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ret. duc deBassano.

MARET — MARGARITA

mois contre Madame Royale, et retourna en France, où il s’occupa de journalisme. A sou retour d’Egypte, Bonaparte ie nomma secrétaire général, puis secrétaire des consuls, et, après la disgrâce de Bourrienue, secrétaire

d’Etat et chef de cabinet.

Napoléon l’emmena avec lui

dansses campagnes. Comte de

l’Empire en 1809, duc de Bas-

sano dans la même année, mi-

nistre des affaires étrangères en 1811, Maret fut chargé de

négocier, avant la campagne

de Russie, une alliance avec

la Prusse et l’Autriche.

Rendu impopulaire à la suite

du décret qui ordonnait une

levée de 350.000 hommes, en

1813, il fut remplacé par lo

duc do Vicence. Profondé-

ment dévoué à l’Empereur,

il resta auprès de lui pendant les campa !gnes de 1813 et de

1814, et reprit, aux Cent-

Jours, les fonctions de mi-

nistre d’Etat. Forcé de quitter la France après Waterloo, il y rentra en 1820, et fut nommé pair de France par Louis-Philippe (1831). Il faisait partie de l’Académie française, depuis 1808. — Son fils Napolkon-Joseph-Hugues, duc de Bassano, né en 1803, fut secrétaire d’ambassade en Belgique, sous Louis-Philippe. Louis Bonaparte le nomma ministre auprès du grand-<luc de Bade (1849) et, l’année suivatite, auprès du roi des Belges ( 1851). Sénateur de IKmpirn (i852j, il remplit jusqu’en 1870 la charge de grand chambellan du palais.

Maret (Henri-Louis-Charles), évoque in partibus de Sura né ù Meyrueis, en 1805, mort à Paris en 1884. Après avoir été, à Paris, vicaire à Saint-Philippe du Roule, il devint doyen de la faculté de théologie de la Sorbonue. Nommé évéque de Vannes (1860), il ne put obtenir ses bulles, et, atteint de surdité, donna sa démission. Le pape Pie IX lo nomma alors évêque inpartiius de Sura, et il reçut, en 1884, le titre de priraicîer du chapitre do Saint-Donis. Ses principaux ouvrages sont : Essai sur le panthéisme (1839) ; Théodicéc chrétienne (1844) ; la Vérité catholique et la Paix religieuse (1884).

Maret (Henry), littérateur et homme politique français, né à Sancerre on 1838. Employé à la préfecture de la Seine, il se lança bientôt dans le journalisme, collabora au « Charivari « et à des journaux de l’opposition, et fut condamné, pour délit do presse, à cinq ans de prison, réduits bientôt après à quatre mois. Il cfonna ensuite, sous son nom ou sous dos pseudonymes, des articles à divers journaux et fut rédacteur en chef du n Mot d’ordre », de la « Vérité", et, de 1881 à 1897, du « Radical ■>. Conseiller municipal à Paris (1879-1881), député de la Seine (1881) ; réélu en 1885 dans la Seine et le Cher, il opta pour le Cher. Il fut réélu député de Sancerre en 1889, 1893 et 1898. Radical, il a combattu la politique de Gambetta. Il se prononça, en 1 886, au nom de la liberté, contre l’expulsion des princes, fit une vive campagne contre le boulangisme, et, impliqué dans les poursuites relatives au Panama, il fut acq^uitté (1897). On lui doit dos œuvres littéraires : Semaines dramatiques et littéraires du « Radical » : le Tour du monde parisien (1802) ; les Compagnons de la marjolaine (1864) ; Justice {%Q2,)qXc,

MARETON n. m. Dans certaines parties de la France, Canard domestique vivant en liberté.

MaretS (Nicolas Des), seigneur de Maillebois. financier, neveu de Colbort, né en i050, mort eu i72i. D’abord commis do son oncle, il devînt maître des requêtes, puis intendant. Compromis dans une affaire de concussion, il fut exilé dans ses terres, mais rappelé en 1699, sur le désir de Chamillard, contrôleur général des finances, qui en fit son second, avec le titre do directeur. Lors de sa démission, Des Marets obtenait la charge do contrôleur général. Mais le crédit mort, la défiance absolue, les expédients épuisés, une dette de plus de 2 milliards rendaient au nouveau contrôleur général la position intenable. Cependant, il se mit à l’œuvre, fit appel au traitant Samuel Bernard, qu’il fit anoblir, et dont il obtint des prêts considérables. Malgré la guerre dos Flandres, grâce aux ressources do son esprit ingénieux et à Vimpôt du dixième, Dos Marets évita la banqueroute. Mais Louis XIV mourut, ot lo Urgent destitua le contrôleur général. Ce dernier lui adressa un Mémoire, loué hautement par Voltaire, et qui est un modèle du genre.

Maretz, comm. du départ, du Nord, arrond. ot à 24 kil. de Cambrai, au bord d’une ravine sèche du canal dos Torrents ; 2.874 hab. Fabrique de tissus, soieries,

Mareuil, ch.-l. do cant. do la Dordogno, arrond. et à 21 kilom. de Nontron. sur une colline, entre la Belle et lo ruisseau de Saint-Pardoux ; 1.483 hab. Commerce do truffes et de vins (vins de Rossignol). Tréfilerie, pointerie ; carrières. Château des xi v" ot xvi* siècles, autrefois le siège d’une des quatre baronnies du Périgord. Eglise des xii% xiii" etxV siècles. — Le canton a U comm. et 7.621 hab.

Mareuil, comm. de Loir-et-Cher, arrond. et à 42 kilom. do Blois, sur la rive gaucho du Cher ; 1.120 hab. Tonnellerie. Eglise du xii" siècle.

Mareuil, cb.-l do cant. de la Vendée, arrond. et à 23 kilom. do La Roche-sur- Yon, sur lo Lay ; 1.897 hab. Minoterie importante ; fabrique do chaux ; tanneries. Vins. Eglise dos xii", xiv« et xv siècles. Restes d’un camp antique. — I^e canton a 13 comm. et 9.805 hab.

Mareuil (Arnaut de), poète provençal de la fin du xii" siècle, originaire do Mareuil (Dordogne). D’abord clerc, il se fit jongleur, ot fut protégé par Azalaïs, de Béziers, ot Guillaume VIII, de Montpellier. Il est l’auteur denviron 25 chansons, do 5 o saints u ou lettres d’amour d’une élégante banalité, et d’un Enscnhamen, qui contient quelques renseignements curieux sur les mœurs d’alors. On trouvera ses œuvres dans les divers recueils de poésies provençales (Raynouard, Mabn, etc.) ot dans les t. XX et XXI de la « Rovuo dos langues romanes».

Mareuil~CAUBERT, comm. de la Somme, arrond. et À 5 kilom. d’AbbeviUe ; 831 hab. Tourbières. Restes d*un

lise du si* siècle,

M arc y.

expérimentales et par-

camp romain ot d’un château fort, statue colossale de saint Christophe.

Mareuil-LE-PORT, comm. de la Marne, arrond. et à IG kilom. d’Epernay, sur le Flagot, affluent de la Marne ; 1.209 hab. Briqueteries, tuileries, moulins.

Mareuil-SUR-ARNON, comm. du Cher, arrond. et à 32 kilom. de Bourges, sur YArnun ; 1.464 hab. Carrières de pierre de taille, huileries. Manoir de la Roise (xvr s.).

Mareuil-SUR-AY, comm. de la Marne, arrond. et à 20 kilom. de Reims, sur la Marne, en face des escarpements de la montagne de Reims ; 1.285 hab. Carrière de craie, vannerie ; commerce de vins. Eglise du xu" siècle. Le vignoble de Mareuil, dans la région dite a Rivière de Marne ", fournit d’excellents vins, provenant la plupart du plant doré ; j)rincipaux quartiers : les Gûisses, p7’uche, les Valefroijs, Montin, la Croix- Blanche, les Vignes, etc.

MAREUX [reû] n. m. Arg. Gueux, il Trompeur.

Marey (Etienne-Jules), médecin et physiologiste français, né à Beauno en 1830. En 1860, il ouvrît un cours libre de physiologie expérimentale, qu’il continua l’année suivante à l’Ecole pratique ; en 1867, il créa un laboratoire privé de physiologie. Nommé professeur d’histoire naturelle au Collège de France en

1867, il devint, en 1874, directeur d’études à l’Ecole des hautes études, fut élu membre de

l’Académie de médecine en 1872 et membre de l’Académie des

sciences en 1878. Il a perfectionné et généralisé 1 emploi

dos appareils graphiques pour

l’étude des phénomènes physiologiques : il a ainsi étudié les mouvements du cœur, la con-

traction musculaire, la marche, le vol des oiseaux. Nous citerons de lui : Physiologie médicale de la circulation du sang (1863) ; Etvdes physiologiques

sur les caractères graphiques des battements du cœur et des mouvements respiratoires (1865) ; Physiologie expérimentale (1875) ; la Méthode graphique dans les sciei

ticulièrement en physiologie et en médecine (1878) ; la Circulation du sang à l’état physiologique et dans les maladies (1881) ; Etude de la locomotion animale par la chromophotographie (1887) ; Physiologie du mouvement : le vol des oiseaux (1890) ; le Mouvement (1894). Marey a publié, avec Chauveau et Bouchard, les « Archives de physiologie normale et pathologique », fondées par Brown-Séquard.

MAREYEUR [ré-i-eur’), EUSE n. Marchand, marchande de marée, ii Homme qui débarque le poisson des bateaux de pèche.

— Adjectiv. : Marchand maretedr.

Marey-MONGE (Guillaume-Stanislas), comte de Pé-LU 7.E, général français, né à Nuits en 1796, mort à Pommard en 1863. Elève do l’Ecole polytechnique, il entra dans l’artillerie, prit part, en 1830, à la prise d’Alger, fut promu colonel dos spahis, en 1837 et obtint, ainsi que son frère, en 1840, de joindre à son nom de Marey celui de son grand-père Mongo. Maréchal de camp en 1843, divisionnaire en 1848, gouverneur général do l’Algérie par intérim, il devint sous l’Empire comte de Péluze, et sénateur Ji863). On lui doit plusieurs mémoires ; Poésies d’Abd-el-hader ; ses règlements militaires (1848). — Son frère, Guillacme-Al-PHONSE-FÉLix, né et mort à Pommard (Côte-d’Or) [1818- 1877], fut député de la Côte-d’Or, de 1861 à 1871.

MarfÉE (bois de la), sur la rive gauche de la Meuse, près de Sedan. Il a donné son nom à la bataille où, le 6 juillet 1641, le comte de Soissons, en révolte contre le gouvernement de Richelieu, mit en déroute l’armée royale, commandée par le maréchal de Chàtillon. Elle coûta la vie au vainqueur, qui, dans la poursuite, fut mortellement blessé par un coup de pistolet.

MARFIL n. ra, Techn. Syn. de morfil.

Marfori (don Carlos), marquis de Loja, homme politique espagnol, né à Loja (prov. de Grenade) en 1828, mort à Madrid on 1892. D’origine plébéienne, il entra dans l’administration et eut un avancement rapide. La reine Isabelle l’admit dans son intimité la plus étroite et le combla de dignités. Il fut nommé successivement préfet do Madrid, sénateur, marquis de Loja (1868), ministre dos colonies, préfet du palais. La scandaleuse faveur dont il jouissait contribua à dépopulariser Isabelle, qu’il suivit en exil après la révolution do 1868. Par la suite, il retourna on Espagne, et reprit son siège au Sénat.

Marforio, nom vulgaire d’une statue antique, qui, sur la piazza Pasquino de Rome, faisait vis-à-vis à la statue mutilée nommée Pasquin, et qui, dans lo dialogue satiriquequolesRo-

mains fron-

deurs faisaient

tenir par affi-

ches aux deux

statues, don-

nait la réplique

aux questions

de Pasquin.

iV. Pasqcin.)

elle doit son

nom à co

qu’elle était Marforio.

placée à ren-

trée do l’ancien forum de Mars {Mariis forum), ainsi qu’en témoigne l’inscription gravée sur lo socle. Cette statue est colossale et d un très grand caractère ; la tôte, barbue, est très belle et d’une remarquable exécution. C’est probablement la statue d’un fl.euve. Elle est aujourd’hui au musée du Capitule.

MARFOURÉ n. m. Nom vulgaire de l’ellébore fétide.

Maroadant (Simon Lemm, dit), connu aussi sous le nom do Lemnius, poète latin suisse, né au domaine de Gua (Grisons) vers 1510, mort à Coire en 1550. Maître en philosophie do l’université de Wittemborg, il publia, en 1538, deux livres d’épigrammes latines, qui provoquèrent

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la colère de Luther. Il s’enfuit à ’Vorms. Condamné au bannissement perpétuel, il poursuivit les chefs de la Réforme de ses écrits satiriques. Il vécut à Francfort, à Halle, à Bâle, où il fut correcteur d’imprimerie, et devint professeur au gymnase de Coire. Nous citerons de lui Epigrammatum libri duo (1538) ; Apologia contra decretum Lutheri {15A0) ; Monachopornomachia, comédie (1538) jAmo- 7’wm libri /F (1542) ; Eclogse quinque (1551).

MARGAGNE {gn mil.) n. f. Nom vulgaire, à Libourne, d’une variété d’anguille, V anguille-chien.

MARGAIGNON [ghé, et gn mil.) ou MARGAINON [ghé) n. m. Nom vulgaire, dans diff’érents départements méridionaux, d’une variété d’anguille, dite anguille mâle.

MARGAJAT [ja — mot emprunté aux langues américaines ) n. m. Ancien nom de certains naturels du Brésil. Il Petit garçon ; homme petit et contrefait ; grotesque. Il Langage que parlaient les naturels du Brésil ; langago incompréhensible. (Vieux.)

MARGAL n. m. Nom vulgaire de l’ivraie.

Margam, paroisse de la Grande-Bretagne (pays de-Galles [comté de Clamorgan]), sur la baie de Swansea ; 6.000 hab. Mines et usines de fer, cuivre, étain.

MARGARANTHE n. m. Genre de solanées du Mexique, comprenant des herbes caractérisées par une corolle urcé& lée et un calice persistant.

MARGARATE n. m. Sel dérivant de l’acide margariquo-.

MARGARIMÈTRE (de margarine, et du gr. métron, mesure ) n. m. Insirument servant à déterminer la proportion du corps gras étranger mélangé au beurre.

MARGARINE (du gr. margaron, blanc de perle) n. f. Chim, Combinaison d’acide margariquo et de glycérine, qui forme en grande partie la portion concrète des nuifesgrasses.

— Enctcl. Chim. On rencontre la margarine ou margarate de glycérine dans la plupart des matières grasses : l’axongo. le beurre, l’huile d olive, l’huile de lin, etc. Dans toutes ces matières, elle est mélangée avec de l’oléine, et le plus souvent, avec de la stéarine. La margarine fond à 47°. On l’extrait généralement de l’huile d’olive. Après avoir refroidi ce corps jusqu’à -f 4o, on soumet à la pressela matière butyreuse pour en extraire l’oléine ; on fait fondre ce qui reste, on refroidit lentement, on presse de nouveau, et l’on obtient ainsi la margarine. Cette matière cristallise dans l’alcool, sous forme d’aiguilles incolores. Les alcalis la saponifient en la transformant en glycérine et en margarate alcalin. La margarine privée de stéarine par fusion est employée comme succédané du beurre et, souvent, on s’en sert pour le falsifier.

— Comm. La vente des faux beurres {margarine et oléomargarine ) est réglementée par la loi du l" avril 1897, qui exige l’absence de matières colorantes, une étiquettetrès apparente en caractères indélébiles avec la menlioa. « margarine » ou « oléo- margarine j>, le nom et l’adresse du vendeur sur chaque récipient.

MARGARINOTUS (tuss) n. m.

Genre d’insectes coléoptères clavicornes, famille des histéridés, comprenant deux espèces de l’hémisphère nord.

— Enctcl. Les margarinotus

soutdes escarbots de taille moyenne, couverts en dessus de saillies verruqueuses. Le margarinotus scaber, long de 7 à 8 millimètres, noir, avec les antennes rousses, se trouve en Espagne ot en Algérie.

MARGARIONA n. f. Genre do mollusques lamellibranches, comprenant une forme propre aux profondeursabyssales do la mer des Antilles.

MARGARIQUE(nA-’ — rad. margarine) adj. Se dit d’un acide monobasique C’H'^O*, qu’on ne trouve pas dans les matières grasses naturelles, mais qu’on a obtenu parsyathèse en saponiliant le cyanure de cétyle.

MARGARIS {riss — mot gr. signif. perle) n. f. Genre derubiaiées , comprenant des arbrisseaux grimpants da Mexique, à feuilles opposées, à fleurs en grappes.

Margarit ou MaRGUERIT (Bérenger), marin espagnol du XII" siècle. Apres la prise do Jérusalem (1188)^ SaVadin assiégeait Tyr par terre et par mer. Guillaume IL roi de Sicile, envoya une flotte au secours de la ville ; Margarit, qui la commandait, lança un brûlot sur la flotte sarrasine ; Conrad, gouverneur de Tyr, profita de l’émoi des Sarrasins pour les attaquer par terre, et Saladin fut réduit à s’enfuir sur ses derniers vaisseaux.

Margarit ou Marguerit (Jean de), évéque de Girone et cardinal, né à Girone (Espagne) en 1414, mort à-Ronie en 1484. Evoque d’Elne en 1453, il fut, à plusieurs reprises, ambassadeur d’Alphonse V et de Jean II, rois d’Aragon. U devint évoque de Girone en 1461 et cardinaî en 14S3. On a de lui une histoire latine des origines de la iiatidEi opauniule : Paralipomènes de l’Espagne.

. Margarit ou Marguerit (Pierre de), voyageur t’si.a-riul .i- la fin du xv" siècle, petit-neveu du précéiU’ui. U lut un dos compagnons de Christophe Colomn pendant son premier voyage. 11 aurait, selon certains auteurs, découvert les îles >farguerite, qui tirent leur nom soit diï sien, soit des perles qu’on trouve sur leurs rivages.

Margarit ;don Joseph de), marquis d’Aguilar, lieutenant p-énéral des. armées do Louis XIV, d’origine espagnole, né à Barcelone en 1602, mort à Perpignan en 1685. Lors de la révolte de la Catalogne en 1640, Margarit fut chargé par les états de la province de harceler, avec un petit corps de troupes, l’armée envoyée de Madrid contre Barcelone. Il servii ensuite dans les troupes françaises qui occupèrent la Catalogne jusqu’au traité des Pyrénées. Il fut créé maréchal de camp en 1042, lieutenant général en 1651 et gouverneur de la Catalogne. Il soutint dans Barcelone un siège de quinze mois contre don Juan d’Autriche, et n’abandonna la ville que réduit par la famine.

MARGARITA n. f. Bot. Syn. de marguerite ou pÂqoe-

RFTTF.

— Miner. Sya. do nacrite.

Margarinotus (gr. 3 foisy.