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1377 WEISSE (Chrétien-Hermann), philosophe allemand, né et mort à Leipzig (1801-1866). Il professa à l'université de Leipzig. Parmi ses ouvrages, les uns se rapportent à l'esthétique, les autres à la philosophie religieuse et à la critique des Evangiles. Aux premiers appartiennent l'ouvrage suivant, écrit à la manière dialectique de Hegel, mais se séparant de ce dernier par ses doctrines théistes: Système de l'esthétique considérée comme la science de l'idée du beau (1830). Weisse développa ses idées relatives à la philosophie de la religion dans : l'Idée de la divinité (1833): la Doctrine secrète de la philosophie sur l'immortalité de l'individu humain (1834); Principes de métaphysique (1835); la Christologie de Luther (1852); Dogmatique philosophique ou Philosophie du christianisme (1855-1862); etc. WEISSENBURG-AM-SAND, ville d'Allemagne (Bavière [cercle de Moyenne-Franconiej), ch.-I. de district, sur la Rezat; 6.315 hab. Passementerie. WEISSENFELS, ville d'Allemagne (Prusse [présid. de Mersebourg)), ch.-1. de cercle, sur la Saale; 25.681 hab. Fabriques de chaussures, de papier, de maroquinerie. Fon- derie de fer. Raffinerie de sucre. Mines de houille. WEISSENSEE, village d'Allemagne (Prusse (présid. de Potsdam]), cercle de Niederbarnim, au N.-E. de Ber- lin; 25.176 hab. Forges et fonderies de fer. WEISSENSTEIN, ville de la Russie d'Europe (Estho- nie), ch.-!. de district, sur le Weissenstein; 4.000 hab. WEISSHORN (mot allem. signif. Aiguille blanche), un des plus hauts sommets des Alpes suisses, dans le Valais; 4.512 mètres d'altitude. Tyndall, le premier, en 1861, réus- sit à en atteindre le sommet. WEISSIE ou WEISIE (vé-sl) n. f. Genre de mousses cos- mopolites, dont on connaît plusieurs espèces qui croissent sur la terre, les rochers et les arbres. WEISSIGITE (vè-si-jit') n. f. Silicate naturel de la fa- mille des feldspaths, variété lithinifère d'orthose. WEISSKIRCHEN ou UNGARISCH-WEISSKIRCHEN, ville libre d'Autriche - Hongrie Hongrie [comitat de Temes]), ch.-1.. de district.; 9.041 hab. Vignobles. WEISSKIRCHEN ou HRANICE, ville d'Austro-Hon- grie (Moravie), sur le Beczawa, affluent de la Morava; 8.200 hab. Fabriques de draps; liqueurs. Minoteries. WEISSSTEIN, village d'Allemagne (Prusse présid. de Breslau]); 7.852 hab. Mines de houille. Verrerie. WELCHE n. V. VELCHE. WELDIEN (vel'-di-in, èn') adj. Géol. Se disait autrefois de certains terrains d'alluvion. WELFEN ou WELF, nom de plusieurs personnages de la famille des Welf ou Guelfes. Welf Ier, le plus ancien de la famille, était un comte du pays de Souabe, établi dans les environs de Weingarten (Wurtemberg). Judith, sa fille, épousa en 819 l'empereur Louis le Pieux et fut la mère de Charles le Chauve. Son fils Conrad fut l'ancêtre des rois de Bourgogne. WELHAVEN (Johan Sebastian Commermeyer), poète norvégien, né à Bergen en 1207, mort à Christiania en 1873. Il étudia à Christiania la théologie, puis les belles- lettres, et commença contre Wergeland (1830) une polé- mique violente, qu'il résuma dans le livre célèbre la Poé- sie et la Polémique de Henrik Wergeland (1832). Aidé de quelques amis (Schweigaard, P. A. Munch, etc.), il fonda, pour défendre ses opinions, le Vidar (1832-1835), puis pu- blia, sous le titre de Norges Dæmring, un recueil de courts poèmes de forme achevée, dans lequel il raillait si cruel- lement l'étroitesse d'esprit de ses compatriotes que ceux-ci brûlèrent solennellement le volume (1835). Il donna en- suite une série de recueils poétiques (1839, 1845, 1851- 1859). Après un long séjour en France et en Allemagne, il fut nommé (1840) lecteur, puis (1846) professeur de philo- sophie à l'université de Christiania. On lui doit divers tra- vaux historiques de haute valeur. WELKENRAEDT, bourg de Belgique (Liége [arrond. de Verviers]); 3.235 hab. Zinc et plomb. WELLAND, comté du Canada (prov. d'Ontario), sur la rivière Niagara; 26.000 hab. Ch.-1. Welland (3.500 hab.). WELLAND (CANAL DE), canal du Canada (prov. d'Onta- rio), allant du lac Erié au lac Ontario; 44 kilom. WELLEN, comm. de Belgique (Limbourg [arrond. de Tongres]), sur la Herck, sous-affluent de l'Escaut; 2.452 h. WELLESLEY, prov. de l'Indo-Chine anglaise (pres- qu'ile de Malacca), colonie des détroits (Straits Settle- ments), entre la mer à l'O., le Keddah (tributaire du Siam) au N., le Pérak à l'E. et au S.; 747 kilom. carr.; 100.000 hab. WELLESLEY (Richard COLLEY, marquis), homme d'Etat anglais, frère de Wellington, né au château de Dan- gan en 1760, mort à Brompton en 1842. Gouverneur géné- ral de l'Inde en 1797, il prit l'offensive contre Tipoo-Sahib, conquit la plupart des Etats indiens et fut alors nommé commandant général de toutes les armées de l'Inde. En 1802, il se prit de querelle avec les directeurs de la Com- pagnie, demanda son rappel, mais fut obligé de rester par suite de la révolte des Mahrattes; les défaites de ses lieu- tenants Monson et Holkar provoquèrent son remplace- ment par Cornwallis, en 1805. Il retourna en Angleterre, violemment attaqué. Nommé ensuite ambassadeur à Sé- ville, il soutint de sa diplomatie l'action militaire de son frère Wellington; il succéda ensuite à Canning comme mi- nistre des affaires étrangères. Par suite de son caractère difficile, il dut démissionner en 1812. Il s'enróla alors dans l'opposition. De 1820 à 1828 et de 1832 à 1834, il remplit le poste de vice-roi de l'Irlande; lord chambellan en 1835, il quitta le pouvoir quelques mois après. WELLINBOROUGH, bourg d'Angleterre (comté de Northampton); 7.000 hab. Sources minérales. WELLINGTON, ville d'Angleterre (comté de Shrop), entre deux affluents du Severn; 15.000 hab. Métallurgie. Sources minérales ferrugineuses et sulfureuses. WELLINGTON, bourg d'Angleterre (comté de Somer- set); 6.000 hab. Fabrication de tissus. WELLINGTON, comté du Canada (prov. d'Ontario), au centre de la presqu'ile ontarienne; 68.000 hab. VII. WELLINGTON, ville maritime de la Nouvelle-Zélande, capit. de la colonie, ch.-1. du comté de Hutt, sur le port Nicholson, petite baie formée par le détroit de Cook, 33.000 hab. Port profond et très súr, en relations régulières avec les principales cités de l'Australie méridionale. Com- merce de céréales, peaux, minerais. Tanneries, savonne- ries, fonderies, tuileries, scieries mécaniques, filatures de laine, fabrication d'étoffes. 5 WELLINGTON [ouel-lin'gh-ton" (Arthur WELLESLEY, duc DE), général anglais, né à Dublin, ou à Dangan-Castle, en 1769, mort à Walmer-Past (Kent) en 1852. Il était fils de lord Gerard Colley, comte de Mornington, et d'Anne Hill, fille du vicomte de Dungannon. Il fit une partie de ses études en France, à l'Ecole militaire d'Angers et, de retour en Angleterre, devint enseigne au 73 d'infanterie en 1787. En 1793, il était lieutenant-colonel, et combattait en Hollande sous lord Moira et le duc d'York. Colonel en 1796, il s'embarqua pour les Indes occidentales, mais une tempête le rejeta en Irlande. Cependant, il servit au Cap et dans l'Inde en 1797, prit part à la bataille de Mallaveli dans le Nizam où Tippo-Saëb fut vaincu, et devint gouver- neur de Seringapatam en 1799. Il vainquit et tua, en 1800, un chef indien révolté, fut nommé en 1802 général major, com- manda la cavalerie contre les Mahrattes. Il ne retourna en An- gleterre qu'en 1805. Député au parlement d'Irlande dés 1790, il fut élu en 1806 député aux Communes par l'ile de Wight et devint, en 1807, premier secré- taire de l'Irlande. Mais il quitta ce poste pour aller en Dane- mark commander la réserve du général Cathcart. Lieute- nant général en 1808, puis commandant de l'expédition de Portugal, il se heurta pour la première fois aux Français le 18 août et fut vaincu par Junot à Roliça, mais il battit ce dernier le 21 à la bataille de Vimiero, qui amena la capitu- lation de Cintra, Wellesley regagna l'Angleterre, où il reçut le titre de vicomte de Wellington, et reprit le chemin de Lisbonne en avril 1809, comme commandant en chef de l'armée anglaise. Il vainquit Soult à Oporto, gagna le 28 juillet la bataille de Talaveira et, en récompense, fut élevé à la dignité de pair comme lord Wellington de Tala- veira. Il organisa la défense du Portugal contre Masséna, par la construction des lignes de Torres Vedras. Il arrêta à la meurtrière bataille de Busaco (27 sept. 1810) la marche de Masséna, mais celui-ci tourna la position, et Welling- ton vint occuper les retranchements si habilement pré- parés devant lesquels Masséna s'immobilisa six mois. Wel- lington fut créé marquis de Torres Vedras, poursuivit Masséna en retraite, le battit à Fuentes de Oñoro (1811), s'empara de Ciudad Rodrigo, prit ensuite Badajoz, battit Marmont à Alba de Tormès et aux Arapiles, délivra Valla- dolid et entra dans Madrid. Mais il échoua devant Burgos. Le 21 juin 1813, il prenait sa revanche en gagnant la bataille de Vittoria. Le grade de field-marshall fut sa ré- compense. Wellington poursuivit Soult dans Bayonne, lui fit repasser l'Adour, et lui livra bataille à Orthez et à Toulouse. Son retour dans sa patrie fut triomphal. Wellington. Ambassadeur en France, puis délégué au congrès de Vienne (24 janv. 1815), il s'y trouvait lors du retour de Napoléon de l'ile d'Elbe et fut proclamé généralissime de toutes les troupes alliées. Après la journée de Waterloo, où il avait montré sinon des qualités de premier ordre comme général en chef, du moins une admirable ténacité, méritant ainsi son surnom de duc de fer (Iron duke), il marcha sur Paris avec Blücher et y entra le 7 juillet. Il commanda le corps d'occupation des Alliés en France jus- qu'en 1818, où il fut l'objet, à Paris, d'une tentative d'as- sassinat. Plénipotentiaire au congrès d'Aix-la-Chapelle, il fut, à son retour, nommé grand maître de l'artillerie. En 1822, il fut encore plénipotentiaire britannique au congrès de Vienne. En 1831, il devenait président du conseil des ministres, avec Robert Peel comme principal membre de son cabinet, et sous ce même Robert Peel, prési- dent, il fut ministre des affaires étrangères de 1834 à 1835, ministre sans portefeuille en 1841. Elu en 1834 au titre honorifique de chancelier de l'université d'Oxford, il fut investi, en 1842, du commandement en chef de l'ar- mée anglaise. Aucun honneur ne manqua à l'homme qui avait en tous les bonheurs et qui, à un réel mérite, joignit une chance exceptionnelle. On ne saurait pourtant l'éga- ler, même de loin, à Napoléon qu'il avait vaincu. WELLINGTON (Arthus-Richard WELLESLEY, duc DE), fils du feld-maréchal, né en 1807. Il entra dans l'armée, et devint lieutenant général en 1862. Membre de la Chambre des communes depuis 1829, il succéda à la pairie de son père en 1852, fut nommé membre du conseil privé en 1852, lord lieutenant du Middlesex en 1868 et mourut en 1884, laissant deux fils: HENRY, né en 1846, qui siégea à sa place à la Chambre des lords, et ARTHUS CLIAS, né en 1849, qui embrassa la carrière militaire et devint général. WELLS, bourg d'Angleterre (comté de Norfolk), sur une petite baie de la mer du Nord; 6.000 hab. Commerce im- portant de blé, de bois, de houblon et de goudron. WELLS, ville d'Angleterre (comté de Somerset); 5.000 h. Magnifique cathédrale. Sources minérales. WELLS, comté des Etats-Unis (Indiana), sur le Wa- bash; 29.000 hab. Ch.-1. Bluff ton. WELLS (Herbert George), écrivain anglais, né à Lon- dres en 1828. Il fit un temps d'apprentissage chez un mar- chand de drap, enseigna les sciences dans différentes écoles, publia un Tert-Book of biology en deux volumes (1892-1893), devint le collaborateur actif d'un grand nombre de journaux et de revues, et débuta comme romancier en 1895 par Conversations choisies avec un oncle, qu'il fit suivre immédiatement de la Machine à explorer le temps; le Bacille volé; la Visite merveilleuse (1895); l'Ile du Dr Mo- reau; les Roues de la chance (1896); l'Homme invisible (1897): la Guerre des mondes (1898): Quand le dormeur s'éveillera (1899); l'Amour et Mr. Lewisham (1900); Résul- tats anticipés de la réaction du progrès mécanique et scientifique sur la vie et la pensée de l'homme; les Premiers WEISSE WENNERBERG Hommes dans la lune (1901); la Dame de la mer (1902); la Formation des hommes. La plupart de ces romans ont été traduits par H.-D. Davray. Tous sont fondés sur des don- nées scientifiques comme ceux de Jules Verne. - WELLSTON CITY, ville des Etats-Unis (Ohio [comté de Jackson); 6.000 hab. Fonderies de fer et de cuivre. WELLSVILLE, nom de plusieurs villes et bourgs des Etats-Unis: ville de l'Etat de New-York (comté d'Alle- ghany), sur le Genesee, affluent du lac Ontario; 6.000 hab. Minoteries, tanneries.- Ville de l'Etat d'Ohio (comté de Columbiana), sur l'Ohio; 8.000 hab. Forges. WELS, ville d'Autriche-Hongrie (Haute-Autriche), ch.-l. du cercle du Hausruck sur la Traun; 10.118 hab. WELSCHINGER (Henri), né à Muttersholtz (Alsace) en 1846. Archiviste à l'Assemblée nationale et secré- taire des grandes commissions d'enquêtes parlementaires, il devint chef du service des procès-verbaux du Sénat. Comme littérateur, il s'est fait connaître par des poèmes tels que André Chénier et Charlotte Corday; par des ro- mans comme Ranza, Sbarbaro et le Dernier Don Juan; par une comédie en vers, la Fille de l'orfeere, jouée à l'Odéon (Paris) en 1884. Historien, il a publié, entre autres ouvra- ges: le Théâtre de la Révolution, les Almanacha de la Hé- colution, la Censure sous le premier Empire, le Roman de Dumouries, les Aventures de guerre et d'amour du baron de Cormatin, le Duc d'Enghien, le Dicorce de Napoléon, le Maréchal Ney, la Mission secrète de Mirabeau à Berlin, Sainte Odile, patronne de l'Alsace, M. de Bismarck, etc. Il a reçu le grand prix Gobert pour son ouvrage le Roi de Home (1811-1832). Il a collaboré, pour la partie historique, au Nouveau Larousse illustré ». WELTI (Emile), homme d'Etat suisse, né à Zurzach (Argovie) en 1825, mort à Berne en 1899. Avocat à Zur- zach, il prit part, comme volontaire, à la campagne du Sonderbund. Président du tribunal de Zurzach (1856), il entra dans le conseil exécutif d'Argovie, où il eut les portefeuilles de la justice, de l'instruction publique, et dont il fut président. Il était entré au conseil des Etats en 1857, et il présida cette assemblée en 1860 et 1866. Elu conseiller fédéral en 1866, il a été à six reprises pré- sident de la Confédération. WELUN, ville de la Russie d'Europe (Pologne [gouv. de Kalisch]); 7.500 hab. Ch.-1. de district. WELWITSCHIE (ou-el-ou-i-tcht) n. f. Genre de gnétacées comprenant des herbes à tronc ligneux, à fleurs grou- by s Welwitschie (réd. 62 fois): a, fleur; b, fruit; e, graine. pées en épis, qui ressemblent à un énorme champignon portant à son extrémité supérieure deux grandes feuilles. WEM, bourg d'Angleterre (comté de Shrewbury), sur la Roden; 7.000 hab. Tanneries. Commerce de grains. WEMYSS, bourg d'Ecosse (comté de Fife), sur le bord septentrional du Forth; 6.000 hab. Houille. WENCKER (Joseph), peintre français, né à Strasbourg en 1818. Prix de Rome en 1876, il envoya au Salon: Sainte Elisabeth de Hongrie (1879); Saul et la Pytho- nisse (1880); Prédication de saint Jean Chrysostome con- tre l'impératrice Eudorie (1881, exposée en 1882), toile très considérable, qui fut acquise par l'Etat (musée du Puy). De retour à Paris, il exécuta une Nymphe pour le musée Decaen, à l'Institut; une Antémis (musée du Luxembourg); Lecture dans un marché en Italie (1886): un Christ consolateur; Soir d'été et un grand panneau décoratif: Pose de la première pierre de la nouvelle Sor- bonne (à la Sorbonne). Outre ces pages, dont quelques-unes sont magistrales, Wencker a exposé de nombreux portraits. WENDEN ou VENDEN, ville de la Russie d'Europe (gouv. de Livonie), sur l'Aa; 5.000 hab. WENDES, peuple d'origine slave, qui forme un flot d'environ 115.000 individus, dans la Lusace prussienne et la Lusace saxonne.- Un. Une WENDE. -Adjectiv.: Histoire WENDE. - n. m. Langue parlée par les Wendes. ENCYCL. Les Wendes, qui s'appellent eux-mêmes Sorbes ou Sorabes, habitent un pays en grande partie ma- récageux. Grâce à ces conditions d'habitat, grâce à la pro- tection que leur a prétée longtemps la Bohême et à leur ardent patriotisme, les Wendes ont pu résister à la germa- nisation; néanmoins, dans les villes, leur proportion s'a- baisse de plus en plus. WENGERNALP, site de l'Oberland bernois, comm. de Lauterbrunnen, cant. de Berne, près du col de la Petite Scheidegg, un des plus fréquentés par les touristes dans cette partie de la Suisse. On y découvre un magnifique panorama sur le massif de la Jungfrau. Chemin de fer à crémaillère. WENGROW, ville de la Russie d'Europe (Pologne [gouv. de Siedlce]); 8.700 hab. Ch.-1. de district. WENLOCK, bourg d'Angleterre (comté de Shrewsbury; 4.000 hab. Carrières de pierre à chaux, WENNERBERG (Gunnar), poète et homme politique suédois, né à Lidköping en 1817, mort à Stockholm en 1902. Il fit ses études à Upsal, et se rendit de bonne heure cé- lèbre par une série de trios, bientôt suivis du Gluntarne, recueil de trente duos (1847-1850) ou dialogues chantés qui peignent avec verve la vie des étudiants d'Upsal et n'ont pas cessé de rencontrer auprès du public suédois une extraordinaire faveur. Docent en esthétique (1846) à l'ani- 171