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MALTHUSIEN

MAMACHI

— Encycl. I>a loi fondamentale du malthusianisme est fondée sur le principe suivant ; l’accroissement de la population est nécessairement limité par les moyens de subsistance disponibles ; mais, tandis que la population tend à s’accroître suivant les termes dune progression géoniétrique, les subsistances ne peuvent s’accroître que suivant les termes d’une progression arithmétique. Walthus précise par les chiti’res ci-dessous les deux tendances. Population 1 2 4 8 16 32 64...

Subsistances 12 3 4 5 6 1 ...

Tl s’ensuit rapidement, dès la seconde génération, un déséquilibre fondamental entre le nombre des savants et la quantité de suijsistances qui pourrait assurer leur existence ; il faut fatalement que les individus qui sont en trop disparaissent. L’équilibre s’établit, d’après Maltïius, sous deux ordres d’influences : !<■ les obstacles répressifs, qui diminuent le nombre des vivants par des décès prématurés (guerres, maladie, misère, etc.) ; 2" les obstacles préventifs, qui tendent à réduire le nombre des naissances. Ces derniers obstacles sont d’ordre plus spécial, dérivant presque toutes des vices de l’humanité et dépendantes do la volonté ; ce sont les mariages imprudemment contractés. Par moral restraint, Malthus n’entend pas parler de l’abstention procréatrice des gens mariés ; il veut seulement que les gens incapables ou de procréer des sujets sains ou d’élever sainement et utilement leurs enfants s’abstiennent du mariage. C’est par une interprétation tout à fait abusive de cette doctrine que les néo-malthusiens se réclament do Malthus pour préconiser l’imperl’ention de l’acte conjugal.

MALTHUSIEN, ENNE [zi-in, en’) adj. Qui a rapport au •système économique de Malthus : Les doctrines malthusiennes. Il (^ui adopte les doctrines de Malthus. ~ Substantiv. Partisan des doctrines de Malthus. MALTINE n. f. Principe chimique actif du malt. MalTON, paroisse d’Angleterre {comté d’York [North-Ridmg ]), sur la Derwent ; 3.455 hab. Fabrication do toiles, chapeaux, gants. Commerce de grains.

MALTOSE n. f. Sucre obtenu par une saccharifîcation incomplète de l’amidon au moyen du malt. {Il a pour formule C"H»Û"-|-H’0.)

MALTÔTE {de maie adj. f., et du vx franc. toUe, impôt, tiré do toldre ou tolir, lever) n. f. Impôt perçu sans droit ou autorisation légitime, li Exaction commise dans la perception de l’impôt, n Grand bateau établi à Paris, sur la Seine, pour loger les commis qui surveillaient les bateaux à leur arrivée et étaient chargés do la perception des droits. (On l’appela plus tard patache.)

— Par ext. Perception de l’impôt, ii Fam. Corps d’employés chargés de la perception de l’impôt : Entrer dans la MALTôTB. Il Bureau des collecteurs d’impôt.

— E.NCTCL. Le mot de maltôte désigna d’abord un subside extraordinaire qu’en 1292 et dans les années suivantes, la France leva pour subvenir aux frais de la guerre de Flandre et qui provoqua une sédition à Rouen. Il fut levé sur les marchands ei les laïuues, puis sur le centième et sur lo cinquantième de tous les biens, laïques ou ecclésiastiques. Des ordonnances ont aussi donné lo nom do maltôte à certains impôts onéreux qu’elles supprimaient.

MALTÔTIER (ti-è) n. m. Celui qui exerce la maltôte, qui pen ;oit illégalement l’impôt. Il Employé quelconque à la perception do l’impôt.

MALTÔTIÊRE n. f. Femme d’un maltôtier.

MALTRAITEMENT (trè-te-man) n. m. Action de maltraiter, mauvais traitement. (Peu us.)

MALTRAITER {trè — do mat adv., et traiter) v. a. Traiter durement tMi actions ou en paroles : On ne doit mal-’iRAiTKR personne, il Traiter rigoureusement, repousser avec dédain : Une femme gui maltraite un soupirant.

~ Porter un pr^udice, causer un dommage à : Père qui MALTRA1TK un fils dans son testament. Causer des dégâts, des avaries à : Trombe qui a maltraite une colonie.

— Tirer mauvais parti de :

La forme ! elle a perdu sa pureté première ; Partout l’homme, aujourd’hui, maltraite la. matière. A. Barbier.

Se ma/tra/fer, v. pr. Etre maltraité, n Se traiter durement soi-même, u Se faire subir lun à l’autre do mauvais traitements.

— Syn. Maltraiter, traiter mal. Le premier signifie surtout outrager ou battre ; le second, faire faire mauvaise chère à une personne ou n’en pas user avec elle comme elle lo désirerait.

MALTRAVERSI n. m. pi. Nom de l’une dos deux factions politiques qui divisaient Bologne au xiv» siècle.

— Encycl. Après la mort do l’empereur Henri VII, le parti guelfo domina sans conteste dans cette ville ; mais. dès 1320, il se sépara on deux camps : les maltraversi (tranché d’argent et do gueules), qui empruntaient leur nom aux armes dos Gozzadini,et les scaccfiesi , aui avaient pris le leur du blason des Pepoli (échiqueté d’argent et do sable). Romeo Pepoli commença, en 1320. une lutte qui se termina, en 1404, par la défaite des maltraversi.

MALUMIGI {ji) n. m. pi. Nom donné à des sectaires musulmans qui prétendaient

que l’homme peut parvenir en

ce monde à la parfaite connaissance do Dieu.

Malung. bourg do la Suède

centrale (lân do Kopparberg),

sur le Vester-Dal, l’une des

branches mères du Dal , tribu-

taire de la Baltique ; 7.000 hab. Pierres meulières.

MALURE ou MALURUS (nu5j

n. m. Genre d’oiseaux passe-

reaux, type do la tribu des nia- /urines, comprenant des fauvettes australiennes, dont on connaît une quinzaine d’espèces.

— Encycl. Los malures sont petits, avec les ailes courtes, la queue longue ; ils vivent parmi les buissons. L’es-

Fôce type est lo malurus cyaneus, répandu dans toute Australie.

MALURINÉS n. m. pi. Tribu d’oiseaux passereaux dentirostres, famille dos lusciniidés, renfermant les malures et genres voisins. — Un malurinê.

Malure.

HALDS (luss) n. m. Nom scientifique latin du pommier.

Malus (Etienne-Louis), pliysicien français, ni^’ et mort à Paris 1 1775-1812). 11 était tils d’Anne-Louis Malus de Mitry, trésorier de France. Elève de l’Ecole du génie de Méziëres, il s’enrôla comme volontaire au 15’ bataillon de Paris, et fut dirigé vers Dunkerque, où il se fit remarquer de l’ingénieur des ponts et

chaussées, qui l’envoya à

l’Ecole polytechnique. Il ser-

vit dans le génie, et fit partie, en 1798, de l’expédition d’E-

gypte. Il devint l’ami de Caf-

farelli et do Kléber, et fut

nommé membre de l’Institut

d’Egypte. Rentré en France

en 1801 , il était, neuf ans plus

tard, major du gén

En 1S07, Malus avait pré-

senté à l’Académie des scien-

ces son Traité d’optique ana-

lytique. Enfin, en 1808, il exposa l’importante découverte

de la polarisation dans son

travail ; Sur une propriété de

la lumière réfléchie par des

corps diaphanes (1809). En - ’

1810, il remporta le prix pro- Malue.

posé par l’Acaiémie des scien-

ces avec son mémoire : De la double réfraction de la lumière dans les substances cristallines (iii). Bientôt après (1809- 1811), Malus reconnaissait que la lumière réfléchie se polarise toujours partiellement, que la réfraction simple à travers lo verre polarise de même en partie la lumière, et que la polarisation complète peut être obtenue après plusieurs réfractions à travers des lames parallèles, etc. Malus entra à l’Académie des sciences, en 1810. Outre les mémoires déjà cités, on lui doit : Sur les phénomènes qui dépendfut des formes des molécules de la lumière (1809) ; Mémoire sur la lumière {ISU) ; Sur de nouveaux phénomènes d’optique ; etc.

MALVA n. f. Bot. Nom scientifique de la mauve, Malva ou Malwa, région de l’Inde centrale, occupée par des Etats tributaires de l’empire anglais de l’Inde, comprise entre la Présidence de Bombay au S. et au S. -O. , les Provinces Centrales au S. et au S.-E., les Etats du Radjpoutana au N., les Provinces du Nord-Ouest au N.-E. ; superficie 129.328 kilom. carr. ; 4.813.000 hab. Traversée dans sa plus grande largeur par les monts "Vindhyas, elle est constituée : au N^ de ce système, par un vaste plateau qui s’incline vers le ’Tcham’bal (bassin du Gange), au S. par la coupure de la Nerbuddah, tributaire du golfe de Cambaye (mer d’Oman). C’est, avec le Béhar, l’un des grands centres indiens de production du pavot à opium : coton, indigo, tabac, canne à sucre. Politiquement, il comprend les Etats mahrattes de Sindia (capit. Goualior), et de Holkar (capit. Indore), les principautés de Bhopal et de Devas, et de nombreux petits fiefs. MALVACÉES (se — du lat. malva, mauve) n. f. Famille de plantes dicotylédones dialypétales supérovariées, à laquelle appartient le genre mauve. — Une malvacke.

— Encycl. La famille des malvacées comprend près de 150 genres (corrète, fromager, mauve, guimauve, sterculia, ketmie, tilleul, cacaoyer, cotonnier, etc.), avec plus de 1.500 espèces, répandues surtout dans les régions tropicales. Ce sont des herbes annuelles ou vivaces, des arbustes ou des arbres, à feuilles ordinairement isolées, rarement opposées, pourvues de stipules caduques, palmincrves, parfois composées-palmées (fromager), à fleurs actinomorphes et généralement hermaphrodites, solitaires ou eroupées en grappes, cymes ou grappes de cymes. La Heur est ordinairement pentamère. Le fruit est une capsule loculicide (ketmie) ou septicide (corrète) ; parfois un polyakcne (mauve), un akène (tilleul), une baie (cacaoyer), ou une drupe éléocarpe. On distingue dans la famille des malvacées trois tribus principales : 1" les (l’Wes (étamines plus ou moins libres) : corrèto, tilleul, éléocarpe : 2" les stprculiées (étamines concrescentes en tube, anthères à quatre sacs) : sterculia, theobroma ; 3° les malvées (étamines concrescentes en tube, anthères à deux sacs) : mauve, ketmie, cotonnier, baobab, fromager, etc.

Malvalette, comm. de la Haute-Loire, arrond. et à 32 kilom. d’Yssingeaux, non loin de la Loire ; 1.041 hab.

Malvasia, Malvoisie ou Monemvasia, ville

do Grèce uMoroc [arrond. d’Epidauros-Limera]), sur la côte orientale de la Laconie, dans une île reliée au continent par un pont. Fondée au moyeu âge, au temps de la domination franque, elle a été une des villes les plus importantes de la Grèce méridionale, ’sous le nom de iVapoti di Malvasia. Après avoir appartenu aux Francs, puis aux Grecs de Constantinople, au pape et aux Vénitiens, Malvasia tomba au pouvoir des Turcs, qui la conservèrent jusqu’en 1821. Elle a donné son nom à un vin liquoreux très réputé, lo vin de Malvoisie.

Malvasia (Charles-César, marquis de), antiquaire et littérateur italien, né et mort à Bologne (1616-1693). Chanoine, professeur de droit à Bologne, Malvasia a composé plusieurs ouvrages, dont les plus remarquables sont : Felsina pittrice, vile e ritratti de’ pittori botognesi (1678), histoire des peintres de Bologne ; Marmorea felsinea illustrata (1690), recueil d’inscriptions découvertes à Bologne ou dans les environs ; Pitture di Uologna (l’Zi), ouvrai^o posthume.

MALVAT [va) a. m. T. rur. Nom vulgaire, dans le miili de la France, du charbon des animaux domestiques.

MALVA VISCas (skuss) n. m. Genre de malvacées, comprenant une quinzaine d’arbustes de l’Amérique tropicale.

MALVÉ, ÉE (du lat. malva, mauve) adj. Bot. Qui ressemble à une mauve.

— n. f. pi. Tribu de malvacées, ayant pour type le genre mauve. — Une malvée.

HALVEILLAMMENT {vè-ill-a-man [tl mll.J) adv. Avec malveillance. (Peu us.)

MALVEILLANCE lvè-ill-an.is [Il mll.j — rad. malveillant ) n. f. Mauvais vouloir, mauvaise disposition d’esprit à l’égard do quelqu’un ou des hommes en général : La MAI.VKILLANCK d’un examinateur, d’un misanthrope, il Dessoin de nuire : Incendie attribué à la malveillasck.

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MALVEILLANT {vé-ill-an [Il mil.]), ANTE [pour malveuitlant ; de vial adv., et veuillaiit, anc. part, de vouloir adj. Qui a de la malveillance ; porté à vouloir, à désirer du mal aux autres : Unt personne malveillante. Cai’-actère, Esprit malveillant, n Qui agit par malveillance : Une main malveillante, ii Qui est inspiré par la malveillance : Action, Parole, Réponse malveillante.

— Substantiv. Personne malveillants : Les malveillants sont nombreux-.

MALVEISINE (ré) ou MALVESINE [de ’maie adj. f., et voisine] n. f. Machine de guerre fort puissante, dont ou se servait pour lancer des pierres.

MAL VENANT (nan), ANTE [de ma ? adv., et venir], adj. Qui vient mal ; qui pousse mal : Bois mal venants.

MALVENU, UE (de mal adv., et venu) adj. Qui manque de droit pour intervenir, pour faire quelque chose : Héritier malvenu à se plaindre. On écrit aussi mal vent, ue.

MalveRN, ville des Etals-Unis (Arkansas), ch.-l. du comté de Hot Springs, sur la Washita ; 2.460 hab.

Malvern, ville d’Angleterre (comté de Worcester’l, sur la Severn ; 8.000 hab. Autrefois simple village, Malvern devint assez vite une jolie ville de bains, grâce au charme de ses paysages et de ses sites pittoresques.

MALVERSATION [si-on — rad. malverser) n. f. Faute grave commise pour un motif inavouable de cupidité, de haine, de vengeance, etc., dans l’exercice d’un mandat, d’une fonction, d’une charge publique, u Par ext. Infidélité conjugale, amoureuse : Jusqnes ici vous avez joué mes accusations... et plâtré vos M AhERiiTiONS. (Mol.)

— Enctcl. Se rendent coupables de malversation : le magistrat qui, dans un but intéressé, rend une sentence inique ; l’expert qui, setant laissécorrompre. donne une fausse appréciation : le fonctionnaire qui reçoit un pot-de-vin pour avantager un entrepreneur de travaux publics ; le comptable qui détourne les deniers de sa caisse ; l’avocat ou 1 avoué qui viole le secret profe.ssionnel ou trahit la cause de son client. La malversation est qualifiée de forfaiture (v. ce mot) par le Code pénal.

MALVERSER (du lat. maleversari, se comporter mal) V. n. Commettre, par cupidité, un grave délit dans l’exercice d’une fonction publique : La lui ne saurait être trop sévère pour tout fonctionnaire qui a maLversé.

MALVESINE n. f. Baltst. V. MALVEISINE.

Malvezzi iVirgilio, marquis), historien et moraliste italien, né et mort à Bologne (1599-1654). Capitaine distingué, il fit apprécier ses qualités diplomatiques par le roi d’Espagne Philippe IV, qui le nomma membre de son conseil de guerre. Ses principaux ouvrages sont : Discorsi sopra il primo libro degli Annali di Corneiio Tacito (i622) ; Introduzione al racconto dei principali successi accadiUi sotto il comando di Filippo I (l651) ;etc.

Mal VILLE, comm. do la Loire-Inférieure, arrond. et à 31 kilom. de Saint-Nazaire, sur le Sillon 1.607 hab. Ruines du château de Goust.

MALVOISIE {zî — de Malvasia, ville de la Grèce) n. f. (L’Académie fait ce nom féminin, mais certains auteurs l’emploient au masculin, ce qui est plus conforme à la régie suivie pour le genre des noms de vins.) Vin grec célèbre, doux et liquoreux : Un verre de malvoisie. [On dit aussi vin DE Malvoisie.] Il Auj. Nom donné à des vins de différents pays, obtenus avec le cépage malvoisie ; Du malvoisie de Chi/pre, de Samos, de Madère.

— Vitic. Nom donné à divers cépages rouges ou blancs.

— Encycl. Œncl. La malvoisie, célèbre au moyen âge, n’était récoltée (^ue sur le territoire de la petite ville de Napoli di Malvasia, tandis qu’on l’obtient aujourd’hui dans beaucoup de vignobles. Elle était plus célèbre alors et ne figurait que sur la table des plus riches. (,0n se souvient de la légende du duc de Clarence, qui, condamné à mort par son frère Edouard IV et libre de choisir le genre de mort qui lui conviendrait, demanda à être plongé dans un tonneau de malvoisie.) Aujourd’hui, on récolte des malvoisies en Grèce (Nauplie), dans les îles de Samos et de Chypre, en Espagne (Catalogne, Andalousie, ile Madère, etc.), en Italie (Lipari, environs de Palerme), en France, particulièrement dans les Pyrénées-Orientales (Rivesaltesi ; ce sont des vins liquoreux", très parfumés, et dont quelques-uns se distinguent par la générosité et la finesse. Dans le midi de la France, les vins de malvoisie sont obtenus de la façon suivante : le raisin est récolté à maturité, mais sans que jamais celle-ci soit dépassée ; puis foulé, pressé et, le jour même, placé dans des futailles avec une certaine quantité do trois-six. On le laisse fermenter et. quand la fermentation est terminée, on soutire, pour le mélanger encore à un peu de trois-six.

— Vitic. Un certain nombre de cépages portent co nom ; les principaux sont : malvoisie des Pyrénées, cépage blanc, cultivé dans les Pyrénées-Orientales et l’Algérie ; malvoisie rousse, cépage blanc du Tarn-et-Garonno ; malvoisie à f/ros grains (vermentino), cépage blanc cultivé en Espagne, à Sladôre ; malvoisie blanche du Piémont (malvasia btanca), cultivé principalement dans les vignobles d’Asti : malvoisie rouge (malvasia rossa, malvoisie rose du Pô), cultivé dans les vignobles do la vallée du Pô, surtout pour fournir des raisins de table ; etc.

Malvoisie. Géogr, v. Malvasia.

MALVOULU, UE Me mal adv., et voulu) adj. Mal vu, peu aimé ou jicu estimé ; Etre malvoulu de toits. (Vx.)

Malwa. Géogr. V. Malva.

MalzÊVILLE, comm. de Meurthe-et-Moselle, arrond et à 1 kilom. de Nancy, sur la Meurthe ; 3.114 hab. Fabrique de produits chimiques ; broderies ; mousselines ; mine de fer ; vignobles. Eglise et pont du xv« siècle.

Malzieu-FORAIN (Le), comm. de la Lozère, arrond et à 4S kilom. de Marvejols, sur la Truyère ; L028 hab.

Malzieu-VILLE (Le ch.-l. do cant. de la Lozère, arrond. et à M kilom. do Marvejols, sur la rive droite de la Truyèce ; l.OOS hab. Fabriques do serges, de couvertures de laine. Pris par les protestants en 1573 et i577. Le Malzieu-Vi le tomba, en 15S6. au pouvoir du duc de Joyeuse, qui y fit pendre un grand nombre d’habitants. Reste do remparts. — Le canton a 9 comm. et 4.9S4 hab.

Mamacbi (Thomas-Marie), savant antiquaire de l’or^ dre do Saint-Dominique, né à Chic en 1713, de parents