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LAFENESTRE

LAFFORIENNE

Chargé du commandement de l’armée du Centre, il quitta son camp pour aller protester, à la barre de la Législative, contre la journée du 20-JuiD, et se vit accuser daspirer â la dictature militaire. Après la proclamation de la déchéance du roi, il pensa à aller mettre son armée au service de la royauté ; mais, abandonné de tous, il dut franchir la frontière. Pris par les Autrichiens, il fut conduit de prison en prison jusqu’à Olmiitz, où il fut enfermé. Le traité de Campo-Formio (I797)le délivra. Rentré en France après le iS-Brumaire, il vécut dans la retraite jusqu’à la chute de Napoléon. Bien qu’il eût vu avec satisfaction le retour des Bourbons, en 1814, il se fit élire à la Chambre des Cent-Jours par le département de Seine-et-Marne. Après Waterloo, il présenta une motion qui réclamait l’abdication de l’Empereur, .et fut chargé auprès des Alliés d’une mission diplomatique, d’ailleurs infructueuse. Député de la Sarthe en 1818, il combattit au premier rang du parti libéral, s’affilia à la Charbonnerîe, et fut compromis dans le complot de Belfort (1822). Candidat malheureux en 1824, il fut élu par l’arrondissement de Meaux en 1827, après un voyage triomphal aux Etats-Unis ; une tournée politique qu’il fit, en 1829, en Auvergne et en Dauphiné, ne fut qu’une longue ovation. Quand la révolution de Juillet éclata, il fut élu commandant en chef de la garde nationale et contribua à faciliter au duc d’Orléans l’accession au trône. Mais il ne tarda pas à combattre à la Chambre la politique de la monarchie de Juillet, qu’il ne jugeait pas suffisamment libérale. — Son fils, Washington-Georges Motier, marquis de La Fayette, ne à Paris ( :779-1849), après avoir combattu dans les rangs de l’armée impériale, donna sa démission en 1807. II fit partie de la Chambre sous la Restauration, sous Louis-Philippe, et fut député à l’Assemblée constituante de 1848. — Oscar-Thomas-Gilbkrt Motier de La Fayette, fils de Washington, né et mort à Paris { 1815-1881 ), fut député à la Constituante et à la Législative de la seconde République, vécut dans la retraite sous le second Empire, fit partie de l’Assemblée nationale de 1871, et fut élu sénateur inamovible en 1875. — Edmond Motier de La Fayette, frère de ce dernier, né à La Grange en I8i8, mort à Paris en 1890, fut député à la Constituante de 1848, se retira sous l’Empire, et fut élu sénateur, de 1876 à 1888.

— BiBLiOGR. : Mémoires, correspondances et manuscrits du générât La Fayette (Paris, 1837-1838) ; E. Charavay, le Général La Fayette (Paris, 1895).

IjAFENESTRE (Georges), littérateur français, né à Orléans en 1837. Il se fit connaître comme poète et critique d’art, puis fut attaché à la direction des beau.-arts, et devint inspecteur, commissaire des expositions, conservateur au musée du Louvre (1888), professeur à l’école du Louvre, suppléant de Guillaume au Collège de France, et membre libre de l’Académie des beaux-arts (1892). Outre des articles et des recueils de vers : Espérances (1863), Idylles et Chan- 5ons{1874), on lui doit : l’Art vivant {^i) ; les Maîtres anciens [X^-Zt] la Peinture italienne (1885) ; la Vie et l’Œuvre du Titien (1886) ; le Livre d’or du Salon (1879 et suiv.) ; l’Exposition universelle des beaux-arts (1889] ; la Peinture en Europe (1893-1895) ; Artistes et amateurs (1900) ; etc.

IjAFERRIÈRE (Louis-Firmin Julien-) , jurisconsulte français, né à Jonzac en 1798, mort à Paris en 1861. Avocat à Angoulème, puis à Bordeaux, il publia, en 1836, un Essai sur l’histoire du droit français, qui fonda sa réputation, devint professeur de droit administratif à la Faculté de Rennes (1838), inspecteur général des facultés de droit (1846), conseiller d’Etat (1849), recteur de l’académie de Seine-et-Oise (iSôO), inspecteur général des facultés de droit (1852), recteur à Toulouse (1854) et membre de l’Académie des sciences morales et politiques. Indépendamment d’articles insérés dans des revues de législation, nous citerons de lui : Cours de droit public et administratif (1839-1854) ; Histoire du droit civil de Rome et du droit français (1846-X858), son ouvrage capital ; Essai sur la réforme hypothécaire et sur le développement du crédit foncier (1848) ; Histoire des principes, des institutions et des lots pendant la /{évolution française (1850) ; etc.

LaferRIÈRE (Edouard Julien-), jurisconsulte et administrateur français, fils du précédent, né â Angouléme, en 1841, mort à Bourbonne -les- Bains en 1901. Avocat â Paris en 1864, il devint, on 1869, rédacteur au «’Rappel 1’, oit il fit une vive opposition â l’Empire, l’ut empri-

sonné, relâché et condamné

à un mois de prison, et fonda,

en 1870, IcjournaWa Zoi. Après

la révolution du 4-Septemi)re,

il devint maître des requêtes

dans la commission rempla-

çant le conseil d’Etat, commis-

saire du gouvernement dans

la commission du contentieux,

puis fut nommé succossivo-

mont directeur des cultes au

ministère do l’intérieur (1879), président do la section du

contentieux (1879) et vice-pré-

sident du conseil d’Etat (1886). En 1898, il accepta lo poste de

gouverneur général do l’Algé-

rie ; mais il se trouva bientôt

aux prises avec de grandes

difficultés, par suite do l’agitation antisémite, et il démissionna. Il fut nommé procureur général à la Cour de cassation (1900). Outre des articles dans la « Revue critique de législation u, le « Temps », etc., on lui doit : les Journalistes devant le conseil d Etat (1865) ; Becneil des constitutions d’Europe et d’Amérique, avec Batbio (1869) ; la Hevendication (1S69), et surtout un Traité de la jurisprudence administrative et des recours contentieux (1887-1888), ouvrage devenu classique ; etc.

XiAFERRlÈRE fLouis-Fortuné-Adolphe Delaferrière,

dit), artiste dramatique français, né à Alonçon en 1806, mort à Paris en 1877. Il joua le drame à l’Ambigu, à la Porte-Saint-Martin, à l’étranger, retourna on Franco en 1837, obtint do vifs succès à la Gaîté, au Vaudeville (1840), en province, à l’Odéon, au Théàtre-Historimie, sur divers autres théâtres français et étrangers, de nouveau à rodéon, enfin à Cluny. C’était un comédien passionné, séduisant, qui put conserver jusqu’à un âge avancé l’apparence do la jeunesse. 11 avait publié : Mémoires de Laferrière (1874).

Lafcrriëre.

La Ferronnaya.

La FerRONNAYS (Auguste-Pierre-Marie Ferron, comte DE), homme politique français, né à Saint-Malo en 1777, mort à Rome en 1842. Emigré en Suisse, il combattit dans l’armée de Condé

et passa en Angleterre avec

le duc de Berry, dont il était

aide de camp. Après quel-

ques campagnes à l’étranger,

il alla remplir une mission

auprès d’Alexandre I", en

1812. Maréchal de camp, puis

pair de France sous la Res-

tauration, il fut un des juges

du maréchal Ney, et vota

pourlamort. Ambassadeuren

Danemark (1817) et en Rus-

sie (1819-1827), il pritpart aux congrès de Troppau (l82o),

de Laybach (182 1) et de Vé-

rone (1822). Ministre des

affaires étrangères dans le

cabinet Martignac, il con-

tribua à l’intervention de la

France dans les affaires de

Grèce. Sa santé l’obligea à

quitter ses fonctions, en 1829. Il fut cependant envoyé en ambassade à Rome, au début de 1830, mais il abandonna ce poste pour ne pas servir le gouvernement de Juillet.

La FertÉ (Henri de Sesnkterre ou Saint-Nectaire, marquis, puis auc de), maréchal de France, né en 1600, mort eu 1680. li fit ses premières armes en Hollande, dans la campagne que Maurice de Nassau soutenait contre l’Espagne (1621). Il retourna en France pour prendre part au siège de La Rochelle (1628), et fut blessé devant Privas (1629). Lorsque éclata la guerre pour la succession du duché de Mantoue, il se signala à l’attaque du Pas de Suze (1629). Dans la guerre de Trente ans, on le trouve à la prise de Hesdin, oix Louis XIII le fait maréchal de camp. A Rocroi, il commandait l’aile gauche de l’armée do Condé. Anne d’Autriche lui confia lo gouvernement de Lorraine avec le titre de lieutenant général, et. en 1651, elle le fit maréchal de France. Pendant la Fronde, il resta fidèle à la cause royale, et lutta contre Condé, au combat de la porte Saint-Antoine. De 1653 à 1655, il reprit avec Turenne toutes les villes dont s’était emparé le prince de Condé ; mais, en 1566, il fut fait prisonnier à Valenciennes. Racheté par le roi, il s’empara de Montmédy et de Gravelines. Après la paix des Pyrénées, il obtint le gouvernement de Metz et de Verdun. Saint-Simon lui reconnaît de grandes qualités militaires, mais le représente comme jaloux et desprit étroit. — Son fils, HiiNRi-FRANçois, duc de La Fertè, né en I65i, mort en 1703, prit part à la guerre de Hollande, succéda à son père dans le gouvernement de Metz et de Verdun, se distingua pendant la guerre de la ligue d’Augsbourg, et obtint Te grade de lieutenant général en 1696. Il avait beaucoup d’esprit, mais « le vin et la crapule le perdirent ». Louis XIV avait pour lui une véritable amitié, mais il ne put le corriger de ses débauches. Il se sépara do sa femme, fille de la maréchale de La Mothe, dont il n’eut que deux filles. — Le troisième fils du maréchal, Louis de La Ferté, né en 1653, mort en 1732, se fit jésuite, malgré son père (1676), et devint un prédicateur estimé.

LafertÉ-SUR-AMANGE, ch.-l. de cant. de la Haute-Marne, arrond. et à 37 kilom. de Langres, sur un coteau qui domine le val d’Amance ; 474 hab. Ch. de f. Est. Tuilerie, fabrique de chaux. — Le canton a 13 comm. et 4.756 hab.

La Feuillade (famille de), famille issue de la

fraude famille d’Aubusson, en la personne de Guillaume ’Aubusson, troisième fils de Jean I", qui eut en partage la seigneurie do La Feuillade et épousa, en 1420, Marguerite Helie, fille do Guider, seigneur de Villac en Périgord. Les principaux de ses menibres sont les suivants : Georges d Aubusson de La Feuillade, prélat et diplomate, né en 1609, mort à Metz on 1697. [Deuxième fils de Français d’Aubusson, comte do La Feuillade, il fut nommé archevêque d’Embrun en 1649, ambassadeur à Venise en 1651, à Madrid de 1661 à 1667. Il devint évoque de Metz en 1668 et conseiller d’Etat d’Eglise, en I690. Il se rit remarquer par son opposition au janséuisnio] : — François, vicomte d’Aubusson du’ de La Feuillade, maréchal do France, né en lb25,

mort à Paris en 1691, frère >■

du précédent. [En 1647, il ' _> u

s’échappa de l’académie, ou "^ ^ "*

il faisait son éducation, et se

rendit à l’armée auprès du roi

qui le renvoya à ses études i

la fin de la campagne. Il di

vint maréchal do camp ci

1664, lieutenant général » i

1667, colonel dos gardes fiau

çaisesenl672. Gouverneur J<

Dôle en 1674, il se distmpu i

dans la campagne de Fran

che-Comté,cnl674 ; maréchal

de France en 1675, vice-roi de

la Sicile et chef de l’armée navale en 1678, gouverneur du

Dauphiné en 1G81. A Parme,

en 1664, il faillit être assas-

siné dans unguot-apens,avec

le chevalier do Sourdis. Il fut en Hongrie, sous le comte de Coligny, pui.s au secours des Vénitiens contre les Turcs. Il fit sa dernière campagne sous les ordres du roi, en 1691, en Ilainaut. C’est lui qui, ayant acheté l’hôtel de Senneterre, à Paris, le fit abattre, pour construire la place qui fut nommée des Victoires, et sur laquelle il fit élever, en 1686, à ses frais, une statue de Louis XIV. Il avait épousé Charlotte GoufHer. fille do Henri, marquis de Boisy. qui avait, dit-on, éveillé uno passion respectueuse dans le cœur de Pascal] ; — Locis d’Aubusson, comte de La Feuillade, maréchal de France, né en 1673, mort à Marly on 1725, fils du précédent. [Il devint colonel de cavalerie en 1689, gouverneur du Dauphiné en 1691, lieutenant général en 1704, commanilant du comté do Nice on 1703. En 1706, il prit part aux «ainiKiL’iirs iihalie, où il échoua au siège do Turin. Ce lu llmi .miu an était, néanmoins, un homme brave et inirlli-riii I, lui créé, en 1716. pair de France et maréchal eu itji. Il mourut sans enfant, et avec lui s’éteignit la maison de La Feuillade.]

^W

Fr de La Feuillade

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LaFFEMAS fBarthélemi de), contrôleur général du commerce sous Henri IV, né à Beausemblant, en Dauphiné, ers 1545, mort ers 1612. Il fut attaché, vers 1566, en qualité de tailleur- alet de chambre à la maison du roi de Naarre, puis, à partir de 1576, en qualité de fournisseur de son argenterie II avait fait, a tous ces titres, des affaires

importantes mais médiocre-

ment heureuses, et fut empri

sonné pour dettes Mais il me

dita surlesLau^^esdeses revers,

projetant de reformer les institu tions et les abus dont il a^alt

été victime Lors de l’asscm

blee dch UMiables a Rouen, en

! il ) I < nta au roi un me- 

I Reqlement gène

s î" les manufaciu

itime II s’y montrait

partiàdn dusj stème protecteur

proposait d attirer les ouvriers étrangers, préconisait la séri i culture etlindustiie des soie

ries ; l’unite des poids et mesu

res, etc. Créé contrôleur gé- li Ue Laaema’i

néral du commerce en 1602, il

appliqua quelques-unes des réformes qu’il avait sollicitées, favorisant les plantations de mûriers, établissant un droit d’ancrage et de tonnage sur les vaisseaux étrangers, diminuant les taxes sur la circulation intérieure, etc. H a publié des ouvrages, dont le but était d’indiquer les sources do prospérité de la France et les moyens d’améliorer l’agriculture et le commerce.

LaffemaS (Isaac DEj, sieur de Humont, fils du précédent, né en 1589, mort en 1650. Avocat au parlement, il acheta une charge de maître des requêtes, devint lieutenant civil de Paris en 1637, et enfin conseiller d’Etat. Il fut membre des commissions extraordinaires chargées par Richelieu déjuger les nobles rebelles, et il les condamna sans pitié ; aussi a-t-il laissé une mémoire exécrée, malgré sa probité et son intégrité reconnues.

Laffitte (Jacques), financier et homme d’Etat français, né à Bayoune en 1767, mort à Paris en 1844. Fils d’un charpentier," il alla chercher fortune à Paris, en 1788, et entra, comme teneur de livres, dans la maison du banquier Perregaux, qui le prit pour associé (1800) et, à sa mort, lo désigna comme son successeur. Régent de la Banque de France en 1809, président du tribunal de commerce en 1813, il fut, de 1814 à 1819, gouverneur de la Banque. Napoléon, après Waterloo, lui avait confié les débris de

heures de i

il avança

Jacques Laffitte.

sa tortune ; plusieurs fois,

des millions au Trésor. A partir de 1816, il siégea à la Chambre

comme député de Paris dans

les rangs de l’opposition. En

1817, il défendit la liberté de la presse ; cependant, il n’hésita

pas, en 1824, à soutenir le

ministère Villèle, lors de la

conversion des rentes 5 pour lOO. En 1827, à la suite de la dissolution de la garde nationale, il proposa la mise en accusation

du ministère. En 1830, après un

moment d’hésitation, il se jeta

dans le mouvement insurrec-

tionnel, et sa maison devint lo

quartier général de la Révo-

lution. I ! envoya chercher le

duc d’Orléans, auquel les dé-

putés, sous sa présidence, of-

frirent le trône. Ministre sans

portefeuille du nouveau gouvernement, puis ministre des finances et président du conseil, il s’aliéna la gauche par sa modération et la droite par ses faiblesses devant le parti révolutionnaire ; contrecarré par Louis-Phihppe dans sa politique extérieure, il remit son portefeuille en 1831. Il sortit pauvre du ministère, et ne conserva son hôtel à Paris que grâce à uno souscription publique. Il siégea à la Chambre, dans les rangs de l’opposition radicale, jusqu’à la fin de sa vie. Il mourut presque subitement, en 1844, à la suite d’un discours fort mordant pour le gouvernement . qu’il venait de prononcer comme doyen d’âge, à l’ouverture do.la session des députés. Sa fille avait épousé le prince de la Moskova, fils du maréchal Ney. Outre quelques opuscules financiers, il a laissé des mémoires manuscrits.

Laffitte (Pierre), philosophe et savant français, né à Begnev, ])rcs Cadillac (Gironde), en 1823. II s’adonna k IriisrMi^iiViinMil. (l.’s iiiailR-iiialiquos, entra eu 1844 en relariiHi : ii- uLiisi <nuiti’, ’<nii il adopta les idées pliilos (i|i|,i.|iir-., |.ii|iM’|ni-- cl r’li ;.’icuses. A la mort do Comte i- :,7 , il lui le pruh,iJcut du^es exécuteurs testamentaires, <|iii Ir iiiiiiiii a la tête du comité positiviste. 11 collabora

i 1.1 l’nliii’jue positive » (1872), fonda, en 1878, la. Revue

• icfid, ii !ii. , ,|ui devint l’organe de la doctrine. En 1879, il céda la direction de l’école positive à Jeannolle. Depuis janvier 1892. il est professeur d’histoire générale des sciences au Collège de France. Parmi ses écrits, souvent originaux <t «iiriciix, nous citerons : Leçons de cosmographie { ’ ' , ’., , ’,/Y) ;c sur l’histoire générale de l’hiiin :. l’iuns générales sur l’ensemble de Ui ■■■’u les Grands Types de Vhuniaïuh :

!’ in hqut^ des principaux agents de 

l’évolutiiiii huiiiatnr (iS7-i, 1S75, 1897) ; De la morale positive (1880) ; Cours de philosophie première (1889-1895), son ouvrage capital ; le « Faust « de Gœthe (1899) ; etc.

LAFFORIENNE [la-fo-ri-èn’ — do Laffore, nom de l’inventeur ) adj. f. Se dit d’une méthode particulière de lecture, nommée par l’inventeur statiléyie.

— Encvcl. La méthode lafforienjie consiste surtout A faire, avec les signes connus et employés, un alphabet plus complet que l’alpliabet vulgaire {par exemple, eau et pr sonc considérés respectivement comme une voyelle ou une consonne rfoHWe), puisa abandonner l’épellation alphabétique et à donner immédiatement aux syllabes le son qu’eues ont dans la réalité, par exemple, dans phare, ph ne sera r>as décomposé enpé -- hache, mais sera tout de suite articulé en f ; re ne sera pas décomposé en erre -h Cf mais articulé reu. La méthode lalforienue simplifiée