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1417 ZBOURIEFKA ou NOVAÏA-ZBOURIEFKA, bourg de Russie (gouv. de Tauride), sur l'estuaire du Dniéper; 4.000 hab. Pelleteries. ZDUNI, bourg d'Allemagne (Prusse [prov. de Posen)), sur un sous-affluent de la Bartsche; 3.500 hab. Minoterie. ZDUNSKA-WOLA, ville de Russie (Pologne [gouv. de Kalisch]); 16.000 hab. ZE n. m. Gramm. Nom de la lettre en français. ZÉ n. m. Gramm. Onzième lettre de l'alphabet arabe, treizième de l'alphabet turc, équivalant à notre 5. || Signe numéral de 7 chez les Arabes. ZEA (sé-a) n. m. Bot. Nom scientifique du genre mais. ZEA ou KEA, ile de la mer Egée ou Archipel, la plus septentrionale des Cyclades. Elle s'étend au S.-E. du cap Souniou (Attique), entre Makronesion et Kythnos. Terre sensiblement ellipsoide, parcourue du N.-E. au S.-O. par une arête calcaire, dont le sommet principal, le Saint- Elie, se dresse à 568 mètres; 103 kilom. carr.; 5.000 hab. C'est la Céos des anciens. ZEA-BERMUDEZ (D. Francisco), homme d'Etat espa- gnol, né à Malaga en 1772, mort à Paris en 1850. Ambas- sadeur à Constantinople (1820-1823), puis à Londres, Fer- dinand VII l'appela aux affaires (1824), comme ministre des affaires étrangères, la haine des absolutistes con- traignit le roi à le renvoyer (1825). Il occupa les postes d'ambassadeur à Dresde, puis à Londres, jusqu'au jour où Marie-Christine, régente pendant une maladie du roi, le rappela au pouvoir (1832). Comme il représentait bien la dose de libéralisme que la cour consentait à tolérer, il resta ministre quand le roi eut repris le gouvernement (janv. 1833) et, après la mort de Ferdinand, Christine le maintint jusqu'en janvier 1831. Il fut nommé en 1845 sénateur du royaume d'Espagne. ZÉAGONITE n. f. Minér. Variété de gismondine. ZÉASITE n. f. Minér. Variété d'opale. ZÉBÉDÉE, père des apôtres saint Jacques et saint Jean l'Evangéliste, et mari de Salomé. Il était pêcheur de pro- fession. (St Matthieu, IV, 21.) ZÉBIL n. f. Fontaine de mosquée ou d'établissement où les musulmans font leurs ablutions. V. ABLUTION. ZÉBLEU n. m. Etoffe assez épaisse et assez large pour servir de tapis, que l'on fabrique en Roumanie. ZEBRE (mot emprunté aux langues du Congo) n. m. Zool. Genre de mammifères du groupe des chevaux, dont le nom scientifique est hippotigris: Le zÈBRE a mérité l'admiration de tous les voyageurs. (V. de Bomare.) 1 Loc. fam. Courir comme un zèbre, Courir très vite. Ichtyol. Nom vulgaire d'un poisson du genre ché- todon. | Nom vulgaire d'un poisson du genre pleuronecte, qui vit dans les mers de l'Inde. Moll. Nom vulgaire d'une coquille du genre casque. - ENCYCL. Zool. Le zèbre commun (hippotigris zebra) se caractérise par sa robe fauve clair ou jaunâtre, com- plètement rayée de brun, ses jambes annelées jusqu'aux sabots, sa cri- nière alterna- tivement noire et blanche, sa queue noire, tandis que le daw (hippoti- gris Burchelli) a les jambes et les pieds non annelés; le cou- agga (hippo- tigris quagga), espèce aujour- d'hui éteinte, est rayé seule- ment en avant. Le zèbre de Grévy (hippo- tigris Grevyi), Zèbre. des pays somalis et gallas, est voisin du zèbre commun. Le zèbre commun, répandu dans toute l'Afrique australe et méridionale, compte de nombreuses variétés. C'est un animal de montagne, vivant par troupes, et qui devient de plus en plus rare depuis l'introduction des armes à feu. Jadis commun dans les ménageries, on l'y dressait comme le cheval. ZÉBRER (de zèbre. Change é en è devant une syllabe muette : Je sèbre, Ils zèbrent, excepté au fut. et au condit. Il zébrera, Ils zébreraient) v. a. Marquer de lignes si- nueuses et parallèles, comme celles de la robe du zèbre: ZEBRER une couverture de voyage. Par anal. Marquer de raies quelconques: Les éclairs qui ZEBRENT un ciel d'orage. ZÉBRINE n. m. Genre de commélinacées, comprenant des herbes grimpantes, dont on connait deux espèces mexicaines, souvent cultivées comme ornementales. ZÉBRURE (rad. zébrer) n. f. Disposition de lignes si- nueuses et parallèles: La ziBRURE du tigre. (Toussenel.) ZÉBU (mot emprunté aux langues de l'Inde) n. m.- Genre de mam- mifères rumi- nants, de la tribu des bo- vinés, propres à l'Asie tropi- cale. ENCYCL. Les zébus (bi- bos) sont des bœufs, sou- vent de grande taille, ayant une bosse plus ou moins déve- loppée sur le garrot. Le gaur (bibos gaurus), le gayal (bibos frontalis), le banting (bibos Sondaicus) sont les trois types sauvages de ce sous-genre. Les deux premiers habitent le continent Zébu. VII. indien; le troisième s'étend en Malaisie. Le zébu domes- tique (bibos Indicus), domestiqué de tout temps dans l'Inde, a été introduit en Egypte à l'époque historique, avec le buffle d'Asie, d'où il s'est répandu dans toute l'Afrique et jusqu'à Madagascar; il est retourné à l'état sauvage en diverses de ces régions. En Asie, il se croise avec les trois premières espèces, dont une, le gayal, est domes- tiquée dans l'Inde orientale. ZÉDARON n. m. Etoile de seconde grandeur, de la constellation de Cassiopée. ZEDELGHEM, comm, de Belgique (Flandre-Occidentale [arrond. de Bruges]); 4.709 hab. Ch. de f. de Bruges à Thourout. Dentelles. ZEDLITZ (Joseph-Chrétien, baron DB), poète autrichien né à Johannisberg (Silésie autrichienne) en 1790, mort à Vienne en 1862. Il fut d'abord officier, puis entra dans la diplomatie sous la direction de Metternich. En 1815, il fut nommé ministre résident du grand-duc de Weimar, puis chargé d'affaires du duc de Brunswick, à Vienne. Zedlitz doit sa réputation à une excellente traduction en allemand du Childe Harold de Byron (1836) et à ses oeuvres littéraires poésies lyriques, poésies épiques et drames. Beaucoup de gens, même en dehors de l'Allema- gne, connaissent de Zedlitz la Revue nocturne, qui évoque avec puissance Napoléon et son armée, et qui a été inspi- rée à l'auteur par une romance de Seidel. Plusieurs autres morceaux de ses Poésies (1832) décèlent du souffle et se distinguent par la virtuosité de la forme. Ses Couronnes des morts (1827) prennent le lecteur par la force de la pensée et le tragique de l'émotion. Zedlitz a été moins heureux dans le domaine épique et au théâtre, où sou meilleur drame est Maitre et Esclave (1834). ZÉDOAIRE (do-èr') n. f. Rhizome de certains safrans- curcuma. (Ces rhizomes, qu'on rencontre dans tous les ba- zars indiens, ont une saveur camphrée, on les emploie dans les catarrhes, les maladies de peau; ils sont carmi- natifs et stimulants.) ZÉDOARINE n. f. Chim. Substance extraite d'une espèce de zédoaire. ZÉE n. m. Genre de poissons acanthoptères, tribu des zeinés, répandus dans les mers de l'hémisphère nord et de l'Australie. ZEEGERS ou SEGHERS (Gérard) [le maître signait Zeegers], peintre flamand, né et mort à Anvers (1591-1651). Il voyagea en Italie et en Espagne, et, de retour à Anvers, en 1620, il sut se faire une place dans l'école flamande, à côté de ses deux illustres contemporains, Rubens et Van Dyck. Anvers conserve de Zeegers: le Mariage de la Vierge, l'Extase de sainte Thérèse et Vierge au scapulaire, le Christ revenant des limbes et Saint Louis de Gonzague renonçant au monde, Sainte Claire adorant l'Enfant Jésus, Saint Norbert recevant l'habit religieux, Saint François Xavier adorant l'Enfant Jésus, l'Education de la Vierge, l'Erection de la croir. Au musée de l'académie de Bruges est une Sainte Trinité; au Louvre, un Saint François d'Assise en extase; à Vienne, la Vierge avec l'Enfant Jesus et saint Jean et un Saint François de Borgia (dans un pay- sage peint par J.Van Arthois); au musée de Madrid, Jésus dans la maison de Marthe et Marie; au musée de Copen- hague, la Cène; au musée de Rotterdam, Vénus et Adonis. ZEELAND. Géogr. V. ZÉLANDE. ZEEMANN (Henri Nooms, dit). Biogr. V. NooMS. ZEEN (sé-in) adj. m. Se dit en Algérie du chêne de Mirbeck ou chêne sang. ZEGDOU, puissante confédération de trois grandes tribus du sud-est du Maroc; les Béni-Guil, les Ouled-Djérir et les Doui-Ménia. ZEGGERS-CAPPEL, comm, du départ du Nord, arrond. et à 19 kilom. de Dunkerque; 1.535 hab. ZÉGRIS (griss) n. m. Genre d'insectes lépidoptères rhopalocères, famille des piéridés, propres à la Russie méridionale et à l'Espagne. ZEHNÉRIE (é, ri) n. f. Genre de cucurbitacées, com- prenant des herbes, grimpantes ou rampantes, dont on connaît environ 50 espèces de tous les pays tropicaux. ZEHNLING (pron. allem. tsèn'-lin'gh) n. m. Poids usité dans le duché de Bade, et valant 50 grammes. ZÉÏA, rivière de la Russie d'Asie (Sibérie orientale [prov. de l'Amour]). Elle descend du versant méridional des monts Stanovol, coule au S.-S.-E., absorbe la Selindja et gagne la rive gauche de l'Amour. Cours 1.158 kilom. ZEÏBEK ou XÉBEK, tribu montagnarde de la Turquie d'Asie (prov. de Smyrne). Les hommes de cette tribu sont employés aujourd'hui comme auxiliaires dans le corps des zaptiés ou gendarmes. ZEÏD-IBN-THABET, secrétaire de Mahomet, né en 611 de notre ère, mort vers la fin du vn siècle. Abou-Bekr le chargea de rassembler les fragments du Coran dispersé lors d'une bataille contre les Arabes du Yémama. Il re- fusa, après la mort d'Osman, de prêter serment à Ali. ZEIDNAT, principale tribu des Hazaréh de l'Afghanis- tan, considérée comme la plus noble de toutes. ZEILAH ou ZEILA, ville de l'Afrique orientale, dans la Somalie anglaise, sur la côte méridionale du golfe d'Aden, à 50 kilom. an S.-E. de Djibouti; 5.000 hab. en- viron. Connue des anciens sous le nom d'Aralites Portus, elle fut au moyen âge une station arabe. ZEILANE (e) n. f. Variété de tulipe. ZEILIS (ze-liss) n. m. Nom donné à des sectaires maho- métans, qui attendent un prophète persan dont la loi doit abroger celle de Mahomet. ZÉINE n. f. Chim. Glaten de la farine de maïs. ZEIN-EL-ABIDIN (Ali), quatrième imam alide des chiites persans, né en 668, mort en 713. Il était le petit- fils du calife Ali et il fut fait prisonnier en 680, à Kerbéla. Le calife omeyyade Yézid I l'épargna à cause de son jeune âge et l'envoya à Médine. Zéin-el-Abidin eut pour successeur son fils Mohammed Baker. Son autre fils, Zéid, se proclama calife à Koufa, en 739, mais cette tentative échoua et il fut mis à mort par Yousouf-ibn-Amir. ZÉINÉS n. m. pl. Tribu de poissons acanthoptères, ren- fermant le seul genre zée.- Un ZEINE. ZBOURIEFKA - ZELE ZÉINITE n. m. Membre d'un ordre monastique ture, fondé au xv siècle par Zéin-Abou-bekr-Khafy. ZEIRIDES. Hist. musul. V. ZAIRIDES. ZÉISME (isam-rad, zea, mats) n. m. Méd. Opinion qui attribue la pellagre à l'usage de la farine de mais altérée. ZEIST, bourg des Pays-Bas (prov. d'Utrecht), près de la rive droite du Kromme Rijn, l'une des branches du delta du Rhin; 7.000 hab. Cultures admirables. C'est là que fut conclue, en 1579, l'union des sept Provinces-Unies. ZEITBLOM (Barthélemy), peintre allemand, né avant 1470, mort après 1516. Il travailla à Ulm, et eut probable- ment pour premier maitre Martin Schongauer. Plus tard, il prit des leçons de peinture de Hans Schuelin, dont il épousa la fille (1483), et il exécuta de nombreux tableaux d'église, des volets d'autel, etc. Ses tableaux sont remar- quables par la pureté et la vérité du sentiment religieux, qui s'élève parfois jusqu'au audiose. Parmi ses les plus estimées, nous citerons : une belle Sainte face et une Tête de sainte Anne, au musée de Berlin; deux ta- bleaux représentant des traits de la vie de saint Valenti- nien, à la galerie d'Augsbourg, uvres ZEITE n. m. Membre d'une secte d'Arabes mahométans, dans l'Yémen. ZEITOUN ou ZEYTOUN, ville de la Turquie d'Asie (Syrie (prov. d'Alep), sur le mont Zeytoun ou des Oli- viers), qui domine Tékir-Sou, affluent du Djihan; environ 17.000 hab. Mines de fer. ZEITOUNI. Géogr. V. LAMIA et MALIAQUE (golfe). ZEITRABA adj. Alchim. Se dit des matières fusibles. ZEITZ, ville d'Allemagne (Prusse [prov. de Saxe, ch.-L. de cercle, sur l'Elster-Blanche; 22.000 hab. Mines de lignite; tissage. Minoterie et impression d'étoffes. ZÉKAT (kat- de l'arabe zakat, aumône) n. f. Aumône légale, que tout musulman est tenu de faire. Au Maroc, Taxe sur les bestiaux qui s'élève environ à 2 pour 100. ZÉKI-KAN (Mohammed), sultan zend de Perse, assas- siné en 1779. Il se signala durant le règne de son frère Kérim-kan par d'abominables cruautés et, à la mort de Kérim, il s'empara de la couronne au détriment des flis de ce dernier (1779). Il fut presque aussitôt obligé d'asso- cier deux de ses neveux, Aboul-Feth et Mohanimed Ali- kan, à son pouvoir. Un autre de ses neveux, Ali Mourad- kan, qui commandait l'armée persane, se révolta et s'empara d'Ispahan. Zéki-kan marchait contre le rebelle quand, arrivé à Yezdikhast, il fat assassiné par un des habitants de cette ville, après un règne de quelques mois. ZÉLANDE n. f. Au moyen âge, Navire aux formes ar- rondies. ZÉLANDE (holland. Zeeland, c'est-à-dire terre mari- time »), province des Pays-Bas, à l'extrême sud-ouest du royaume, faite d'une partie continentale confrontant, au S., à la Belgique, et d'iles de la mer du Nord: Walche- ren, Beveland Sud, Beveland Nord, Tholen, Schouwen. Elle commande les deux estuaires de 1 Escaut occidental ou Honte et de l'Escaut oriental et, par Schouwen, l'une des embouchures du Rhin-Meuse; 1.785 kilom. carr.; 220.000 hab. (Zélandais, aises.) Vastes plaines, polders sagement aménagés, dunes; grands travaux contre les assauts de mer; en somme, pays fort riche de cultivateurs, éleveurs, commerçants, pécheurs et marins. La Zélande fut, sous le premier empire, le département des Bouches-de- l'Escaut. Capit, Middelburg. ZÉLANDE (NOUVELLE-). Géogr. V. NOUVELLE-ZE- LANDE. ZELANTI (se) n. m. pl. Nom que l'on donne, à Rome, aux cardinaux et aux prélats qui soutiennent avec intran- sigeance les prérogatives du saint-siège et combattent les concessions faites aux gouvernements. Sing. ZELANTE. ZÉLATEUR, TRICE (du lat. zelator, triz, même sens) n. Personne qui montre un zèle ardent: Les ZÉLATEURS du bien public. Hist. bibl. Membre d'une secte juive de Jérusalem, sous Titus. Syn. SICAIRE, ou ZELOTE. Hist. ecclés. Chef d'un groupe, dans certaines confré- ries ou associations pieuses. Zélatrice, Religieuse qui, dans quelques couvents, était chargée de la correspon- dance et des dépenses. - ExCYCL. Hist. hébr. La secte juive des zélateurs était à la fois religieuse et politique; elle demandait le retour à la stricte observation des lois mosaiques et la conquête de l'indépendance nationale par l'expulsion des étrangers, Gréco-Syriens ou Romains. Les hautes classes et les fonctionnaires, suspects de pactiser avec les Romains, furent souvent en proie aux violences de cette plèbe, exaspérée par un patriotisme mal entendu et séduite par les aventuriers et les faux messies, qui parurent au début de l'ère chrétienne. Malgré l'intervention des magistrats et des soldats romains, Jérusalem fut en proie au pillage, à la proscription et au meurtre. Vainqueurs de leurs en- nemís, les pharisiens, les saducéens et les prêtres, les zé- lateurs se déchiraient entre eux. On sait avec quelle fu- reur sauvage, malgré leur indiscipline et leurs querelles intestines, ils se défendirent contre l'armée de Titus, qui en fit un massacre effroyable, pendant le siège et après la prise de Jérusalem. Les survivants se répandirent en bandes de pillards autour de la ville. -Hist. relig. On appelle zélateurs, dans un certain nombre de confréries, d'associations ou de ligues pieuses. les personnes qui sont à la tête de petits groupes, dont elles stimulent le zèle en leur distribuant des brochures et des revues, en leur faisant parvenir les communications officielles, en renouvelant les inscriptions, en recrutant de nouveaux adhérents, et enfin en recueillant les cotisations on souscriptions. Tels sont, par exemple, les zélateurs de l'apostolat de la prière, de la ligue du Coeur de Jésus, etc. ZELE (du lat. zelus, du gr. zélos) n. m. Grande activité inspirée par la foi, le dévouement, l'affection: Le zÈLE d'un prédicateur, d'un serviteur - Fam. Faire du zèle, Montrer un empressement outré ou intempestif. Ecrit. sainte. Zele de la maison du Seigneur, Ardeur extrême dans le service de Dieu. -Hist. hébr. Jugement de zèle, Supplice mosaique de la lapidation, indigé à un grand nombre de crimes. Zool. Genre d'insectes hyménoptères térébrants en- tomophages, de la famille des braconidés, comptant une vingtaine d'espèces répandues sur l'hémisphère nord. 176