Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, VI.djvu/270

Cette page n’a pas encore été corrigée

MOYEN — MOZART

_ Biol Moijcn» de défente, Moyens dont l’orsanismo dispose pour se protéger contre les conditions défavorables, soi ! du milieu cosmi.|UO et biologique cxliirieur, sou du milieu intérieur. ,» ir i., i :„.,

-Dr Raisons de droit apportées pour établir le bienfondé dos conclusions nu’ou a posées : Produire ses moyens. "juridiction intermédiaire : Lnppel de telle jusl,ce ressorlissail autrefois au parlement sn-u moyen.

_ X)T. anc. Suecilder par moyen, Succéder par 1 intermédiaire dune personne interposée decedeo.

_ Jeux. Au trictrac, Coup servant a obtenir un avantage ilétorminé : Moyen pour remplir. . , . , ■ j •

— Relie Néeessilé de mn,,en. Nécessité absolue, indépendamment do tout commindement. (Se dit par opposilion à nécessité de précepte) : le baptême est «éccssnire d’une .NÉCESSITÉ i)i’. moyen.

_ Prov. : Qui ïeut la Un veut les moyens, il La lin jubtllle le» moyenB. V. riN.

Z K’Ncvc°."’Biol. iloyens de défense. L’existence des moyens de défense a été soupçonnée de bonne heure ; la uatura medicalrix des anciens et, plus tard. 1 mst,nct de conservation de l’individu des naturalistes p us récents, no sont autre chose que la mise en œuvre des defen.sis orgaiiinucs, encore inconnues dans leur mécanisme, contre les causes morbilinuos. Mais ce n’est que vers la lin du xix> siècle que la question a été étudiée et précisée.

Dans l’établissement dos défenses n.iturelles, le

lions mécaniques. Eglise des xiv et xn« siècles, avec clocher du xvii- siècle. — Le canton a U comm. et lO.SST hab.

MOTER (moi fou rnoUé — du lat. mcdiare) v. a. Scier en doux parties égales une pierre do taille. Il Scior suivant la moye, suivant le lit.

Moyé, ée part. pass. du v. Moyer. Ii Adjoctiv. Qui contient des moyes ou moies, des parties tendres, en parlant d’une pierre dure, il Pierre moyie. Pierre do taille sciée en deux parties égales. — Pierre dont ou a fait disparaître la nioyo.

MOYËRC (moi [ou mol-i-ér") n. f. Marais couvert do roseaux. 11 Tas d’écbalas, en Champagne.

MOYETTAGE (moi [ou mo]-ii !-/a ;") n. m. Action do mettre en moyettes.

MO’ïETTE fmoi[ou mo]-i-ét’) n. f. Ensemble do plusieurs gerbes de blé’dressées sur le champ et appuyées les unes contre les autres, n On dit aussi moie.

— Encycl. Les moyettes sont faites dans le but de soustraire les céréales à l’action des pluies et do iiermcttre l’achèvement do leur maturation. Mises sur des ligues

fait

Uans 1 eiaoïisseiueiii uu» u,..v..io.-- ...- ..— • --

essentiel et primordial est l’ad.iptation, c ost-à-dire la variation, qui, si elle est favorable, est maintenue par la sélection. Les défenses naturelles réagissent donc puissamment non seulement sur la conservation do 1 individu, mais aussi conséquemment sur la conservation de 1 espèce Mais, tandis que les unes sont individuelles, occasionneiles, transitoires (an moins dans leurs manitestations sensibles) et no conduisent qu à des modihcations do courte durée (vaccination), les autres sont permanentes, spécifiques, héréditaires. On ne peut ici quénumérer simplement les principales : .

!• Les défenses organiques (physiologiques) sont les 

moyens de la lutte que la coordination entraine contre toute cause do trouble ou d’altération du fonctionnement normal ; on peut dire que chaque organe en est pourvu pour son compte. Les défenses organiques, généralement actives, sont dirigées : a) contre les traumatismes et la pénétration des corps étrangers fpeur, douleur, vertige, odeur, sécrétions, mouvements des cils vibratiles, toux, éterouement, vomissement, diarrhée, larmes, cicatrisation, autotomie, régénération] ; 6) contre les variations thermiques (vaso-motricitii, sudation, évaporation pulmonaire, frisson] ; e) contre les auto-intoxications [rôle antitoxique du foie, des glandes vasculaires sanguines, rôle éliminatoire des reins, des poumons, de la peau, de la bile, des foies, des règles, etc.] ; d) contre les microbes et leurs toxines Idiapédèse, phagocytose, rôle protecteur des gan-

f lions lymphatiques, des glandes closes, du sang, des umeurs, accoutumance, vaccination, immunité]. 2» Les défenses spécifiques (morphologiques) sont généralement passives. Elles consistent : a) à revêtir l’aspect du milieu Ihomochromie] ou des êtres mieux défendus [mimétisme] ; b) à protéger l’individu tout entier ou des parties importantes de l’individu par des moyens mécaniques (cuirasses, piquants, enveloppes résistantes ou solides du cerveau, de la moelle, des testicules, peau, etc.], chimiques (odeur, venins, poisons, poche au noir], électriques Torganes électriques], etc. ; c) à s’associer avec des espèces mieux défendues [symbiose, commensalisme]. Moyen de parvenir (i.F.), ouvrage do Béroaldc de Verville. — C’est une suite d’anecdotes et de contes libres ou obscènes, narrés par un certain nombre d’illustres personnages anciens ou modernes, que l’auteur suppose réunis dans un banquet. Le titre est insuffisamment justifié par une facétieuse disseriation, où Biaise de Vigeiière donne comme le meilleur moyen de parvenir, c’est-à-dire apparemment de faire fortune, l’argent lui-même. Cet ouvrajje, publié d’abord anonyme, sans lieu ni date, du xvii* siècle, a été souvent réimprimé, notamment par La Monnoyo (mt) et P.-L. Jacob (,1811).

Moyen, comm. do Meurtho-et-Moscllo, arrond. et à n kilom. de Lunéville, sur la Mortagnc ; 904 hab. Briqueterie, four i chaux. Ruines d’un château fort du xv" siècle.

MO’YENÂGCUX ou MOYENAGEUX (moi [ou mo]-ic-najen), EUSE alj. Fam, Qui appartient au moyen âge : ’SioYBN.viHrx (I l’fé ry’-é pnr drs crivains rjui trouvaient trop pédantesqui’s * médiéval ■ et ■ médiéviste n. Il Qui est enthousiaste du moyen igc : Noua étions simplement moyenâgeux. {K. do Goncoun.)

MO’YEnAGISTE ou MOYENAGISTE (moi [ou moj-iéna-jisst’i adj. Qui appariicut au moyen âge : Le drame moyknâoistk.

— Siibstantiv. Partisan du moyen âge : La secte littéraire des MOYENÀGISTBS. (Balz.)

MOYEN-FILE n. m. Sorte do tabac qui provenait anciennement <lu Bordelais, ii En (juyenne, .Seconde espèce do tabac qui se tlle avec les feuilles sans côtes.

MoYENMOÛTIER, Comm. des ’Vosges, arrond. et à U kilom. do .Saini-l)ii, sur le Kabodeau ; i.MO hab. Ch. do f. Est. Pierre à .’liL-iii-^er : lilatures, tissage d’étolfes do coton ; scierio méramquo. Kcsi’-s d’une abbaye fondée en 671 par Sniiit-llvdulplie. évéquc do rSèves.’Chapello do Malfo-^x*. lieu dé pèlerinage.

MOYENNANT(moi ’ou mo]iinttn — rad. mnyenner) prép. Au moyen do : A^ serf a le droit de propriété MOYENNANT redevance. (E. Polletan.)

— Loc. conj. Moyennant que, A condition quo. MOYENNEMENT’ mor [ou moVié-nc) adv. Ni peu ni beaucoup ; t’Urf MiiYF.NNUMKNT rir)ie. n En moyenne : Objet»

vendus de cinq à dix francs, MOVKNNKMII.NT.

MOYENNER ’moi (ou mo]-iéné — rad. moyen) v. a. Procurer (|uelqiie r’hose par son entremise : Henri l V moyrnna bien te mnrinqe dn capitaine arec M"« d’h'spard. (Balz.)

— ’Tenir le milieu, faire le milieu. (Vieux.)

— Pop. // n’y a pas moyen de innyenner. Il est impossible do roussir, de faire là chose proposée.

MOYENNEOn moi ’ou mo]-iéiicur’) n m. Médiateur. (Vx.)

MOYENNEVILLE, çh.-l. de cant. de la Somme, arrond.

oli 8 kilom. dAbbovillo ; 870 hab. Atolicr do coDslruc-

Mojetles ; 1. Normande ; 2. Picarde ; 3. Flamande.

parallèles pour faciliter leur enlèvement, elles se composent le plus généralement do cinq à six gerbes dressées les unes contre les autres, de façon à former un cône (epis en hautl à large base et coiffées d’une forte gerbe (cpis en bas) formant toiture.

MOYETTER (moi [ou mo]-i-è-té) V. a. Disposer en moyettes : MoYicrrEli de l’avoine.

MOYEU (moi [ou mo]-i-eu — du lat. modiolns. même sens^ n. m. Milieu de la roue, formé d’uno grosse pièce dans laquelle s’emboitent les rais et qui est traversée par l’essieu.

— Mécan. Pièce centrale sur laquelle sont assemblées les pièces qui doivent tourner autour d’un axe : Le MOYEU d’un volant.

— Techn. Nom que les treiUagistes donnent à un morceau de bois servant à contenir les tiges des fleurs.

— Encycl. Mécan. Les moyeux

sont en bois, en fer ou en fonte, sui- Moyeu en bois. vant la nature des pièces auxquelles

ils appartiennent. lis consistent en un anneau cylindrique ou prismatique, suivant la section de l’arbre à la portée d’assemblage. Les moyeux des poulies, des volants, etc.. doivent résister à l’effort de la force centrifuge qui tend à les rompre dans les deux sections correspondantes.

MOYEU {moi [ou mo]-i-eu — peut-être du lat. mediolus, dérivé do médius, qui est au milieu) n. m. Jaune d’œuf.

— Econ. dom. Sorte de prune confite : Un pot de moyeux. Il Dans l’ouest de la France, Noyau de fruits.

MOYEUSE (moi [ou moj-i-ei/ :’) adj. f. Se dit d’une pierre do taille qui contient trop de moyo et doit être débitée en moellons : Vne pierre moyeuse.

— n. f. : L’ne moykusiî.

MoYEUVRE-LA-GRANDE, bourg d’Allemagne (Alsace-Lorraine [Lorraine] ; ; 3.158 hab. Forges, filature, carrières, mine de 1er. Ancien ch.-l. do canton du département français de la Moselle.

MOYO (moi [ou mo]- !o) n. m. ifesure de capacité usitée dans la Galice, et valant ei"’-, 991.

MOYOBAMBA, ville de la république du Pérou (départ, de Libcrtad), sur un plateau dominant la rivière de Moyohamba ; 13.000 hab. Ch.-l. de la province de Moyobamla. Métallurgie. Commerce do riz, maïs, café, paillo tressée pour chapeaux, quinquina, etc.

MOYON, comm. de la Mancbo, arrond. et à 12 kilom. do .•^aiiit-Lo ; 1.205 hab.

MOYRAZÈS, comm. del’Aveyron, arrond. et à 19 kilom. de Rodez, au-dessus de l’Aveyron ; 2.242 hab.

MOYRUS, comm. d’Irlande (comté de Galway [prov. do ConnaughtJ), près do l’Atlantique ; 9.000 hab. MOYTON n. m. Métrol. Ancienne mesure pour les grains. MÔ-YUI n. m. Instrument do musique on bois creusé, sur lequel on frappe avec un maillet recouvert de peau |iour accompagner la psalmodie dos prières, dans les temples (diinois.

MOZAC, comm. du Puy-de-Dôme, arrond. et à 2 kilom. de Riom, sur l’Ambène, dans la Limagne ; 1.087 hab. l itozadaires. ) Exploitation des laves do Volvic. Fabriques d’émail, de couvertures de laine. Eglise de la fin du XI’ et du XV» siècle. Dans un jardin, jolie porto du XVI’ siècle.

Mozambique (oonvRRNKMRNT de), nom donné à l’ensemble des possessions portugaises de la côte orientale d’Afrique. Ces possessions s’étendent sur le littoral do l’océan Indien (canal de Mozambique), depuis le cap Delgado. à l’embouchure du Rovouma au N., jusqu’au delà de la baie de Lourenço-Marquès au S. Dans l’intérieur, la limite est assez liiflicilo à établir, sauf dans la vallée du Zambèze, où la domination portugaise se fait sentir jusqu’aux rapides de Zunibo, pour s’arrêter ensuite entre le Zambèze et la haie de DoLigoa, à la hauteur ilu 30- degré de longitude est de Paris. Entre le cap Delgado et lemliouchuro du Zambèze. la côte seule est occupée effectivement. Au total, une superncio do 1.300.000 kilom. carr. environ, peuplée ue 3i>O.O0O hab., de races très diverses :

254

Makouas, Cafres, Zoulous, Hindous, Arabes, métis, etc. l.a colonie est partagée en ’.> districts ; elle a pour capitale .Mozambique et pour villes principales Ibo, Quilimanc, Sofala et Lourenço-Marquès.

Climat tropical, avec une • saison des pluies » qui dure sept mois, d’avril à octobre, et auquel peu d’Européens résistent ; productions naturelles très variées : riz, sucre, millet, coton, tabac, ricin, jalap , sénA, café, caoutchouc, indigo, etc. Toute la région paraît assez riche en gisements aurifères. Le commerce de la colonie comprend surtout l’indigo, le caoutchouc, la gomme copalet l’ivoire.

Occupée par les Portugais dès lo commencement du XVI’ siècle, la colonie s’étendit un moment jusqu’à Zanzibar et à Mombaz, avant que les conquêtes do l’iman de Mascate, au milieu du xvii’ siècle, n’eussent fait reculer la domination portugaise jusqu’au S. du cap Delgado.

Mozambique, ville maritime de l’Afrique orientale, capitale des possessions portugaises de la côte orientale d’Afrique, sur un Ilot rocheux, un peu au S. du cap Mélamo ; 9.000 hab. Entre l’ile et la côte, belle et vaste rade, sûre et profonde, fréquentée par les bâtiments de plusieurs (compagnies de navigation. Commerce d’ivoire, de gomme. La ville est protégée par trois forteresses, dont celle de Saint-Sébastien est la plus considérable.

C’est en 1498 quo Vasco de Gama jeta l’ancre devant Mozambique, prospère déjà et dépendant du sultan de Quiloa ; mais il occupa la ville seulement à son second voyage (1502), établissant la- suzeraineté du Portugal sur ses sultans. Albuquerqiie, puis Tristan da Cunba visitèrent Mozambique, (jui fut brûlée, en 1C07, par l’amiral hollandais Van Caerden , et de nouveau attaquée l’année suivante par l’amiral Verhoeven , qui ne put davantage s’emparer de la forteresse. Il en fut do même, à la fin du siècle des Arabes de l’Oman, et les Portugais sont restés, depuis ce temps, les maîtres incontestés de Mozambique.

Mozambique (canal dk), détroit do l’océan Indien, entre la côte sud-est de l’Afrique et l’ile de Madagascar, large de 900 kilom. Des écueils rendent l’entrée septentrionale assez difficile. Deux moussons régnent dans ce canal : celle du S.-O., d’avril en novembre, et celle du N.-E., marquée par de violents ouragans, le reste de l’année.

MOZAN n. m. Petit fruit de la visnée mocanère de Ténériffe, d’où l’on extrait une sorte de miel.

MOZARABE (de l’arabe mosténrab, arabisé, par opposition il iirab. c|ui désigne l’arabe pur) n. Chrétien d’Espagne, soumis à la domination des Maures.

— n. m. Langue arabe vulgaire, mélangée d’éléments espagnols, dont queluues dialectes persistèrent dans toute la Péninsule jusqu’à la fin du xvii’ siècle.

MOZARABIQUE (bik") adj. Qui appartient aux mozarabes : Culte MOZARABIQUE.

— Encycl. Culle mozarabique. A part quelques apostasies, les Espagnols, même ceux qui reconnurent les souverains arabes, conservèrent intacte la religion chrétienne et leur liturgie, qu’ils continuèrent à observer même après l’expulsion des Maures. Au xi’ siècle, ils durent adopter, sur les instances répétées d’Alexandre 11, Grégoire 11 et Urbain II, et malgré la résistance du cardinal Ximonès, la liturgie romaine.

Mozart (Johann-Georges- i(’o ;!o ?(/). violoniste et compositeur allemand, né à Augsbourg en 1719, mort à Salzbour " en 1787. On lui doit une méthode de violon {Essai d’une école fondamentale de violon), qui, pondant on demisiècle, a joui d’un succès mérité.

Mozart (M.aric-Anne). fille du précédent et sœur ainée de lillustro compositeur (v. l’art, suiv.), née et morte à Salzbourg (1751-1829). Précoce musicienne, elle obtint de vifs succès dans les voyages qu’elle fit avec lui. Mariée en 1781 à un conseiller auliqne de Salzbourg. lo baron Berchtnld de Sonnenberg, et devenue veuve, elle continua d’habiter Salzbourc comme professeur de piano. Elle était aveugle depuis neuf ans, lorsqu’elle mourut.

Mozart (Wolfgang-.^médée), musicien illustre, fils. de Juliann-Georges-Léo’pold, né à Salzbourg en 1756, mort à Vi nne en 1791. U présenta, tout enfant, un exemple merveilleux, et sans doute unique, de précocité musicale A six ans, il se montrait déjà si extraordinaire .sur le clavecin que son père résolut d’entreprendre un voyage avec lui et sa sœur, qui elle-même était fort habile. 11 les conduisit à Munich et à Vienne, et le succès qu’il» obtinrent auprès des souverains l’engagea à recommencer l’année suivante et à pousser jusqu’à Paris, en passant

par le Wurtemberg, Mayence,

Francfort, Coblcniz, Aix-la-

Cbapelle et Bruxelles. Lesdeux

enfajits firent fureur à la cour do France, et le petit Mozart

publia à Paris ses premières

compositions. Us visitèrent ensuite l’Angleterre, la Hollande, la Suisse, partout choyés et

fêtés. En 1767, dans uii non-

veau voyage à Vienne. Mozart

écrivit deux petits opéras : la /■’inta simplice et llaslien et llaslienne, ainsi qu’une messo

solennelle dont il dirigea l’exécution. En 1769. Mozart, avec

son père, alla visiter l’Italie. Les plus grands ariisles et les princes les plus éclairés lui »,u,.a...

firent fête, et il ne quitta ce

pays qu’après avoir fait représenter à Milan son opéra [o Mitridate, re di Ponte, dont le succès lut éclaiant. U» retour à Salzbourg. il y devint maître de concert do 1 archevêque, dont il n’eut jamais à se louer. Néanmoins, il écrivit à Salzbourg un oratorio, IMiilia liberata, un opor». 1/ Sonno di Scipwne, des svmphonies, des messes, des concertos, do la musique do chambre, etc., ce qui no l’empêcha pas, au cours do deux nouvelles excursions en Italie, d’écrire encore une sérénade théâtrale, Ascanw i» Alba, et pour Milan un opéra, l.ucio .’<illn.

Un diirérend avec l’archevêque de Salzbourg lui Mhteùtôt donner sa démission, et Mozart entreprit oncor© un grand voyage, cette fois avec sa mère. 11 so rendit o»