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grecs d’origino, mort â Cornolo en 1792. Il professa la théologie à Florence, devint secivtaire do la congrégation de l’Index ot. maître dn sacre palais. Son ouvrage le plus estimé est un traité latin : Des oriffines et des antiquités chrétiemips [n-id-nô^). On l’a quelquefois confondu avec un jésuite, également grec d’origine, appelé Kiîançois-Xavier Mamachi, qui, né en nos, mourut à Rome vers 1780. C’est ce dernier qui, étant préfet des études à Rouen, fut poursuivi par le parlement de cette ville, pour avoir dicté À ses élèves une matière de vers latins, sur ce sujet : « Un crime, couronné de succès, cesse d’ôtro un crime. »

MamaDYCH, ville de la Russie orientale, ch.-I. de distr. du gouv. do Kazan, sur la Vialka ; 4.200 hab. — Le district est peuplé do 200.000 hab.

MAMAMOUCHI (mot ar., siguif. propre à rien) n. m. Linguist. Nuni donné par Molière, dans le liourgeois gentilhomme, à un dignitaire burlesque do son invention : Ma-MAMOucHi. vous dis-jc , je SUIS yi’siAisovcui ! (Mol.) il Parext. et en niauv. part, Fonctionnaire quelconque.

MAMAN (onomatopée du langage des enfants, qui se rencontre dans beaucoup do langues de familles différentes ) n. f. Mère. dans le langage des petits enfants. (Ce mot est aussi prn|)loyé par les grandes personnes, avec ou sans railjectii possessif : Maman t’appelle. J’irai le dire à ta MAMAN.) H La maman. Mère particulière dont on parle, mère déterminée : La maman le veut .w Grand’maînan, Bonnemaman, Grand’mère. ti Belle-maman, Belle-mère.

— Fam. Femme quelconque : Une grosse maman. MAMANITE n. f. Miner. Variété do polybalite. MambrÉ, nom d’une vallée de la Palestine ancienne,

entre Hébroii et Jérusalem, dans la tribu de Juda. I.a Bible raconte quAbraham y résida longtemps et y renut la visite des anges, qui lui annoncèrent la naissance d"lsaac.

Mambrin (armet de). Mambrin était un roi maure, célèbre dans les romans de chevalerie. Son armet, ou son casque enchanté, qui le rendait invulnérable, fut enlevé par le fameux Renaud, qui tua Mambrin. Dans le Don Quichotte de Cervantes, le chevalier de la Manche porte sur sa tête un plat à barbe qu’il a conquis sur une grande route, ot qu’il croit être l’armct enchanté de Mambrin. Les écrivains font de fréq^uentes allusions, généralement plaisantes, à ce talisman tameux.

MAMBRINC [man) n. f. Variété de la chèvre domestique, répandue de l’Afrique du Nord jusqu’en Inde.

— Encycl. La mambrine (capra mambrica), ainsi appelée de la vallée de Mambré, en Palestine, est une chèvre élancée, haute sur pattes, à long cou et à grandes oreilles pendantes ; son pelage, rude et court, est rougeâtre. On la trouve maintenant en Nubie, en Egypte, dans toute l’Asie Mineure et l’Inde occidentale.

Mambulao, ch.-l. d’un puehlo ou district de Luçon (Malaisie [archipel des Philippines]), dans la province de Camarines du Nord ; 6.300 hab. Mmes d’or.

MaMBUSAO, bourg de la Malaisie [archipel des Philippines [ilo do Panay]) ot ch.-l. d’un district de la province de Capiz. Population du district : 9.000 hab.

MAME n. f. Abréviation populaire du mot madame : Bonjour, mame Cardinal. {Elle était autrefois employée l>ar les gens de qualité, en parlant d’une bourgeoise.)

MamE, famille d’imprimeurs et libraires de Tours. La maison fut fondée au commencement du xix." siècle. En 1833, la direction passa entre les mains d’Alfred-Henri-Armand (né et mort à Tours [1811-1893]), rils du fondateur, et de son beau-frère et cousin,- Charles-Ernest-Auguste (né à Angers en 1S05, mort à Tours en 1883). La spécialité de la maison Mame consiste dans l’édition des livres scolaires, de piété et de distributions de prix. A ces divers ouvrages sont venus s’ajouter les livres illustrés, dont quelques-uns dune réelle valeur artistique. Ernest Marne se retira, en 1845, pour présider la chambre de commerce ; il fut élu, en 1859 et 1863, député au Corps législatif. A Alfred Marne, resté seul depuis 1845 jusqu’à sa mort a la tête de sa maison, ont succédé ses fils.

MAMELÉ, ÉE adj. Qui a des mamelles : Les animaitx mamki.ks.

MAMELETTE {lèt’) u. f. Petite mamelle. (Vx.)

MAMELLAIRE [mèl’-lèr’) adj. Qui a rapport aux mamelles.

MAMELLE {mèV — du lat. mamilla, dimîn. de mamma) n. f. Anat. Organe glanduleux qui, chez la femme et les femelles de certains animaux, sécrète le lait ; Mamelles gonflées de lait, il Enfant à la mamelle, Enfant qui n’a pas dépassé l’âge de l’allaitement.

— Fig. Ce qui fournit des aliments, la richesse : Le labourage et le pâturage sont les deux mamellks de l’Etat. (Suily.)

— Parext. Partie semblable, mais sans sécrétion, chez l’homme.

— Avoir quelque chose sous la mamelle gauche, Avoir du cœur, du courage.

— Bot. Ai^bre aux mamelles, Mammée, ainsi appelée à cause de la forme de ses fruits, it Mamelle blanche, brune, rayée. Variétés de champignons.

— Manèg. Nom donné à la partie latérale do la corne, dans le pied d’un cheval,

— Techn. Chez les selliers, Chacun des deux endroits où finit le garrot dont est composé l’arron du devant de la selle.

— Enctcl. Anat. compar. L’importance des mamelles est si grande, que l’on a choisi ces organes pour caractère distinctif d’une classe entière d’animaux, les mammifères. Chez ces animaux, le nombre des mamelles et la position qu’elles occupent présentent une grande variété.

Les mamelles sont par paires, mais leur nombre varie suivant l’espèce animale. Chez la jument, Tânesse, la chèvre et la brebis, il n’y en a qu’une paire, située entre les membres postérieurs ; cliez la vache, elles sont au nombre de deux paires et situées au même endroit ; chez la chienne, la chatte, au nombre de quatre à cinq paires, et chez la truie six paires, situées en deux lignes longitudinales, sous le ventre et la poitrine.

— Anat. hum. Dans l’espèce humaine, il y a deux mamelles pectorales. Cependant, on a quelquefois observé des sujets qui en avaient trois, quatre ou cinq. (V. poly-MA. ÇTIE.) Elles existent dans les deux sexes, mais rudimeotaires et atrophiées chez Tliomme, sauf exception

Mamelle (coupe) :

1. Mamelon ; 2. Canaux

galactophorea ; 3. Lo-

bules glandulaires.

(v. gvnécomaste) ; elles so développent, chez la femme, vers l’âge de la puberté.

Les mamelles représentent, dans la jeunesse, un© demisphère à peau blanche très due, surmontée par une grosso papille appelée mamelon, qu’entoure un cercle coloré qu’on nomme aréole ; l’aréole offre, en outre, un aspect rugueux dû à une multitude do glandes sébacéos, dont la sécrétion prévient l’action irritante de la salive de l’enfant.

La structure dos mamelles com-

prend doux éléments : la glande mammaire et le tissu adipeux. La glande mammaire, organe spécial de la sécrétion du lait, est une glandn on grappe, composée de petits lobes blanchâtres. Ces lobes sont composés do lobules contenant uue multitude à’acini, d’où naissent les conduits excréteurs, appelés vaisseaux galactophores, ordinairement au nombre de quinze à dix-huit, qui, renfics au niveau de l’aréole, passent, ou so rétrécissant, par le centre do celle-ci et ,s’ouvront isolément à sa surface. Il entre encore dans le tissu de la glande mammaire une grandu quantité de tissu fibreux, auquel elle doit sa dureté. Elle s’atrophie dans la vieillesse.

Les artères de la mamelle viennent des thoraciques, en particulier de la mammaire externe, des intercostales et de la mammaire interne. Parmi les veines, très développées, les unes sont sous-cutanées, visibles à travers la Eeau ; les autres profondes et accompagnent les artères, es vaisseaux lymphatiques, très multipliés, vont se rendre aux ganglions axillaîres.

— Pathoi. Les maladies des mamelles se rangent dans deux grandes classes : les inflammations et les tumeurs.

Les inflammations comprennent soit primitivement, soit secondairement, les excoriations, les crevasses et les éruptions eczémateuses du mamelon ot de son aréole, l’érysipèle, les lymphangites, les phlegmons et les engorgements. Les excoriations et les crevasses du mamelon, assez douloureuses, ont surtout lieu chez les nourrices qui allaitent pour la première fois. On y remédie en espaçant les tctées et en appliquant dans l’intervalle des compresses imbibées d’eau boriquée tiède.

Les inflammations qui portent sur la glande ou le tissu périglandulaire et peuvent occasionner des abcès ou dos engorgements présentent seules dos particularités dignes de remarque, v . mammite.

Les tumeurs de la mamelle sont les unes liquides, les autres solides. Les tumeurs liquides sont le galactocéle ou kyste laiteux, résultant de la dilatation du conduit galactophore, et la maladie kystique de la mamelle (maladie de Reclus), qui, bien que de nature épithéliomateuse, est bénigne comme la précédente. Les tumeurs solides sont les unes malignes, les autres bénignes. Les carcinomes ou cancers de la mamelle, apparaissant le plus souvent entre quarante et soixante ans , tantôt squirrheux, tantôt encépkaloides, toujours avec envahissement des lymphatiques, sont essentiellement malins. L’ablation totale de la glande est généralement suivie de récidive, mais assure une plus longue survie. Les tumeurs dites bénignes, qui évoluent sans envahissement des lymphatiques, sont : le fibrome diffus ou hypertrophie générale de la mamelle, les fibromes circonscrits ou petites tumeurs adénoïdes, les sarcomes et fibro-sarcomes, pour lesquels l’opération n’est pas toujours mile. Il faut aussi noter les tubercules et les abcès froids de la mamelle, dont la gravité dépend de l’état général du sujet. Toutes ces tumeurs sont rares chez l’homme.

— Art vétér. Les maladies des mamelles sont assez nombreuses. Après la parturîtion, elles peuvent être le siège d’engorgements, causés soit par un courant d’air, soit par défaut d’extraction du lait. Il faut alors extraire le lait ou arrêter sa sécrétion par des cataplasmes émollients, astringents ou galactofuges. Enfin, les mamelles peuvent être le siège d’inflammation ou mammite, d’abcès, de tuineur, et même d’inflammations spécifiques, chez la vache et chez la brebis.

MAMELON (dimin. de mamelle) n. m. Physiol. Petite éminence charnue, qui s’élève vers le centre de la mamelle et que l’enfant ou le petit comprime entre ses lèvres et sa langue pour teter.

— Par anal. Eminence quelconque, plus ou moins arrondie : La pêche dite « teton de Vénus » se termine par un mamelon. 11 Colline, sommet d’une forme arrondie : Les mamelons boisés sont comtnuns dans les Vosqes.

— Bot. Excroissance tuberculeuse à la surface de quelque partie d’un végétal, n Nom donné à des agarics dont le chapeau offre quelque analogie avec une mamelle de femme, il Mamelon d’imprégnation ou Mamelon nucellaire, Nom donné par certains botanistes au sommet du nucelle qui, dans l’acte de la fécondation, se trouve situé contre I extrémité interne du canal micropylaire. il Mamelon ovulaire, Saillie du placenta par laquelle débute la formation de l’ovule et qui paraît être (d’après Van Tieghem) la première trace du funicule ou cordon ombilical, support futur de l’ovule qui n’existe pas encore, il Nom donné à une petite surélévation conique qui se trouve au centre du chapeau de certaines espèces de champignons.

— Miner. Concrétion minérale, dont la surface porte dos tubercules en forme de mamelons.

— Techn. Bout de sein artificiel destine à remplacer, dans l’allaitement, un mamelon insuftisant. n Petit cylindre qui termine chaque bout d’un arbre mécanique et tourne dans un trou appelé « lumière " . n Partie cylindrique d’un gond ou d’une fiche, qui entre dans l’œil d’une penture. 11 En général. Extrémité amincie et arrondie d’une pièce de fer ou de bois.

— Encycl. Anat. et physiol. Le mamelon, ainsi que l’aréole qui l’entoure, chez la femme qui n’a pas eu d’enfant, , est rose chez les blondes ou peu picmenté chez les brunes ; chez celle qui a été mère, il prend une coloration plus foncée. Le volume et la forme des mamelons sont très variables. Dans certains cas, le mamelon fait défaut ou est déprimé en cavité et ne peut être saisi par la bouche de l’eufaut.

MAMELONNÉ (/o-rid), "ÉE adj. Linguist. Qui porte des protubérances eu forme de mamelons : La langue est ^axîav^-

MAMADYCli — MAMERCUS

LONNÉB sur toute sa face supérieure, il Qui est couvert do collÎDOs ou do mamelons : lies plaines mamelonnées de changeantes collines. (Th. Gaut.). ii Qui est accidenté d’objets en forme de mamelons : Plaine mamelonnée de tentes.

— Bot. So dit du chapeau do certains champignons qui présente un mamelon en son milieu. (Ce mot .’ert parfois mémo à désigner quelques espèces dont le mamelon est trùs accus»- ; /.f grand mamelonné. Le mamelonné gris.)

MAMELONNER (/o-ïk/) v. a. Couvrir, accidenter, on parlant d fiiiiiiunccs ou de protubérances en forme do mamelons : Coupoles qui mamelonnent un toit.

Mamelon- Vert (le). L’attaano du Mamelon-Vert, décidée après le départ du maréchal Canrobort dans les premiers jours du mois do juin 1855 et exécutée le 7 an soir, fut le prélude de l’attaque de Malakof. (V. ce mot.) Dirigée par le général Bosquet, elle fut exécutée do concert, au centre, par le 50’ do ligne, dont lo colonel, ’le Brandon, tomba frappé à mort au moment où il plantait son drapeau sur ta redoute ; à gauche, par les tirailleurs algériens du colonel Rose et les zouaves du colonel Polhôs, tandis qu’à droite les brigades de Pailly et Lavarando prenaient ù revers la redoute du mamelon. Kn mémo temps, les Anglais emportaient l’ouvrage dos carrières. Cetin attaque impétueuse, qui avait un moment mené les alliés au pied do Malakof et du Grand-Kedau, coûtait aux alliés environ 5.000 hommes et aux Russes plus du double.

MAMELOUK n. m. Linguist. V. mameluk.

MAMELU, UE adj. Pop. Qui a do grosses mamelles ; Un

homme MAMELU comme une femme. Il Substantiv. Personne mamelue : Une gi-osse mamelue.

MAMELUCO n. m. Au Brésil, Enfant né du croisement entre blancs et indigènes.

MAMELUK [luuk’), MAMELOUK ou MAMLOUK Me l’ur. mnmlouk, part, passif de malaka, esclave) n. m. Membre d’une milice égyptienne fondée par le sultan Melik-Saleli (mort en 1249), détruite en 1811 par Méhémet-Ali.

— Fig. et ironiq. Partisan fanatique du pouvoir, par allusion aux mameluks do Napoléon 1".

— Adjectiv. : Dynastie mamkluke.

— Encycl. Les premiers sultans ayyoubites n’avaient jamais eu de garde spéciale, et ce fut Melik-Saleh qui, le premier, imagina de faire acheter, en Géorgie ot dans le Turkestan, des esclaves qu’il cantonna dans une forteresse bâtie dans lile de Raudha, en face du Caire ; de là leur vint le nom de Bahris (soldats du fleuve). Cette milice devint bientôt d’une insolence extrême, et, en 1250, Mclik-Moezz Aïbek déposséda le dernier sultan ayyoubite, Melik-Afdal Ali, pour se proclamer à sa place. La dynastie des mameluks bahris régna jusqu’en 1381, et fut remplacée par une seconde dynastie de mameluks Tcherkesses ou mameluks bordjis, parce qu’ils étaient casernes dans la citadelle [bordj). Les sultans de ces dynasties régnèrent, le plus souvent, au milieu d’une anarchie sans nom, toujours guettés par des conspirations auxquelles, d’ailleurs, le peuple égyptien ne prit généralement aucune part.

En 1517, le sultan ottoman Sélim s’empara de l’Egypte et de la Syrie, qui avaient formé l’empire des mameluks, et fit pendre Touman-bey. La milice continua de former une sorte de féodalité militaire, qui tenait le gouverneur do l’Egypte prisonnier dans la citadelle de la Montagne. Au xviii" siècle, les mameluks étaient environ 9.000, commandés par 24 beys, dont les discordes ne laissaient aucune tranquillité au pays. L’invasion de l’Egypte par Bonaparte, la soumission de Mourad-bey, l’accord qu’il conclut avec Kléber, qui le reconnut comme sultan de l’Egypte, vassal de la République, faillirent amener la restauration d’une troisième dynastie mameluko. EnlSU, le vice-roi Méhémet-Ali réu-

nit les mameluks

dans la forteresse

et les fit fusiller à

bout portant. Ceux

qui purent échap-

per se réfugièrent

du côté deDongoIa.

— Mameluks de

la garde impériale.

Bonaparte , à son

arrivée en Egypte,

avait employé pour

le service des ren-

seignements quel-

ques cavaliers ma-

meluks, dont un

suivit les troupes

rapatriées. Ce fut

l’origine du corps

des mameluks ; en

1804, Napoléon en

forma un escadron

de sa garde, ratta-

ché aux chasseurs

à cheval. Après la

première aodica ■

on renv ’"'

Mameluk (1er Empire).

t.uii, ^.w . V. - mamchiks à leur dépôt do Marsoillp,

et ils furent presque tous massacrés pendant la Terreur blanche.

MaMERANUS (Henri), littérateur belge, né à Marner. près do Luxembourg, vers le début du xvi" siècle, mort t Cologne en 15f,o. D’abord correcteur d’imprimerie, il éta-blit. en 15i(î, un atelier typographique à Cologne. On lui attribue les ouvrages suivants : Tractatus de causa calamitatum hujus temporis (154G) ; Libellus de prises- monelœ xupptitationeiisôi). — Son frère cadet, Nicolas Marneranus, mort un pou avant 1570, entra au service do Charles-Quint, suivit partout l’empereur, célébrant sa gloire par des poèmes ot des relations historimies, dont quelques-unes sont restées célèbres, comme le Catalnyus onmium neneralium... tolius exercitus Caroli V Imp. Aug. et Ferdtnandi Begis 7(om«non(m (1550), et le Cataiogus lotius familix aulx Cesarex per expeditionem adrersns inobedientet (1550), précieux pour l’histoire do la diète d’Augsbourg.

MamERCUS (Lucius ^milius). consul romain en 484, 478 et 473 av. .L-C. Son second consulat fut marque par des dissentiments avec le sénat, et le troisième par d^-s troubles populaires que causa la mort suspccto du iribuu