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POLYTYPAGE {paf) a. m. Typogr. Art, action ou ma-Dicro de polytyper. il Orocmont polytypé. V. clich&ge.

POLYTYPE (du préf. pohj, et du gr, tupos, caractère a’ij. Typoj,’ !'. Il /^preuve poli/tijpe, Epreuve que l’on obtient par les procédés de polytypagc.

POLYTYPER (rad. pohjtijpe) v. a. Multiplier à l’aide «rompreintos dans lesquelles on coulo do la matière destinée à- remplacer, on les muliipliant, les caractères mobiles ou les gravures, ii On dit auj. clicher.

POLYTYPEUR n. m. Celui dont la profession est de po-

lytyptT. Il Un dit auj. CLicHKt ;R.

POLYTYPIE (pi — rad. poli/type) n. f. Procédé au moyen «lui|iiel on reproduit on métal les planches do gravure sur Iftiis 01 les pages do caractères mobiles.

— KnXViL. V. CLICUAGE.

POLYTYPIEN, ENNE [pi-en, en’ — rad. polytype) adj. Qui rr ;iuii plusieurs types dilféronts. (Peu us.)

POLYURIE (rî — du préf. pott/, ot du gr. ouron, urine) n. f. Aléd. Emission journalière oxagréo des urines qui dépasse 1.800 grammes cliez riioinme, 1.500 chez la lémme.

— Encyil. La fiolfjurie n’est pas une maladio déterminée :

elle n’est qu’un sym|itôino do divers éiais morbides 

et plus rarement résulio d’uni" exugéraiioo des conditions phvsioiogiquos. Coinmo dépendance paiholo-îique , ta potyune est persistante ; on la rencontre dans le diabète sucré ou insipide {azoturique ou phosphaiiiriquo), divers états nerveux dori-ino encéphalique, au début des néphi’itcs iu erstitiellos, etc. Coniino oxagoraiioii phy^iologjt |tie la pol_)^urio est passayère ollo résulte do (action du froid, de labsorpciou des litjuides, etc. Le traitenicnt consiste en l’alimentation carnée, les frictions, les douches, l’exercice ot commo mcdicamonts l’opium, la valériane, etc.

POLYURIQUE (WA’) adj. Méd. Qui tient à la polyurie.

POLYVOLTIN, INE (du préf. poli/, Ot de l’ital. voUa, foisj udj. Koon. rur. So dit des vers à soie qui donnent plus dune géoération par année.

POLYXÈNE {ksèn — du préf. poly, et du gr. xénos^ hôtei u’ij. Minér. Il Platine po’.tfxènc, Platine natif ainsi appL-lé par Ilaussmann parce ou’il donne, dans sa masse, l’hospitaliié à un certain nombre d’autres minéraux, tels (|U0 le rhodium, le ruthénium, riridium, l’osmium, le palladium, le ter, le cuivre et le manganèse.

POLYYÊNE n. m. Zool. Genre do myriapodes chilognathes, type de la famille des p-Aijx^nidés, comprenant quelques espèces répandues sur lo globe. (L’espèce type du genre est le polyxenus Inywus, de France.)

PoLYXÊNE ou POLYXÉNOS. Myth. gr. Héros éléeii.

(ils d Anastiane, et petit-lils d’Aiigias. Il conduisit les Epéens an >iL*ge de Troio. — Roi des Eléens. auquel les tils do Ptérélas remirent les troupeaux d’Electryon.

PoLYXÉNE. Mytli. gr. Fillo do Priam et d’Hccube.

Elle inspira de l’amour à Achille, (|ui l’avait aperçue pendant une trêve. Lorsque Priam vint doinaudcr à Acnillo do lui rendre lo corps d’Hector, il emmena avec lui Polyxéiie. Suivant une tradition. Achille demanda, peu do temps après, la main de la jeune princesse. Il se rendait daus un temple d’Apollon, qui était situe entre la ville et le camp des Grecs, pour y retrouver F*olyxèno, quand il fut frappe mortellement par Paris. Polyxèuo, désespérée, so tua sur la tombe de son fiancé. D’après une autre version, Pûlyxône survécut jusqu’à la prise de Troie, ot fut immolée par Pyrrhus sur le tomlieau d’Achillo. Ce sacrifice a été souvent représenté par les artistes de l’autiquité.

POLYXÉNXDÉS n. m. pi. Zool. Famille de myriapodes chilognatlies. renfermant les genres /io/yxé ;je,patiro/>e,etc.

— L’n POLYXK.NIDfc :.

POLYXO. Myth. gr. Femme du héros rhodien Tlépôlème, (|ui fut tué à la guerre de Troio. D’après une tradition. Hélène s’étant réfugiée à Khodes, Polyxo la fit pendre à un arbre, pour venger sou époux.

Polyxo n. f. Planète télescopique, n" 308, découverte par liuredy, en 1891.

POLYZÈLE, poète comi(iue grec, né à Athènes (fin du v* s. av. J-Cl. Contemporain d’.ristoplianc, il appartenait à la comédie ancienne ; mais il paraît avoir composé aussi quelques pièces dans le goût de la comédie moyenne. On cite : la Naissance de Dionysos, la JVaissancc d’Aphrodite, la Naissance des Muscs, Ùémotyndare : etc. Nous en possédons quelques fragments dans les Comicorum atticorum fragmentât <iô Ivock.

POLYZOAIRES {so-èr’) n. m. pi. Zool. Classe d’invortébrés, ordinairement appelés betozoaires. — Un polt-

/0.IRE.

POLYZOÏCITÉ (si) n. f. Caractère des animaux polyzoiqties.

POLYZOÏQUE {zo-ik’ —du préf. poly, et du gr. zâon, aniinaU a<lj. Qui comprend de nombreux animaux d’une même espèce, réunis en une colonie, n Polypier polyzoique. Celui qui est formé de polypes nombreux ot de catégories différentes, bien que d’une môme espèce.

POLYZOÏSME {issm’ — rad. poh/zoîque) n. m. Théorie suivant laquelle les animaux supérieurs et spécialement les vertébrés seraient constitués par l’association synergéti ([ue d’individualités inférieures, grâce à la coalescence. (Entrevue par Butfon et Gœthe, développée par Moquin-Tandon. Dngès et Durand de Gros, cette théorie brillamment défendue par E. Perrier, est vivement attaquée pardivers zoologistes et spécialement par . Delago.)

POLYZONE n. m. Genre d’insectes coléoptères longicorncs. de la famille des cérambycidés, comprenant do jolis capricornes des régions chaudes de l’ancien monde.

POLYZONE, ÉE {du préf. pohj, et de zone) adj. Qui est marqué de plusieurs zones colorées.

POLYZONIDÉS n. m. pi. Zool. Famille do myriapodes chilognate’^, renfermant les genres pôlyzone, siphonole, siphotwpore. — Un POLYZOMDÊ.

POLYZONIE (nî) n. f. Genre d’algues de la classe des

floridéos, famille des rhodomélacoos. formé de longs filameuts rampants, sur les([uels naissent do courtes ramifica-

tions ressemblant plus ou moins  des feuilles. (Elles vivent sur les cètcs de l’Afrique australe ou de l’Australie. i

POLYZONITE n. f. Lithol. Schiste avec zones do couleurs dilfércntes.

POLZIN, ville d’Allemagne (Prusse [présid. de Kœslin]), dans la .Suisse pomérauicnoo, sur lo wuggerbach, sousafilucni do la Persantc ; 4.900 hab. Sources minérales. Tannerie, distillerie, brasserie.

POHABAHBA, hourg do Bolivie (départ, do Chuquisacai ; i.jOii hab. ; mines d’argent, de cuivre et do plomb.

POMACÉES n. f. pi. Bot. Syn. do imkéks.

POMACENTRE («an/r*) n. m. Genre de poissons acanthopièn^s. type de la famille des pomacen- /ri(/’^j»,comprouani une

3uarautaino d’espèces es mers chaudes.

Pom i.-.-.itr.-P 0MACENTRZDÉ3

{snn) n. m pi. Famille de poissons acanthoptères, renfermant les genrns /*o/ ;;acea6-e et voisins. — L’n I’OMacb.^tbidi :.

PoMAIROLS (Charlos fiii), poète ot criti(|ue, né à Villefranche- <lc*Kouerguo( Avevronlen 1843. Poète, lia publié : la Vie mei/i’f'tre (iK7y) : Héveê et pensées in^l), couronné par L’Académie française ; ta Nature et tAme (1887) ; He- (jards intimes (ISOrO, couronné par l’Académie française. Critiijue, il a écrit une œuvre également couronnée par l’Académie : Lamartine, étude de morale et d’esth’-tnpte (1889). L’inspiration de Chartes de Pomairots est avant tout spiriiuatisio : il no peint pas seulement la ■ nature -, mais ’■ l’ùme ». Sa poésie no manque pas de simplicité, de gravité ot de profondeur.

POBCAXSON {mè-zon) d. f. Epoquo à laquelle le chou comuionco à pommer.

POMAKS, Bulgares de religion musulmane. Ils so rencontrent particulièrement dans le Kliodopc et la Macédoine occidentale. En Bulgarie* on peut évaluer leur nombre à environ 30.000.

POMAQUER (Artf) v. a. Arg. Prendre, il Perdre au icu.

POMAR (.Maria Mariatrcui, duchesse de, puis lady Caithnkss), femme de lettres et ihéosophe, née à I^ndres, d’un père espagnol, en 1830. murto à Paris en 1895. Doux fois veuve ot très riche, après avoir beaucoup voyagé elle se fixa à. Paris, s’adonna aux sciences occultes et devint présidente do la Société théosophiqiio à Paris. Elle avait un culte pour Mario Stuart, dont elle prétendait recevoir les visites et les conseils. Elle avait fondé deux revues ; l’Aurore et le Messager de la paix. On lui doit plusieurs ouvrages, publiés les uns en français, les autres en anglais, entre autres : ta Quadruple Constitution f 1883) ; Une visite nocturne à Holyrood (1884) ; Théosophie bouddhiste (1886) ; Théosophie chrétienne (1889J ; le Spiritualisme dans la Sible{l80’ : etc.

POMARANCEou HiPOMERANClO.comm. d’Italie (Toscane I pruv. (le Pise^^ ; 7.350 hab. Vieilles murailles. Aux environs, eaux minérales de San Micholo.

POMARANCIO ou POMERANCIO iNicroIo CiRciGNAM, dit le), peintre italien do l’écolo florentine, né à Pomarancio, près do Voltorra, vers 1520, mort à Homo vers 1593. Elève do Titien, mais doué d’une facilité périlleuse, il donna lo signal do la décadence par ses pastiches. Ses travaux au Vatican, exécutés sous la direction de Titien, lui valurent dos commandes importantes : la coupole de Sainto-Pudentienno. où l’on voit CEterml dans une gloire d’anges, lo Saint Jean Baptiste de l’église do la Consolazione, et les Trent^’-deux martyrs de Sau-Stefano-Rotondo. Ces fresques, admirablement peintes, sont lo pastiche réa liste do l’école espai :nolo du xv« siècle. Elles produisent une impression pénible, en raison do la férocité sauvage des supplices. Citons encore, dans l’église de San-Giusio. à Volterro, une Ascension, cl une Descente de croix, une Annoncintion et une Pietà, dans 1 église de Saint-François. — Son fils. Antonio Circignani, mort vers 1630, fui aussi un peintre religieux de quelque valeur.

POMARANGIO ou POMERANCE ( Christophe RoN-CALLi. dit le), peintre italien, no ù Florence on l5e ?,mort à Rome en 1626. Ou cite do lui une Mort d’Ananias et de Saphira, peinture sur ardoise, aujourd’hui au musée du Vatican ; le Baptême de Constantin, ta /tésurrection du Christ, à San-Giacomo ; un superbe Saint André, à .Saiul- Grégoire ; etc. ho Jugement de Salomon, admirable fresque qui* existe encore dans lo palais Galli d’Osimo, résume ses meilleures qualités.

PoMARÉ V, roi de Tahiti, né vers I76î» mort en 1303. Il accueillit avec bienveillance, en 1773, Cook, puis, en 1774, le capitaine espagnol do Bonecliea Après son marlai^c avec Hidia, sœur du roi d’Eiméo, il étoutfa son premier fils. afin do conserver la dignité de rot que, d’après tes lois du pays, il devait perdre quand il lui naîtrait un fils ; puis, n’ayant pu se résoudre ù tuer son second enfant, il dut abdiquer en sa faveur (I7S0), mais gouverna commo régent peildant sa minorité jusqu’en 1797. II entretint de cordiales relations avec les Européens.

PoMARÉ n. roi de Tahiti, fils du précédent, né vers 1780, mort en 1821. Il embrassa en 1807 le christianisme et voulut obliger par la violence ses sujets à faire comme lui. Mais ceux-ci le chassèrent en 1808, et il ne put reprendre le pouvoir que l’année suivante et convertir les indigènes qu’au prix de sanglantes luttes.

PoMARÉ III (Teriitariai, roi de Tahiti, fils du précédent, né en 1819, mort en 1827. Placé sous la tutelle de sa tante Pomaré-Ouahine, et couronné par les missionnaires anglicans en lSv>4, il fut élevé à 1 anglaise, mais péril dans une épidémie qui décima l’île.

POHARÉ IV (.imata reine de Tahiti, sœur du précédent, née en li2*, morte en 1877. Placée sous la tutelle de sa tante Pomaré-Ouahine jusqu’en 1832. elle so montra, après sa majorité, peu favorable aux missionnaires anglais, qu’elle menaça d’expulser, puis aux missionnaires catholiques, qui, arrivés à Tahiti en 1835, en furent expulsés rannoo suivante, mais furent ramenés en 1838 par une expédition française. Elle s’opposa de toutes ses forces à rétablissement du protectorat français vl$lî-lSi6), qu’or-

POLYTYPAGE — POMERA.NE

ganisa l’amiral Dupetit-Thouars, après avoir expulsé le missionnaire anglican Pritchard (1843) ; elle finit cependant par accepter lo protectorat en 1847, tout co conservant sa souveraineté.

POMARE V, roi de Tahiti, de son vrai nom Arli-Aue, mort eu 1891. Fils aîné do la reine Pomaré IV, il lui succéda à sa mort, en 1877. sous le nom de Pomaré V. La France, qui avait déjà Tahiti sous son protectorat, reconnut lo nouveau roi, mais, quelques mois plus tard, substitua dans ses Etats son gouvernement direct au régime du protectorat. J’omaré V abdiqua, lo 29 juin 1880.

PoHAREZ, comm. des Landes, arrond. et à 28 kilom.

de .Saint-^iever ; 1.8’J8 hab.

POMARIA ou POMARIE (r() XX. f. Sous genre de légumineuses papi ’ iliQ des ccesalpuiiécs comprenant desarbn (I no conoaic que quelques espèces de r.An.- ^ aie.

PoHARico, bourg d’Italie (Basilicate [prov. do Potcnza , 1 : 5.0ôj hab.

POMATIAS (ti-ass) o. m. Genre do mollusques gastéropodes, répandus dans le bassin de la Mèdiierraoée.

POMATOBAC n. m. Genre do poissons acanthoptères, do

la laiiiiljtj dfh pi-rcidés. dont la t’culo espe-*-, fpaudue des Canaries à la Méditerranée, est ud puissun des grands fonds qui atteint 00 centimètres.

POHATORRHIN (to-rtn) n. m. Genre d’oiseaux passereaux dcutirustres. do la famille des pycDonotidés, répandus de l’Asie orientale à l’Australie.

POBSAX n. m. Uot. Syo. do opBBCtLAlRE.

POMAZ, villago d’Austro-Hongne riloogrielcomitalde Postjj, sur lo Pili», affluent du Danube ; 3.400 hab.

POHBA, ville du Brésil (Etai do Minas-Geraes), sur te rio auquel elle a donné sou nom ; IZ.Suo hab.

POHBAL, ville de Portugal (Estrémadure), sur un af> âucnt gauche du Mondego ; 4.300 hab.

POHBAL dom .Sébastian Joseph DK<^ V ^[FLLO,

comte i>Okyrs, marquis dk, homme . . ais.né

en 169», mort ix PumOal en I7R2. 11 lit • - droit

à Coimbre. ipousa la nièce du comte d'j> Arcus et fui succcssivi’raenl ministre de Portugal & Londres et à V^ieone. A la mort de Jean V

^i^v

Pombal.

(1750), la reine mère, Mario-Antoinette d’Autriche, engagea son fils Joseph I" à prendre dom .Sébastien do Carvalho pour premier ministre, et, pendant vingt-six ans ( 1751 - 1777), Carvalho, gouverna la monarchie avec l’autorité absolue d’un vizir oriental. Instruit, extraordinairi’nient énergique et tenace, il brisa tout ce qui lui faisait obstacle : la police, te tribunal do l.i censure, l’Inquisition lui li vrèrent tous ses ennemie Plus de 9.000 personnes furent emprisonnées par son ordre. Après l’attentat du 4 septembre 1758. qui faillit coûter la vie au roi, les Tavora, le duc d’Avcyro, lo comte d’Alonguia furent exécutés ; les frères du roi furent cnferms dans un couvent. Les jésuites furent chassés (1759). Lo pape ayant protesté, Pombal renvoya le nonce el no renoua des relations avec lo saint-siège qu’en 1770. Il eut une flotte, uno armée disciplinée à la prussienne ; il eut mémo des finances en demandant à l’kglise les ressources nécessaires pour combler lo déficit du budget. Il fit défricher l’Alentejo. ouvrit lo canal d’(E> ras. créa des fabnijucs de draps el de soieries, des verreries et des raffineries, fonda des compagnies de commerce, rebùtil Lisbunuc après le tremblement de terre de 1755. Mais, à la mort de Joseph !•’, il succomba sous l’elfort des haines qu’il avait excitées pendant sa longue faveur. Condamné Â mort, exilé par clémence, il mourut cinq ans plus lard.

POHBAUE n. f. Bot. Syn. do uybanthr. POHBÉ ipon) n. m. Bière de sorgho, eo tisago dans l’Afrique méridionale.

POHBCIROS, nom donné par les Portugais à des métis do r.rrique australe qui venaient trafiquer avec les marchands de la côte les marchandises de l’intérieur.

PoBfËGDE, petite Ile de la Méditerranée, dans la baie de Marseille, défendue par des forts et des baiierios, portant un sémaphore. Elle est reliée  l’îlo Katonueau par une digue élevée et forme avec elle le port du Fhoul.

PoHEL vNicoîas-Auguste), géologue el homme politique français, né à Isso re en 1821. mort à Drâ-cl-Mizan en 1898. Déporté en Algérie après le 2 décembre 1851, pour ses opinions politiques, il étudia >a botanique, la géologie et la paléontologie du nord do l’Afrique, et devint prési’Iont du conseil^’énéral d’Oran, puis, de 1876 â 1880, sénateur. Il so consacra, depuis 1881, à la direction du service géologique do l’.Algérie et de l’Ecole supérieure dos sciences d’Alger. Citons parmi ses ouvrac^-^^ ■ «-^ i-i Carte yéoloij que de l’Algérie (avec Ponyaonrr digènea de l’Algérie (1971 > : h ’^rtbam [ is :s. : /’ ou Description des n’ (1872) ; l’Algérie et ^ ^ giçwes (issi) ; les Ver

POMERANCE. Biogr. V. Po.mara.ncio.

POMÉRANE n. m. MemV’fo runf scc^ty rel-gTense mçs^.

— Encvcl. l.’^ des nombreus’ ~ tiques (en rus>_’ officielle en I6b, a l oc^a-N le patriarche Nikon. Ils 5

sur les côtes de la mer Bla : >■

Russie. Consi iérant TEgliso orthodoxe commo ^.cveiiue la servante de Satan, ils résolurent de fuir tout contact avec elle et formèrent des associations qui s’engageaient à se passer, pour l’administration des sacrements, y compns

r’O/o-

etc.