifloe). F. de Croisset excelle dans la comédie légère, spirituellement libertine.

  • CroiSY (Onésime-Aristide), sculpteur français, né à

Fagnon (Ardennes) en 18-10. — Il est mort à Paris en 1899. Il avait fait apprécier au Salon de 1897 le soubassement, peuplé Oe moujihs et d’enfants russes, d’un monument colossal destiné à la ville do Soumy (gouv. de Kharkov). On lui doit aussi de nombreux bustes d’un caractère énergique : L’mile Perrin, Emile Augier, Tirmnn, etc.

Croix (la), journal catholique (piotidien, fondé à Paris en 1880 par les auguslins de l’Assomption ; le P. Bailly fut le principal rédacleur. Il a eu ensuile comme rédacteur en chef Jules Bouvattier. ancien député. Il est accompagné depuis 1891 de la Croix-Supplémmt. publiée en petit format. La même maison publie en grand et en petit format la Croix du DimaJiche, journal helxiomadaire (édition des villes et édition des campagnes). La Croix est complétée par les Croix de province, la plupart hebdomadaires.

. PïtKssK (lionne), t. VII. 

Croix huguenote. V. Saint-Esprit.

Croix-Verte française (la), société de secours aux militaires coloniaux. Elle a eu pour origine l’Association ^»l/tv ;m^•{^. créée à Paris en 188S, sous les auspices do René de Cuers. pour resserrer les liens de camaradcri*^ d’anciens compagnons d’armes. Etendant son cercle d’action, do Cuers la iransforma, en isos, en une Société dr secours aux militaires coloniaux qui prit bientôt le nom de Croix-Verte française, son insigne étant une croix verte sur fond jaune. Un dortoire-réfecioire fut d’abord ouvert en 1892 à La Chaiielle, puis la Société s’installa à Sèvros, en 1K98. Sous la direction de de Cuers. aidé de M"* de Cuers, elle a hospitalisé un grand nombre de soldats coloniaux et rendu ainsi de grands services ; elle a créé des établissements similaires dans diverses villes.

  • CroIZETTE (Sophie-.Vlexandrino CnoisETTE, dite), actrice

trnin.’aise. née â Saint-l*étersbourg ou 1818. — Elle est morte ù. Paris en 1901.

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Croker (Richard), chef du Tammany Hall de Ncw-Vork, né en 1843. Slenant île front la’ politique et les alfaires, n’exerçant aucune fonction publique et n’étant investi d’aucun mandat électif, le boss. comme on l’a surnommé, devint le grand leader du parti démocrate de New-York, et le tout-puissant chef du Tammany Plall, dunt le but est de faire détenir tous les emplois" administratifs, judiciaires et exécutifs des Etats-fnis par les seuls associés du parti. D’abord partisan «le la politique impérialiste, il en lut ensuite, ajirès un voyage en Europe en 1899, un des adversaires les Jdus résolus, il s’est retiré en 1902.

CROMERIEN, ENNE {ri-in, en’) adj. Se dit d’une zone géologitjue établie jfour désigner le sommet du pliocène de Hollande et les rivages anglais de Norfolk et de .Sulfolk. La zone croméricnne est caractérisée par le forestbed [couches de la forêt] de Cronier.

— M. ni. : /,f CKOMliRlEN.

CROMFORDITE {krotn’j U. î. Chlorocarbonate de plomb qui est le jilumh corné.

CrOMPTON (Henry), jurisconsulte anglais, né à Liverpool en isyo. mortà Churt-House, Farnham (comté do Surrey [Angleterre j). en 190i. l’artisan très actif de la doctrine d’Auguste Comte, il s’occupait en même temps des Trudes Unions cl de la solution des ditférends entre patrons et ouvriers ])ar la conciliation et l’arbitrage. Son ouvrage, Industrial Conciliation (1876), fait autorité. En 1899, Crompton prit la direction du groupe des positivistes anglais et préconisa l’alliance de la France et de l’Angleterre.

CrONJE (Piet Arnoldusi. f’énéral boer, ué en 1835. Fermier des environs de Pot chef stroom, il fil pendant la guerre anglo-transvaalienne de 1S78 ses premières armes, comme chef d’un des commandos du général Joubert. Au moment du raid fameux du h’ Jameson, il fut mis à la léte des troupes envoyées contre la petite troupe anglaise, qu’il réussit à capturer, s"attirant ainsi la liainc des Uitlandcrs. En 1899, lorsque s’ouvrirent les hostilités décisives entre les Anglais et les républiques snd-africaiucs, il fut mis à la tête de l’armée chargée d’opérer dans l’ouest de l’Orange. Ses commandos furent victorieux sur la Modder ; mais lui-même, malgré les conseils du colonel français de Villebois-Mareuil, s’obstina à ne pas s’éloigner de cette rivière lorsque apparurent les troupes très supérieures en nombre du maréchal Roberls. Tourné par le nord, puis cerné à Paardeberg, il dut, après sept jours de lutte et pour éviter l’anéantissement complet de sa colonne, capituler avec armes et bagages. Il lut envoyé en captivité à Sainte-Hélène. Brave soldat, mais général insuffisant il est devenu, après la guerre le chef d’une petite troupe qui a représenté, dans les cirques de l’Amérique du Nord, les principaux épisodes de la guerre anglo-boer.

  • Cros (César-Isidore-J7e"n , sculpteur français, né à

Narboune en IS-iO. — Il a pris part à l’Exposition de 1889 (Paris) avec : les Druidesses, bas-relief marbre (au musée de Soissons), la Verrerie antique, Europe, la Peinture, la Source f/elée, en pâte de verre. En 1900, il se vit décerner une médaille d"or pour Histoire du feu. bas-relief en pâte de verre et des Vases décoratifs également en pâle de verre ou en grès salé. En lyo6, il a douné au Salon une tète de Méduse en pâte de verre.

CrosnieR (Irma), actrice française, née et morte à Paris (1820-1905). Elève de Sanison au Conservatoire, elle débuta à la Comédie-Française en 1846 dans Tartuffe, où, en dépit de son jeune âge, elle jouait le rôle de M"" Pernelle. Elle quitta ce théâtre jjour accompagner Rachel dans ses grandes tournées à l’étranger, jouant auprès d’elle les coniidentes de tragédie. De retour eu France, elle alla tenir l’emploi des premiers rûles dans diverses villes de province, notamment à Toulouse. Eniin, eu 1873, elle était engagée à l’Odéon pour y jouer les duègnes et s’y montra excellente non seulement dans le répertoire, où elle apportait les tonnes traditions de ïécole, mais dans les pièci s modernes, se faisant remarquer surtout dans l’Artésienne, yinna Jiounuslati. Crime et châtiment. Cenninie Lacerteux, etc. Entre temps, elle se monira aux Bouffes-Parisiens dans la jolie pantomime de l’Enfant prodiyne, et aux Variétés, daus Mn Cousine.

CROSS (abréviation de cross-country, v. t. III) n. m. : L’n CROSS militaire.

Cross (Hcuri-Edmond Delacroix, dit), peintre français. V. Delacroix.

crosse n. f. — Boucher. Partie du bœuf qui vient immédiatement au-dessous du gîte ou trumeau, sur chacun des membres, et qui est rangée dans la troisième qualité de viande : Pour les membres antérieurs, on dit CROSSE d’avant, et ç-rouse d’arrière pour les membres postérieurs. V. BŒCl-’, t. IL

CROSSITE {kro-sit"^ n. f. Substance minérale résultant du mélange isomorphe d’actinote glaucopliane et do riebeckitc.

CROSSLANDIE ou CROSSLANDIA n. f. Genre de mollusques gastéropodes opistliobraiiches. de la famille des dondidés, créé en IOOl’ pour

une espèce nouvelle décou-

verte à Zanzibar {crosslandia

viridis).

CROTONISATION (si -on)

n. f. Se dit de la *<uidensa-

tion des aldéhyles avec dés-

hydratation. ("Elle se fait a

chaud.)

  • CrOUSILLAT (Antoine-

Biaise , poète provençal, né

à S ;iIon en isn. — Il y est

mort en is’.ig. .. _, . ,

Crosslandie : a. dos ; b. deproiil.

  • CROUSLÉ(François-Léon),

pn.lessiur et littérateur, né à Paris en 1830.— Il y est

Miiiri vu r.’03.

  • ’Cr0WE fJosep :i-Arthuri. nistorien d’art, né à Londres

en 18 :^5. — Il est mort A ^Vurlzbourg en 1896. Outre les ouvrages eiiés de lui. signalons un volume do mémoires intitulé Trentr-cinq ans dc ma vie.

CrOZALS .lacitues-Ferdinand-Joseph de), professeur et historien français, né ù Alignau-du-Vent (Hérault) eu